La réponse est simple : nos militaires n’avaient pas le monopole des ondes, alors que c’était le cas dans la plupart des pays dotés d’une armée puissante, où la radio était avant tout un outil de guerre. Or, le Canada n’a pas peur de qui que ce soit dans les années 1920. En 1918, au lendemain de la Grande Guerre, cette liberté d’émettre des signaux sans être contrôlé par le ministère de la Défense attire chez nous, près du square Phillips, l’un des pionniers de la radio, Marconi...
Source: JournalDeMontreal
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