Dans le creux de son cou, un violon datant de 1744 avec lequel il a développé une symbiose remarquable. Dans sa tête, des notes décodées puis relayées à ses doigts, qui valsent le long des cordes d’un instrument d’exception. Voici comment se bâtit la relation fusionnelle entre un virtuose comme Andrew Wan, violon solo de l’Orchestre symphonique de Montréal (OSM), et son outil de travail unique.
Source: Radiocanada
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