Anwar El Fakiri ne passe pas inaperçu. Sa singularité ? Outre ses
cheveux longs, son look métalleux et sa verve humoristique, son regard
dissimulé sous de lourdes lunettes noires et sa baguette blanche
intriguent. Ce mélomane, en balance plein la vue, lui qui en est
dépourvu.
« Tout petit, au Maroc, j'aimais bien faire des compilations sur des cassettes », se souvient Anwar El Fakiri. L'amour
de la musique s'est développé en même temps qu'il perdait la vue. Ses
activités et son champ de loisirs ont été réduits et il a alors appris à
délaisser certaines choses.
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Source: ouest-france
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