Le Japon, qui ne veut pas être exclu de la compétition des
super-ordinateurs, a décidé de développer à partir de 2014 un
nouvel engin 100 fois plus puissant que son actuel champion «K», qui
soit capable d'atteindre vers 2020 une puissance de calcul de l'ordre de
l'exaflop (1 milliard de milliards d'opérations par seconde).
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Source: LaPresse
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