RadioSouvenirsFM

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lundi 31 décembre 2007

Technologie_10 start-up américaines à suivre



Réseaux sociaux, poker, musique en ligne, marketing comportemental... La sélection par le JDN de dix start-up prometteuses made in USA. découvrez-les.

Source : Le journal du Net

Media_Wal-Mart quitte le marché de la vidéo à la carte



Pendant que les Apple et Amazon misent de plus en plus gros sur le marché de la vidéo à la carte par Internet, c'est un des pionniers qui tire sa révérence. Sans trop faire de bruit, le géant Wal-Mart a fermé les portes de son service le 21 décembre dernier. Ouvert il y a moins d'un an, son service de téléchargement de vidéos fermerait dû à la décision d'un partenaire technologique de cesser d'offrir l'infrastructure nécessaire pour l'opération d'un tel service.

Et pas question de regarder ailleurs, Wal-Mart dit ne pas chercher de nouveau partenaire dans le domaine. De son côté, HP (c'est le partenaire en question) dit qu'il cesse cette aventure parce que le marché serait moins payant que prévu. On a pas encore les chiffres pour 2007, mais pour 2006, on estime que la vente et la location par téléchargement en ligne représentaient 1 % des 24,5 milliards de dollars de ventes et de locations de DVD dans l'industrie du divertissement.

Source : Le carnet techno

Affichage Numérique_Un vidéo de la cie Bravo..sur leur solution d'affichage numérique!



Voici un video
de la compagnie Bravo
qui offre une soluion d'affichage numérique

Media_Il anime pour une station de radio de Chandler... au Québec à distance



Martin Bossé anime une émission matinale, à partir de son sous-sol à Sherbrooke, pour une station de radio de Chandler en Gaspésie.

Martin Bossé anime une émission matinale, à partir de son sous-sol à Sherbrooke, pour une station de radio de Chandler en Gaspésie.

Depuis septembre dernier, Martin Bossé anime une émission matinale à distance, à partir du sous-sol de sa maison de Sherbrooke, pour une station de radio de la Gaspésie.

"Les matins du grand littoral" sont acheminés via Internet et diffusés sur les ondes de CFMV 92,1 FM, une radio indépendante de Chandler.

"Pour moi, c'est génial. Je peux faire de la radio sans sortir de chez moi. C'est mon travail à temps plein", commente l'animateur qu'on a pu déjà entendre ici à Sherbrooke sur les ondes d'Énergie 106,1 et de Génération Rock 104,5 FM.

"Je ne suis pas là, mais il y a une équipe sur place avec qui je peux interagir. Des journalistes sont en Gaspésie et couvrent les nouvelles. Moi, en ondes, je parle de l'actualité générale, mais j'ai accès à distance au contenu de la station. Le tout se fait par Internet."

La manière de fonctionner lui donne un délai de 15 minutes avant que le contenu soit diffusé en ondes, explique-t-il. Cela lui permet de reprendre à l'occasion des segments à améliorer ou de s'ajuster pour réagir à l'actualité. Par exemple, le matin de l'assassinat de l'ancienne première ministre pakistanaise Benazir Bhutto, Martin Bossé a dû se virer sur un dix sous pour donner la nouvelle en ondes.

"J'ai eu deux ou trois minutes pour réagir."

Les auditeurs du 92,1 FM ne réalisent pas vraiment que leur matinier ne se trouve pas en Gaspésie quand ils l'entendent. "On ne le cache pas. Les gens commencent à le savoir", assure-t-il.

"Les appels des auditeurs sont détournés vers chez moi. Je réponds comme si j'étais sur place", ajoute ce Sherbrookois de naissance qui n'a jamais mis les pieds à Chandler de sa vie.

Martin Bossé a commencé à faire de la radio à distance pour cette station il y a deux ans, produisant des émissions préenregistrées. L'été dernier, la direction du "Rythme que j'aime" (www.fm92-1.com

cherchait un animateur du matin. On a pensé à lui.

Martin Bossé ne prévoit pas déménager un jour en Gaspésie. Sa famille est bien installée à Sherbrooke, dit-il. "Si j'avais 20 ans, sans attache, j'y penserais. Je songe un jour à m'acheter un chalet dans ce coin-là pour pouvoir y aller à l'occasion."

"Je devrai m'y rendre prochainement, car la station va changer de fréquence (au 96,3 FM

et la direction veut faire un grand lancement."

Martin Bossé caresse d'autres projets. Notamment, il est à mettre les dernières retouches à un site Internet pour la diffusion d'une émission de radio sur le Web (podcast). The Boss radio.net (www.thebossradio.net

reprendra essentiellement la formule du "666", émission diffusée autrefois sur les ondes de Génération Rock.

"Ça sera un peu comme le Canal vie du rock", lance-t-il, un sourire aux lèvres. "Je vais reprendre cette émission-là où je voulais l'amener à Génération Rock. Il y aura du rock, ça sera relax et on parlera de la vie d'aujourd'hui."

"Il y a aura beaucoup de musique rock actuelle et des gens de la relève. Au départ, ça sera une fois par semaine, mais je veux en venir par diffuser plus souvent."

Source : La Presse, journal

Media_Kabyle.com a dix ans



Dossier de presse Kabyle.com

Le premier site kabyle web1.0 au monde

Créé en 1997 avec le nom de domaine Kabylie.net, le portail d'information berbère trouve son nom définitif en novembre 1999.

Durant ses deux premières années, le site hébergé gracieusement par Webcity à Lyon, développé en ASP est déjà très réputé. Il fait même partie des 10 sites francophones les plus visités sur Hitparade.fr. Il est le premier site web berbère à proposer un chat dynamique aux internautes dès 1997. On y trouve aussi des informations régulièrement mises à jour en provenance de la Kabylie et sa diaspora.

Kabyle.com bénéficie du soutien historique du Congrès Mondial Amazig et devient très tôt une référence.

Dix ans plus tard, en 2007, Kabyle.com demeure le principal site d'information de la Kabylie et du peuple kabyle sur l'internet que ce soit par sa base de donnée, par son réseau étendue en Europe et en Amérique du Nord, ou par sa popularité.

Un média libre, le seul à avoir diffusé en temps réel les images et vidéos du Printemps Noir

Quand éclatent les événements du Printemps Noir en 2001, le média Kabyle.com devient la principale source d'information sur la Kabylie durant cette période. L'émission Nulle Part Ailleurs sur Canal Plus mentionne le site comme référence sur la Kabylie, de même que la presse nationale en France généraliste. Plusieurs correspondants de Kabylie envoient spontanément des reportages vidéos et photos et contribuent au succès du site. En 2001, Kabyle.com opte pour un cms libre et un logiciel de forums qui décuplent son succès. Kabyle.com atteint des records d'audience ce qui l'oblige à se professionnaliser et acquérir un serveur dédié.

En 2002, Catogorynet place Kabyle.com comme l'une des sources d'information essentielles sur le monde berbère et la Kabylie, utilisée au quotidien par les journalistes. Le journal Homme et Migrations consacre aussi un dossier à Kabyle.com.

Un statut de média presse et des capacités en e-commerce

En janvier 2003, Kabyle.com devient une sarl avec pour actionnaires, son fondateur Stéphane MÉRABET, Mohand IMAZATENE administrateur de Kabyle.com depuis 2001 et Jean-Paul KOZIOL développeur impliqué sur le projet depuis 1999. La première boutique berbère est lancée quelques mois plus tard. Kabyle.com est l'un des rares sites à pouvoir bénéficier de la confiance de la Banque Populaire Loire et champagne et propose ainsi le paiement sécurisé par carte bleue.

En septembre 2005, le site de Rencontres de Kabyle.com enregistre des milliers d'inscription chaque mois.

Une information audio et vidéo 24h/24

En 2007, Kabyle.com couvre la campagne présidentielle et publie les intentions de vote des français d'origine kabyle. Plusieurs politiques accordent une interview au média kabyle. Kabyle.com opte pour le système de publication DRUPAL et annonce le lancement d'une webtv et webradio : la webtv sur le canal berbere24.com de Mogulus et la webradio sur le canal kabylie24.com de radionomy (lancement prévu janvier 2008).


Kabyle.com c'est aussi :

www.berberbook.com l'annuaire des sites berbères

www.boutique-berbere.com

www.boutique.kabylie.com

www.berbere24.com webtv berbère

Source : Kabyle.com

www.kabylie24.com webradio kabyle

Media_Europe 2 devient Virgin Radio



Lagardère Active entend séduire les 15-34 ans et hisser la radio à la première place des radios musicales en France.

Mardi 1er janvier, la radio et la télévision Europe 2 seront rebaptisées Virgin Radio et Virgin 17. Une manière pour Lagardère Active de conquérir les 15-34 ans, explique La Tribune lundi 31 décembre. Mais aussi de hisser la chaîne de télévision de la TNT dans le trio de tête de celles de la télévision numérique terrestre, avec des émissions produites par Nagui, Cauet et Christophe Dechavanne.
Le groupe entend également hisser la radio de la 5e à la 1ère place des radios musicales françaises.

Une marque puissante à la notoriété mondiale

“On a besoin d'une marque puissante, à la notoriété mondiale“, avait déclaré en décembre Christophe Sabot, directeur du pôle musique du groupe.
Avec des radios baptisées Virgin Radio en Inde, Thaïlande, à Singapour ou en Italie, la marque du milliardaire Richard Branson est en effet mondiale.
Par ailleurs, “elle se décline en compagnie aérienne, opérateur de téléphonie mobile, soda, et même… en compagnie de tourisme spatial (Virgin Galactic)“, rappelle le journal.

Accord de licence pour 10 ans renouvelable

Au départ, Richard Branson négociait avec la station Oui FM qui voulait se rebaptiser Virgin, mais c'est finalement le géant Lagardère qui l'a emporté. “Car il dispose en France d'une station de radio nationale ainsi que d'une chaîne de télévision nationale“.
Les deux groupes ont signé un accord de licence pour 10 ans renouvelable, avec de 0,5 à 1% du chiffre d'affaires des deux antennes. Soit selon le directeur de Lagardère Active, Didier Quillot, “quelques centaines de milliers d'euros par an“.

Source : Challenges.fr

dimanche 30 décembre 2007

Media_Radionomy, pour créer votre propre radio...



Internet NRJ, Skyrock ou encore Europe 2 vous fatiguent ? Vous en avez assez d’écouter sans cesse les mêmes morceaux et vous rêvez d’avoir une radio à votre image ? Ca tombe bien puisque maintenant, avec Radionomy, votre rêve va devenir réalité et vous allez pouvoir créer votre propre radio. Et comme c’est gratuit, légal et que vous pouvez même gagner de l’argent avec, vous n’avez plus aucune excuse pour ne pas vous y mettre.

Radionomy, pour créer votre propre radio...

Actuellement en béta privée, Radionomy est un nouveau service orienté web 2.0 qui propose à chaque internaute de devenir diffuseur de contenu et de créer leur propre radio. Un concept simple mais fiable, entièrement gratuit et tout aussi légal, qui a finalement tout pour nous séduire.

Les utilisateurs ont ainsi la possibilité de piocher des musiques, des jingles et d’autres contenus directement sur le site ainsi que d’ajouter et d’intégrer leurs propres créations. Alors ça peut aller du morceau de musique tout bête à des podcasts, des reportages et n’importe quoi d’autre.

Le plus intéressant, c’est que Radionomy prend en charge tous les frais à son propre compte. Les utilisateurs n’auront donc à payer, ni les droits d’auteur, ni rien d’autre qui pourrait porter un coup fatal à leur compte en banque. C’est presque trop beau pour y croire, surtout lorsqu’on sait ce que peut coûter une webradio à l’année (3.860 euros dixit Mashable, parce que moi je n’en savais vraiment rien).

Pour en finir avec cette courte présentation, précisons que Radionomy partagera en plus ses revenus avec les créateurs de radio, en fonction bien entendu de leur influence. C’est un peu la cerise sur le gâteau et nul doute que de nombreux sites d’information en profiterons pour tenter leur expérience sur les ondes. Après tout, du Mashable ou du Journal du Geek en fond musical, ça peut être sympa.

Précisons qu’à l’origine du projet, on retrouve quatre belges : Gilles Bindels, Cédric van Kan, Yves Baudechon et Alexandre Saboudjian. On peut dire que ces gars ont eu une idée du tonnerre et on espère juste qu’ils n’auront pas les yeux plus gros que le ventre et que leur business plan sera assez solide pour leur permettre de rentabiliser leur affaire. Les bonnes idées ne font pas tout, c’est d’ailleurs bien malheureux. Ah oui et pour vous inscrire sur la file d’attente et devenir un béta-testeur, c’est par ici qu’il faut aller.

Source : FredZone
Via Mashable France

mardi 25 décembre 2007

Web_Où va Internet ? 15 grands dirigeants répondent



Modèles économiques, vente en ligne, publicité, marketing, régulation... Pendant cette semaine, chaque jour, le JDN a interrogé de grands dirigeants qui ont partagé leur vision du Net.

Voir les entrevues ici

P.S. Je recommande cette article...fortement a tous ceux qui ne réalise pas que les modèles d'affaires actuelles sont en décadences, le web changera la vie de tout le monde....sans exception

lundi 24 décembre 2007

Affichage Numérique_Un clip pour bien comprendre



ce film présente quelques uns des avantages clés de l'affichage dynamique, encore appelé réseaux d'écrans.

Technologie_Screencast : La vedette? Votre bureau!



Dans l'univers PC, il y a Camtasia... et les autres. Dans le monde de la Pomme, ils sont moins nombreux. Mais une toute nouvelle application permettant d'enregistrer la moindre de vos actions sur votre Mac fait son apparition sur un serveur près de chez vous : Screencast.

Que l'honorable audience de ce carnet me permette de prendre une petite pause diatribe au profit d'une petite recension de produit. Z'avouerez que les dernières semaines, on a plutôt fait le tapage de gueule et moins dans l'analyse de produits.

Donc, aujourd'hui, une application pratique : Screencast. Si vous êtes un prof, un représentant, un homme ou une femme d'affaires, un «m'sieur-madame Marketing» ou un formateur, vous aurez besoin d'un jour ou l'autre de Screencast.

Rien de plus simple que ce machin : on le lance, et il demeure bien stoïque, près à enregistrer le moindre de vos gestes. Prenons par exemple, notre ami le «m'sieur Marketing» désireux de faire une démonstration d'une application Web. Elle peut bien être 1.0 ou 2.0 l'application Web, on s'en tamponne. ;-))

Bref, il y a ceux qui ont le goût du risque et qui vont démontrer l'application «live» et en temps réel. Hé ben. Pourtant, tout bon formateur ou présentateur sait qu'il y a trois types de présentations qu'il ne faut jamais faire : celles qui impliquent des enfants, celles qui font appel à des animaux et surtout, celles qui se font «live» et en temps réel sur Internet.

Avec Screencast, vous enregistrez votre présentation comme vous le voulez bien, vous la sauvegardez et voilà, miracle! Vous pouvez même y ajouter vos commentaires audio, ce qui vous permettra de faire une pause réparatrice pendant que tous regarderont votre magnifique présentation. Ne me remerciez surtout pas, ça fait partie de notre service impeccable.

En vérité, en vérité je vous le dis, Screencast est une de ces applications dont il est difficile de se passer, surtout si l'on est un prof, un représentant, un homme ou une femme d'affaires, un «m'sieur-madame Marketing» ou un formateur.

Évidemment, si un(e) sympathique lecteur ou lectrice en connaît un gratuit (Screencast est 29$) ou, mieux encore, à code source libre, qu'il le fasse connaître dans les commentaires.

Et je pose la question piège qui attisera les passions dans les commentaires : le pâté chinois, avec du maïs en grains ou du maïs en crème? Hummmmm?

Source : Branchez-Vous
Publié par Michel Dumais

samedi 22 décembre 2007

Web_Internet supplante la télévision chez les jeunes



Le nombre d'accrocs au Web ne cesse de gonfler. Selon une étude menée par l'EIAA(European Interactive Advertising Association), ils seraient 83 %, ceux qui affirment ne pouvoir se passer d'au moins une activité en ligne. Bien sûr, les deux qui arrivent en tête sont la recherche et la consultation des mails. Néanmoins le "social networking" a connu une bonne évolution en assumant désormais la troisième place devant même la messagerie instantanée ou le téléchargement de musique. Plus loin derrière, la consultation de vidéo clips ou de films qui monte de façon spectaculaire (gain de 150% en un an).

Pour la première fois depuis son apparition, Internet relègue la télévision au deuxième plan chez les 16-24 ans. C'est un fait historique. Pendant que 77 % des jeunes regardent la télévision (5 % de moins que l'année dernière), 82 % vont sur Internet. Près de la moitié de ces mêmes jeunes (48%) déclarent d'ailleurs avoir baissé leur consommation de télévision au profit d'activités internautes. Cette tendance ne concerne pour l'instant que cette tranche d'âge, mais il annonce un mouvement qui ne devrait cesser de s'amplifier, et pour toutes les générations. Ainsi, le nombre de plus de 55 ans surfant sur la toile a augmenté de 12 % en un an à peine.

evolutionD'une manière générale, les internautes sont 62 % à délaisser les autres formes de média, et 96 % à délaisser au moins une activité : après la télévision figurent la lecture (qu'il s'agisse de livres, magazines ou de journaux) et la téléphonie (conversation au téléphone, envoi de textos). Ce que l'étude ne montre pas en revanche, c'est que la plupart de ces activités n'ont pas disparu, mais se sont adaptées à Internet. Du moins, pour certaines d'entre elles : quand on parle d'activités extérieures (22 % qui la délaissent), ou de sport (23 %), on ne peut pas vraiment dire qu'elles aient leur équivalent sur Internet. Quant au livre (délaissé par 30 % des internautes), l'e-book est encore trop marginal pour parler de réelle transposition.

Source : Québec Jeunes

lundi 17 décembre 2007

Affichage Numérique_Minicom dévoile le système de distribution Vidéo avec une portée de 600m - la plus longue de l'industrie



Minicom est fier d'annoncer l'augmentation de la portée de son DS Vision 3000. Le système de distribution de type CATx permettant de diffuser une vidéo haute définition et un son stéréo à partir d'un seul lecteur vers plusieurs écrans Plasma ou LCD, a doublé sa portée passant ainsi de 300 m à 600 m.

Selon Eran Kessel, Vice Président du Marketing de Minicom : "L'accroissement de la distance du DS Vision 3000 rend cette solution encore plus puissante que n'importe quelle autre solution d'affichage dynamique. Etre capable d'envoyer des images de haute qualité sur une telle distance avec un tel rapport prix performance est quelque chose que personne d'autre ne peut faire."

Grâce à une gestion complète des ports séries, le DS Vision 3000 permet aux administrateurs de vérifier le fonctionnement des écrans à distance, de les éteindre ou de les rallumer et pour la première fois, d'avoir un contrôle centralisé des signaux qui sont transmis du lecteur vers les écrans.

En association avec le Line Splitter Long et le Récepteur Long, le DS Vision 3000 permet de diffuser un contenu multimédia à partir d'un Player vers plusieurs écrans situés à une distance allant jusqu'à 600 m, sans dégradation de la qualité du son ou de l'image. Avec cette portée encore plus étendue, le DS Vision 3000 vous donne la liberté d'installer vos écrans à n'importe quel endroit et en sécurité car vous pouvez placer votre lecteur hors d'atteinte des personnes non autorisées. Minicom est le seul fabricant du marché qui vous propose de telles fonctionnalités à un tel rapport prix performance.

À propos de Minicom Advanced Systems

Fabricant High Tech de solutions d'affichage dynamique (Digital Signage) pour la diffusion de contenu multimédia audio et vidéo vers plusieurs écrans distants: distributeurs Audio Vidéo, VGA Vidéo splitter, broadcaster, prolongateurs vidéo et câbles vidéo.

Fondé en 187 et basé à Jérusalem, Minicom est présent dans 50 pays à travers le monde, et fait partie du Fast 50 de Deloitte Technology, qui récompense les 500 entreprises mondiales ayant la croissance la plus élevée dans le domaine de la High Tech.

Pour obtenir plus d'informations au sujet des solutions KVM de Minicom, veuillez consulter

http://www.minicom.com/kvm_fr.htm

Source : PR Newswire

vendredi 14 décembre 2007

Affichage Numérique_Mark R. Bruneau nommé président du conseil d'administration de Neotech Capital



Neotech Capital annonce aujourd'hui
la nomination de monsieur Mark R. Bruneau à titre de président de son conseil
d'administration.

Mark R. Bruneau est un consultant senior pour The Monitor Company, une
firme de consultant en stratégie globale, et président de M'Pact TV, un leader
en affichage numérique et en création d'ambiance audiovisuelle. De 2004 à
2007, M. Bruneau a agi à titre de vice-président exécutif et chef de la
stratégie chez Bell Canada Entreprises. Avant de se joindre à BCE, il était
président et fondateur d'ADVENTIS, un cabinet de consultant en stratégie et en
gestion ayant des bureaux à Boston, New York, San Francisco, Londres, et
Munich servant les chefs d'entreprises dans le domaine des télécommunications
globales, de l'informatique, des services financiers et du Web 2.0. Fort de
ses expériences de travail lui ayant permis de participer à l'évolution des
télécommunications modernes et de l'industrie du Web 2.0, M. Bruneau est
souvent appelé à commenter l'actualité dans des journaux tels le Business
Week, le Fortune, le Wall Street Journal, le New York Times, ainsi que le
Globe and Mail. Il siège sur le conseil d'administration du Boston Ballet, des
Grands Ballets Canadiens, de NeuroScience Canada, du Centaur Theatre, et du
Carrefour Arc-en-Ciel. Résidant de Montréal et fier père de famille,
M. Bruneau est heureux de contribuer à l'esprit d'entreprise du Canada.

"L'expérience de Mark R. Bruneau vis-à-vis les entreprises technologiques
et sa compréhension des besoins du milieu aura un effet catalyseur sur notre
entreprise", de déclarer Daniel Robichaud, président de Neotech Capital. "Son
expertise dans le monde des affaires contribuera à l'essor et au succès de
Neotech Capital comme incubateur d'entreprises et moteur de la prospérité
économique du Canada pour de nombreuses années à venir."

A propos de Neotech Capital

Neotech Capital est un incubateur d'entreprises fondé par les
investisseurs Daniel Robichaud et Carl Fugere. Elle s'implique dans les
entreprises basées sur Internet, les médias interactifs, les infrastructures
Internet et les applications en ligne, tout en finançant ses propres projets.

Neotech Capital possède un portefeuille de 9 entreprises dans le domaine
des technologies. Ces entreprises se trouvent dans des secteurs en forte
croissance et fonctionnent selon un modèle d'affaires générant des revenus
récurrents. La croissance actuelle est impressionnante et les opportunités
d'investissements multiples.

La mission de Neotech Capital est d'encadrer les entrepreneurs, ces gens
qui bouleversent nos vies en créant de nouveaux produits et services, en les
aidant à convertir leurs idées et ambitions du rêve à la réalité. Le modèle
d'affaires est, entre autres, basé sur un incubateur qui convertit les
entreprises en démarrage ou même les idées en entreprises viables et
structurées pour attaquer leur marché respectif. Les connaissances en
commercialisation internationale, le large réseau de contacts et la méthode
d'organisation des entreprises de Neotech Capital constituent un modèle ayant
déjà fait ses preuves à plusieurs reprises.

En tant qu'investisseur et partenaire, Neotech Capital fournit de
valeureux conseils sur l'industrie, la stratégie et le développement
corporatif afin de permettre aux jeunes entreprises de réussir.

Renseignements: Hugo Hang Hong, Adjoint administratif,

Source : CNW Group

mercredi 12 décembre 2007

Affichage Numérique_Le tout premier connecteur USB sans fil pour écrans de PC



Le VGA c'est has been

Les entreprises DisplayLink et Alereon viennent d'annoncer la disponibilité du premier adaptateur USB sans fil permettant de relier un PC à plusieurs écrans. Un prototype fonctionnel qui permet d'obtenir une image de très haute qualité, selon Alereon.

Le système sera en démonstration sur le stand WiMedia lors du CES 2008 de Las Vegas, du 7 au 12 janvier prochain. Alereon est spécialisée dans les puces de transmission USB sans fil sur la bande radio WiMedia (entre 3,1 et 10,6 GHz), tandis que DisplayLink maîtrise de son côté la technologie d'affichage graphique par interface USB, qui implique une grande compression dynamique de l'image à afficher.

DisplayLink AlereonDisplayLink Alereon

Le prototype présenté ici regroupe donc la puce de transmission sans fil AL 5000 de chez Alereon, et une puce « d'affichage réseau » HRE (Hardware Rendering Engine) de chez Display Link. L'adaptateur ainsi obtenu fonctionnera donc sur interface WUSB (Wireless USB) en respectant la norme UWB, pour offrir une qualité d'affichage similaire à celle que l'on obtient avec un câble.

L'engin permet un affichage en 1680 x 1050 en 32 bits (16,7 millions de couleurs) avec un temps de réponse suffisamment rapide pour lire une vidéo de qualité DVD, selon les deux entreprises. Une idée plutôt sympathique, il faudra voir ce que cela donne en pratique.

Rédigée par Bruno Cormier le mardi 11 décembre 2007

Source : Pc InPact

mardi 11 décembre 2007

Affichage Numérique_Installation d'une solution d'affichage Dynamique de Minicom chez Landmark



Système de distribution entre le Player et les écrans pour réduire les coûts d'exploitation de 100 000 US$ par an.

Minicom Advanced Systems,
leader mondial dans les systèmes de distribution multimédia pour l'affichage dynamique a aujourd'hui rendu public l'installation de son système DS Vision 3000 (http://www.minicom.com/av_ds3000_fr.htm) dans un certain nombre de salles de spectacle Landmark à travers les Etats-Unis. Il permet de délivrer un contenu multimédia à partir d'un lecteur vers des écrans situés à distance, sans dégradation de la qualité du son ou de l'image.

La solution permettra de diminuer de 100 000 US$ les dépenses annuelles d'exploitation du réseau d'affichage dynamique de Landmark. "Je suis extrêmement satisfait des produits Minicom et j'ai déjà commencé le processus de remplacement de tous les équipements de notre réseau par des solutions Minicom, affirme Jason Hudak, Vice Président de la Technologie pour Landmark Theatres. Je m'attends à ce que le développement de notre réseau engendre bien plus d'économies."

Landmark Theatres est la plus grande chaîne de cinéma aux Etats-Unis, possédant 58 salles dans 23 marchés différents. Un certain nombre d'entre elles possède un réseau d'Affichage Dynamique avec un contenu haute définition diffusé sur des écrans repartis dans la salle. Le contenu vidéo diffusé sur les écrans par leur ancien système de distribution était d'une qualité qui laissait à désirer.

"Dès son installation dans la salle de Landmark à Baltimore, le DS Vision 3000 a eu un taux de réussite de 100%, a déclaré Dave Haar, Vice Président du département d'Affichage Dynamique de Minicom. La solution VGA nécessite la moitié du câblage que réclamait la solution DVI/HDMI que Landmark utilisait et permet d'utiliser 35% de serveurs en moins pour la diffusion. La solution de Minicom nécessite beaucoup moins d'électricité et de câblage, ce qui a pour conséquence de réduire considérablement l'infrastructure et les coûts," a rajouté Dave Haar.

Pour de plus amples informations sur l'éventail des solutions d'Affichage Dynamique de Minicom, veuillez visiter notre site ( http://www.minicom.com/av_fr.htm) ou cliquer ici pour télécharger gratuitement notre livre blanc (http://www.minicom.com/requestwhiteafr.cfm) 'Affichage Dynamique - Choisir la meilleure technologie de distribution vidéo' (http://www.minicom.com/requestwhiteafr.cfm).

Minicom Advanced Systems

Minicom fabrique des solutions d'affichage dynamique (Digital Signage) (http://www.minicom.com/av_fr.htm)pour la diffusion de contenu multimédia audio et vidéo vers plusieurs écrans distants: distributeurs Audio Vidéo, (http://www.minicom.com/av-distributors_fr.htm) VGA Vidéo splitter (http://www.minicom.com/av_av_fr.htm), broadcaster (http://www.minicom.com/av_vds_fr.htm), prolongateurs vidéo (http://www.minicom.com/av-extenders_fr.htm) et câbles vidéo (http://www.minicom.com/av_vdt_fr.htm).

Fondé en 1987 et basé à Jérusalem, Minicom (http://www.minicom.com/about_fr.htm) est présent dans 50 pays à travers le monde, (http://www.minicom.com/where_eu.htm) et fait partie du Fast 50 de Deloitte Technology, qui récompense les 500 entreprises mondiales ayant la croissance la plus élevée dans le domaine de la High Tech.

Carole Bijaoui Coordinatrice Marketing
Minicom Advanced Systems Ltd


Source : Sys Con Media

vendredi 7 décembre 2007

Webradio_Maxximum ressuscite sur le Net



Station culte, elle avait disparu de la bande FM. Maxximum ressuscite en ligne.

Quinze ans que Maxximum, la première radio consacrée aux musiques électroniques, a disparu de la bande FM. Le groupe RTL, qui la détenait, a été victime de la loi anticoncentration des médias. Les fans de Maxximum ne s'en sont jamais remis. Après avoir manifesté, ils ont créé des clubs et gardé précieusement sur leurs sites les voix des animateurs de l'époque. Alors, quand ils ont appris que la maison de disques AirPlay Records venait de racheter le nom Maxximum et le mythique blason rouge et blanc pour la ressusciter sur le Web, ils n'ont pas caché leur joie. La programmation court en trois temps : hits électro de 7 à 16 heures, nouveautés et inédits jusqu'à 22 heures - une manière pour le label de tester ses nouveaux titres - et rediffusion d'émissions des années 90 pendant la nuit.
Anne-Marie Gustave

A ECOUTER

airplayradios.com

Source : Télérama.fr

jeudi 6 décembre 2007

Affichage Numérique_Entrevue Minicom de la semaine



Cette semaine Minicom nous propose une entrevue avec M. Ajay Chowdhury, CEO de EnQii Holdings.

Entrevue complète ici

Media_Une radio planétaire rétro, mais pas trop



Accéder à des milliers de stations et écouter la musique de ses PC, tel est le rôle de la Quattro. Nous l'avons testée.

La promesse
L'un de ses atouts de cette radio, c'est sa finition et son look rétro. Bien entendu, son intérêt principal reste l'accès « gratuit » à des milliers de radios à travers la planète. Nous avons donc testé cette Radio Quattro planétaire.
La réalité

Commençons tout d'abord par indiquer que faute de disponibilité, la Radio Quattro qui nous a été envoyée pour les tests n'est pas la version la plus rétro, imitation bois, mais la version rouge laquée.

Et côté finition du produit, il ne reste plus qu'à espérer que toutes les versions sont semblables, car celle-ci est une réussite. Pas le moindre jeu sur les boutons, la peinture laquée est de bonne qualité et l'assemblage des plastiques très propre.

Concernant l'aspect du produit, seul le bouton «snooze», servant à arrêter l'alarme du radio réveil, aurait mérité mieux. Très petit (2,5 x 0,5 cm) il s'intègre parfaitement et se fait très discret sur l'appareil. Mais pour un bouton auquel on doit accéder alors que l'on est cruellement tiré du sommeil, il n'est pas aussi accessible qu'il le devrait.

Une installation sans fil et sans problème
Pour connecter cette webradio à Internet, une seule interface possible : le Wi-Fi. Le constructeur n'a pas prévu le moindre port Ethernet. L'installation de la Quattro se limitera donc au champ de réception du signal Wi-Fi. Mais c'est là la seule contrainte puisque la configuration du produit est simple.

Après avoir lancé la recherche des réseaux Wi-Fi à portée, il ne reste plus qu'à choisir celui qui convient et entrer, si nécessaire, la clé de protection (chez nous, c'est du WEP). Jusqu'ici, tout se passe bien. Cette opération n'est d'ailleurs à réaliser qu'une seule fois puisque les paramètres sont mémorisés.

Dès lors où la connexion Internet est établie, la Radio Quattro accède rapidement à la liste des webradios, triées par genre ou par pays. L'interface de contrôle est semblable à celle des autres produits du genre que nous avons eus l'occasion de tester.

La navigation dans les menus se fait par le biais d'une molette en façade. On valide ensuite ses choix grâce à deux boutons. Les menus sont succins mais clairs. Neuf autres boutons (lecture, suivant, précédent, stop, etc.) accessibles en façade sont réservés à l'écoute de la musique depuis l'un de vos PC ainsi qu'à la configuration de la fonction réveil.

Pas seulement une webradio
Accéder aux 8 125 webradios (204 radios Internet rien que pour la France) offrant tous les styles de musique c'est bien, mais avoir aussi accès à sa musique, c'est encore mieux.

Ainsi, la Radio Quattro est capable d'aller piocher dans la musique des PC installés sur votre réseau domestique. La manipulation est assez simple. Il suffit de définir sur le ou les PC sous Vista quels sont les répertoires à partager.

On retrouve ensuite ces mêmes répertoires dans le menu «Windows Shares». Ca fonctionne et c'est rapide, à condition bien sur que la liaison Wi-Fi soit correcte. Cette webradio peut également être utilisée comme une enceinte pour votre baladeur MP3 ou votre PC portable, par exemple. Elle dispose pour cela d'une entrée ligne au format prise casque.

Une qualité audio qui justifie son prix
Que l'on écoute ses morceaux MP3 ou bien une radio Internet, la qualité audio est bien au-dessus de ce que l'on connaît sur les produits concurrents.

Le son, sans pour autant être d'une qualité exemplaire, est étonnamment puissant et ne souffre pas du moindre souffle ou grésillement, même poussé à son maximum. Les basses sont assez présentes et on sonorise aisément une pièce d'une trentaine de mètres carrés.

Bien entendu, du côté des radios Internet, la qualité est fonction du débit d'émission. Si on obtient un résultat correct avec les radios diffusées en 64 Kbits/s, on préfèrera la qualité des radios émises en 128 Kbits/s.
Le verdict

Le bilan est globalement positif. Bien que l'interface ait un goût de déjà-vu, la qualité du son comme la qualité de finition sont au rendez-vous.

Si votre budget le permet, la Radio Quattro est, pour notre part, une webradio de référence. On regrettera tout de même l'absence d'un port Ethernet limitant le champ d'action de cette radio à celle du signal Wi-Fi.

Source : 01.net
Par : David Nogueira

mercredi 5 décembre 2007

Affichage Numérique_Zoom Média étend son réseau numérique à la ville de Québec.



Zoom Média a annoncé hier l’addition de la Ville de Québec à son réseau numérique pancanadien.

Le déploiement de 50 écrans dans la Capitale nationale s’ajoute donc au réseau existant de Montréal, Toronto et Vancouver.

Les nouveaux écrans seront installés dans des restos-bars de la ville, ainsi que dans les centres sportifs Nautilus Plus et Énergie Cardio de Québec.

Zoom affirme que ces ajouts en font “le plus large réseau canadien d’affichage intérieur numérique, à connexion Internet et à écrans LCD dans les environnements convoités et très achalandés des centres sportifs et des restaurants”.

Je suis curieux de voir quelle compagnie arrivera à établir un solide réseau d’affichage numérique de contenu dans les centres de conditionnement physique. Je vois peu de raisons de continuer à diffuser de la programmation télé dans ces lieux et de ne pas rejoindre cette clientèle bien ciblée ailleurs que dans les vestiaires.

Source: Le blog de l'affichage numérique à Montréal
via InfoPresse

mardi 4 décembre 2007

Technologie_Microsoft se paie WebFives, service de partage de fichiers (ex Vizrea)



Cette 'start-up' de Seattle a été créée par un ex-développeur du Windows Media Center
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Retour au bercail, en passant par la case 'Jackpot'... Michael Toutonghui, ancien "distinguished engineer" de Microsoft, vient de céder sa start-up à son ex-employeur qui l'a 'rattrapé'.

Sa petite société, WebFives, a développé un service de 'file sharing' permettant de partager, sur Internet ou via les mobiles, des fichiers photos, vidéos, audio ou blogs.

La start-up a été créée en 2003 sous le nom de Vizrea Corp. Son activité la place à proximité de services comme YouTube qu'elle vient compléter dans une optique de consolidation des réseaux sociaux.

Pourquoi se vendre aujourd'hui ? "Pour de nombreuses raisons, nous avons décidé cette année que la meilleure décision pour notre entreprise serait de vendre notre technologie à une entreprise plus grande, avec la vision et la capacité de prendre le meilleur de nos efforts et éventuellement de la rendre disponible à des millions, plutôt qu'à des milliers d'utilisateurs", a déclaré Michael Toutonghui.

Les activités de WebFives vont se prolonger jusqu'à la fin de l'année, avant de fermer définitivement lorsque sa technologie sera intégrée à la suite de services de Microsoft. Les données qui ont été chargées sur les comptes d'utilisateurs de WebFives seront alors détruites de ses serveurs et ne seront plus disponibles en ligne.

Source : Silicon.fr

samedi 1 décembre 2007

Affichage Numérique_JC Decaux à la recherche d'un partenaire technique global



Selon le toujours bien informé blog DOOH:

"Il ya de fortes rumeurs que JC Decaux est sur le point de faire une annonce concernant le choix d'un partenaire mondial pour l'Affichage Dynamique.

Je sais de trois fournisseurs de logiciels et un fournisseur de solutions ont été shorlistés."

A suivre....

Lire l'article DOOH
également dans
Digital Signage News

Source : Affichage Dynamique, le blogue

jeudi 29 novembre 2007

Affichage Numérique_4.5 semble un chiffre rond pour Broadsign



Après avoir récemment annoncé un investissement de 4.5M$ pour Montréal, c’est en Asie que le leader des logiciels pour ADN investit maintenant 4.5M$. Ils ont récemment gagné une soumission pour un réseau de 300 écrans en Inde, devançant une vingtaine de compétiteurs, qui devrait croître rapidement.

Selon Rick Engels, CEO de Broadsign, beaucoup de magasins au détail ouvrent leurs portes en Inde et incluent l’ADN dans le plan de départ, facilitant ainsi le processus d’installation. La classe moyenne de l’Inde inclut 250 M de personnes et est en pleine expansion.

Le centre de support de Broadsign à Montréal offre du soutien technique jour et nuit en 10 langues et dans plus de 25 pays. La Chine et l’Inde sont ainsi de “petits” ajouts pour l’entreprise ;-)

Tiré du blog de l'affichage numérique a montréal

Source TMC.net

mercredi 28 novembre 2007

Web_Bienvenue dans le World Life Web



Après le World "Wide" Web, après le World "Live" Web, voici venu le temps du World "Life" Web.

En 1994, suite aux travaux de Tim Berners Lee est officiellement né le World Wide Web. Une toile, mondiale, « large » dans sa dimension au moins autant que dans ses contenus. Avec le temps, ces derniers ont littéralement explosés, imposant à tous l’usage des moteurs de recherche pour mettre un semblant d’ordre dans ce chaos fertile et fécond, sur la base d’un principe de classement « par pertinence ». Le principal problème qu’eut à gérer le web dans sa phase initiale de déploiement fut celui de l’adressage des documents. Pour les trouver, pour les retrouver, il fallait que ceux-ci disposent d’une adresse physique sur le réseau. La réponse fut apportée grâce notamment au protocole « http » (hypertext transfer protocol) ainsi que via le système de nommage qui permet d’identifier et de classer les sites sur la base du nom de domaine qu’ils ont choisi. Ce processus d’adressage pose encore aujourd’hui quelques problèmes et doit notamment faire face à l’explosion constante des contenus, d’où l’apparition de nouvelles extensions (« .mobi » pour les sites dédiés à la téléphonie mobile, « .museum » pour les sites de musées, etc.) et la question ouverte d’élargir ce protocole à l’ensemble des langues de la planète. Ce fut là le premier âge documentaire du web.

Puis vint le World Live Web. Un web instantané, un web donnant en temps réel l’état des dernières informations publiées. Le service Google News fut à ce titre l’un des pionniers de ce deuxième âge documentaire, mais celui-ci permet également de désigner ce que l’on appelle des micro-contenus (billets de blogs par exemple). Le critère de pertinence utilisé par les moteurs reste naturellement essentiel, mais un second critère tout aussi important vient s’y ajouter, celui de la capacité à rendre compte en temps réel de l’évolution des documents publiés sur le web, et ce quelle que soit leur « granularité ». Là où les moteurs de recherche classiques n’indexaient que des « pages », le moteur de recherche de la blogosphère se mettent à indexer des « billets », comme autant de fragments documentaires sitôt publiés, sitôt indexés, sitôt accessibles.

Nous sommes depuis quelques temps, notamment avec l’essor extraordinaire des « réseaux sociaux » (Facebook, MySpace) et celui des mondes virtuels (Second Life), entrés dans un troisième âge documentaire : celui du World Life Web. Après l’adressage des documents, après leur niveau de granularité (de plus en plus fin), la principale question que pose ce nouvel âge est celle de la sociabilité et du caractère indexable, remixable de notre identité numérique et des traces qu’elle laisse sur le réseau. Dans ces mondes et ces réseaux virtuels, chacun peut donner les informations qu’il souhaite. Et ces informations peuvent indistinctement relever de notre sphère publique (notre métier par exemple), de notre sphère privée (nos relations, nos amis), enfin et surtout de notre sphère intime (nos préférences politiques, sexuelles ou religieuses).

De plus en plus de sites de réseaux sociaux « ouvrent » l’immense catalogue des individualités humaines qui les composent à l’indexation par les moteurs de recherche. Ce qui pose nécessairement la question de la pertinence des profils humains. Une question qui n’en est encore qu’à ses balbutiements, mais dont l’étendue des problèmes posés peut à juste titre faire frémir. Il est en effet établi que chacun des utilisateurs de ces systèmes, loin de disposer d’un profil unique librement consenti et ne contenant que des informations à caractère public (un peu à la manière de nos « cartes d’identités »), dispose de plusieurs profils différents, sur différents sites, dans différentes sphères (publiques, privées ou intimes). Que beaucoup d’utilisateurs "entrent" dans ces réseaux sociaux sous la forme de pseudonymats (pseudonymes masquant l’identité réelle) ou d’avatars, s’inventant ainsi des identités parfois ludiques, parfois recomposées, parfois mensongères, souvent idéalisées, toujours fragmentaires. La politique de confidentialité des sites récoltant ces informations, généralement de manière librement consentie, a déjà fait l’objet de nombreuses critiques, mobilisant institutions et associations sur le créneau de la défense d’un droit à l’oubli numérique. Or s’il est possible de sensibiliser les gens à la logique d’industrialisation de l’intime qui sous-tend ces univers, s’il est possible d’en appeler à leur vigilance et à leur responsabilité, il demeure impossible de contrôler ce que deviendra le remixage de l’ensemble de ces traces, une fois affiché, par exemple, dans un moteur de recherche.

La question qui se pose donc aujourd’hui est celle du caractère indexable de l’être humain. Celle de savoir si l’homme est, ou non, un document comme les autres. La question enfin, pour chacun d’entre nous, de se voir doté d’une identité numérique globale et non maîtrisée. Cette identité sera définie (elle l’est déjà pour une large part) via mes parcours sur le net, mes actes d’achat, les expressions (maîtrisées ou non) de mon affichage identitaire, ainsi que par le reflet de l’ensemble tel qu’il apparaîtra « remixé » dans les moteurs de recherche, les réseaux sociaux ou les mondes virtuels. L’urgence de cette question en appelle une autre : celle du pourquoi ? Les documents, les mots-clés ont acquis une dimension marchande. Ils se vendent et s’achètent sur la grande place de marché d’internet, que régule pour une large part le seul moteur Google. Nos traces identitaires numériques seront-elles demain également marchandisables ? Bienvenue dans le World Life Web.

Source : AgoraVox

Musique_QuebecTorrent.com dans le pétrin



L'étau se resserre autour de QuébecTorrent.com. Alors que le site se prépare à combattre une poursuite de 200 000$ intentée par une trentaine de producteurs de musique, de films et de télévision québécois qui l'accusent de piratage, la Division des enquêtes fédérales de la GRC mène sa propre enquête.

Les agents du corps policier fédéral cherchent entre autres à déterminer avec certitude l'identité de l'administrateur de QuebecTorrent, qui répond au pseudonyme de Doditz. Son véritable nom est Sébastien Brulotte, copropriétaire de Dream-Concept, entreprise d'hébergement de sites web.

QuebecTorrent est, dans le jargon des pirates, un «tracker», ou pisteur de torrents, un site utilisant le protocole Bittorrent, idéal pour télécharger rapidement des contenus lourds comme des films ou de la musique. Le site se targue d'avoir permis à ses 50 000 membres de télécharger collectivement plus de 1000 terra-octets de données, soit l'équivalent de 17 millions d'albums musicaux, depuis son ouverture il y a un peu plus d'un an.

La poursuite de 200 000$ en dommages exemplaires intentée en Cour supérieure contre M. Brulotte, son entreprise et ses deux associés a connu un premier revers vendredi. Le groupe de producteurs qui mène la charge, composé notamment de Zone 3, de l'Équipe Spectra, de Sony BMG Music, des disques Audiogramme et d'EMI, a tenté en vain d'obtenir une injonction interlocutoire forçant la fermeture immédiate du site. «Nous avons perdu cette première manche, mais il n'est pas question pour nous de baisser les bras, explique Me Julie Martineau, du cabinet Fasken-Martineau mandatée par l'industrie. Le juge a estimé que nos clients subissent un préjudice irréparable, mais qu'il n'y avait pas de caractère urgent à notre demande. Le recours va donc suivre son cours normal.»

Pendant ce temps, l'administrateur QuebecTorrent multiplie les requêtes de dons auprès des membres du site pour assurer sa défense advenant une poursuite judiciaire de longue haleine. Un système de transfert bancaire par carte de débit a été mis sur pied sur le QuebecTorrent et des appels à l'aide ont été lancés sur des sites internationaux très populaires (TorrentFreak.com et Digg.com, notamment) auprès des utilisateurs de réseaux Bittorrent. «Il est maintenant claire (sic) que l'industrie attaque le system (sic) «peer to peer» au canada. Il est aussi claire (sic) que QuebecTorrent.com Inc devra aller se défendre devant les tribunaux. Il est important de comprendre que cette cause touche TOUS les sites torrent au canada, car si QuebecTorrent perd ou gagne, cela va crée (sic) jurisprudence et pourra nuire ou aider TOUS les «tracker» du Canada», pouvait-on lire hier sur la page d'accueil de QuebecTorrent.

Si la poursuite intentée par l'industrie devait aller jusqu'au bout, il s'agirait effectivement d'une première du genre au Canada, confirme Pierre Trudel, du Centre de recherche en droit public de l'Université de Montréal. «Jusqu'à maintenant, les tribunaux se sont uniquement prononcés sur l'obligation des fournisseurs d'accès à l'internet (comme Sympatico ou Vidéotron) de fournir le nom des clients soupçonnés de piratage.» L'industrie du disque a alors été déboutée et, depuis, aucune autre poursuite n'a été intentée au Canada contre des administrateurs de sites pirates.

Depuis que QuebecTorrent a fait l'objet d'une première vague de mises en demeure à la mi-octobre, ses administrateurs affirment avoir changé sa vocation, le transformant en un site spécialisé dans l'échange de fichiers non protégés par des droits d'auteurs. «Un filtre a été mis en place pour éliminer à mesure que les membres les mettent en ligne plus de 10 000 titres (québécois) protégés par des droits d'auteur», explique Me Alain Lecours, avocat de QuebecTorrent.

Lors d'une rapide visite hier, La Presse a constaté que des centaines de films et albums américains protégés par des droits d'auteur sont toujours disponibles sur QuebecTorrent, mais que les contenus québécois sont effectivement nettement plus rares qu'avant. Il a toutefois été possible de télécharger facilement le film québécois Les 3 p'tits cochons, l'album éponyme de Pierre Lapointe et Le Dôme, de Jean Leloup.

À lire aussi :

- QuebecTorrent.com est toujours en ligne
- L'industrie du disque vise QuebecTorrent
- Le culte des «power seeders»
- QuebecTorrent.com: une éthique variable

Source : La Presse Affaires
Tristan Péloquin

Technologie_Vista: deux fois plus lent que XP



Le nouveau système d'exploitation de Microsoft est loin de rivaliser en vitesse avec son prédécesseur XP, selon des essais comparatifs.

Même le très attendu Pack 1 de Windows Vista, qui sortira l'an prochain, n'arrive pas à concurrencer son aîné XP.

Les chercheurs de la firme de développement informatique Devil Mountain Software ont comparé les différents systèmes d'exploitation dans leur laboratoire de Floride. Pour tester la vitesse de Vista, ils ont utilisé une version bêta du Service Pack 1.

Équipé ou non du Service Pack 1, Vista a été plus lent que le Service Pack 3 de XP. Le dernier rejeton de la famille Windows a mis plus de 80 secondes pour satisfaire au test, contre 35 secondes pour XP.

Le Pack 1 permet d'améliorer la performance de Vista de seulement 2 secondes.

Le test consistait en une série de tâches réalisées sous Microsoft Office 2007. La machine utilisée était un ordinateur Dell XPS M1710, pourvu d'un microprocesseur Core 2 Duo de 2 Ghz et de 1 Gb de mémoire vive.

Un porte-parole de Microsoft a réagi en précisant que le Pack 1 de Vista est «encore en développement», et continuera à évoluer d'ici à sa sortie.

Si Vista n'obtenait pas de meilleures performances, il s'agirait d'un nouveau revers pour Vista, alors que de nombreuses entreprises attendent le prochain Pack 1 pour adopter le nouveau système d'exploitation.

Un an après son lancement, seules 13% d'entre elles sont passées à Vista. Microsoft a récemment admis que le lancement n'a pas été aussi bon qu'escompté. L'un des vice-présidents de la firme de Redmond a ainsi affirmé que le monde n'était pas prêt à 100% pour Windows Vista.

Six mois après son lancement, les ventes de Vista sont près de 60% en-dessous de celles de XP à ses débuts. Microsoft affirme que son nouveau système d'exploitation se vend de mieux en mieux.

Microsoft achèvera la commercialisation de XP en juin 2008, alors qu'elle comptait arrêter les ventes dès janvier. La pression exercée par les clients a persuadé Microsoft de reporter l'opération.

À lire aussi:

Microsoft a vendu 130 millions de Vista

Vista : le SP1, version d'évaluation en ligne

Source : La Presse Affaires D'après CNET News

mardi 27 novembre 2007

Media_2,4 millions d'abonnés HSDPA et 6,5 millions de consommateurs pour la TV sur mobile



L'IDATE publie son analyse sur le développement du Broadband Mobile en Corée du Sud. Surtout connu pour être à l'avant-garde du déploiement des réseaux à très haut débit fixes, le pays dispose aussi, avec un total de 48 millions d'habitants, d'un marché mobile très dynamique qui par certains aspects constitue un véritable laboratoire des normes et services d'internet mobile.

2,4 millions d'abonnés HSDPA en août 07
La Corée du Sud fut longtemps considérée comme le temple du CDMA, la famille de normes rivales du WCDMA (retenue notamment en Europe pour l'UMTS 3G). Toutefois les choses basculèrent quand KTF décida au printemps 2006 d'opter pour le HSDPA (évolution à 1.8 Mbps et même 3.6 Mbps du WCDMA) en lançant le service sur Seoul et son agglomération. Aujourd'hui les services HSDPA, fournis également par le n°1 SKT, sont disponibles auprès de 99% de la population, et comptent près de 2,5 millions d’abonnés à fin août. En juillet, KTF a annoncé que 50% de ses abonnés auraient basculé en HSDPA à la fin 2008 et 100% en 2012. Dans le même temps, les débits offerts passeraient à 7,2Mbs puis 14,4Mbs…

Les débuts difficiles du service WiBro
Non contents de promouvoir un marché de l'internet mobile (3.5G) à partir de deux familles de normes, les deux principaux opérateurs sud-coréens sont aussi à l'initiative en déployant le Wibro, déclinaison coréenne du WiMax mobile. Le débit atteint aujourd'hui est de 3Mbps en voie descendante et de 1.2 Mbps en voie remontante, mais il devrait doubler d'ici la fin de l'année. Ce débit, combiné aux efforts marketing de KT beaucoup plus actif que SKT et à un tarif attractif (de l'ordre de 19 800 wons pour un service illimité), ont permis d'atteindre plus de 21 000 abonnés en juin dernier.
L'objectif de KT est désormais d'atteindre au moins 20 000 abonnés d'ici la fin de l'année et 3.1 millions d'abonnés d'ici 2010.

6,5 millions de consommateurs pour la TV sur mobile avec encore des questions sur la rentabilité des deux systèmes
Enfin, la Corée du Sud est aussi la référence en matière de TV mobile. Deux systèmes coexistent. Le SDMB lancé en mai 2005 par TuMedia, filiale de SKT, et la TDMB lancée par les chaînes de TV hertziennes en décembre 2005. En mai 2007, on dénombrait respectivement 1,1 et 5,3 millions d'abonnés pour ces services. Cette différence s'explique d'abord par le fait que la TDMB est financée par la publicité tandis que la SDMB nécessite un abonnement mensuel de 11 EUR. On retrouve aussi sur la TDMB les programmes populaires des chaînes hertziennes. Enfin, une part importante de l'audience de la TDMB est assurée par les écrans TV (GPS) des voitures. Aucun de ces deux modèles n'est toutefois assuré d'atteindre la rentabilité.

Source : Mobiris

Pub_Les leaders de l'industrie en panne d'inspiration devant les réseaux sociaux



Les gestionnaires de l'industrie reconnaissent l'importance des réseaux sociaux, mais ne savent pas comment en tirer profit, dévoile une étude parue aujourd'hui.

Le rapport a été réalisé par Pollara Strategic Insights pour Com.Motion, un site créé par Veritas Communications pour guider les professionnels de la publicité dans les réseaux sociaux. Les résultats sont disponibles sur le site Web de Veritas.

"Nous avons été surpris de constater que, alors que beaucoup de gestionnaires ont conscience de l'importance de l'outil que représentent les réseaux sociaux, la plupart ne sont pas réellement capables de le maîtriser", explique Robert Hutton, vice-président exécutif de Pollara.

Selon les résultats de l'enquête, réalisée auprès de 444 entreprises et chefs de file de l'industrie, près de la moitié d'entre eux pensent que les réseaux sociaux représentent un support plus important que la télévision, la radio, les journaux et les magazines.

Pourtant, un tiers des gestionnaires seniors se disent moins familiarisés avec les réseaux sociaux que ne le sont leurs clients, et 28% refusent tout simplement d'investir dans ce secteur.

"Beaucoup de leaders de l'industrie se trompent de cible lorsqu'ils utilisent ces outils, dit Robert Hutton. Ils ne comprennent pas qu'ils ont affaire à des consommateurs qui communiquent entre eux."

L'exemple de la dernière campagne Molson illustre, selon le spécialiste, cette incompréhension. Le brasseur a dû mettre fin à une opération lancée sur Facebook en fin de semaine dernière. L'initiative, qui invitait les jeunes à mettre en ligne leurs photos et vidéos de party, s'était révélée problématique pour l'image de la marque.

"Ils ont fait une mauvaise utilisation du média. Ils n'ont pas assez bien analysé leur cible et ont perdu de vue leur message. Une entreprise de cette taille devrait avoir pris le temps de s'assurer de la viabilité d'une telle opération avant de la donner en pâture aux médias."

Source : InfoPresse

par Aurore Lehmann, Infopresse

Web_Un "Black Friday" exceptionnel pour le commerce en ligne



Les achats en ligne lors de la Thanksgiving américaine ont connu une hausse de près de 30% par rapport à l'année dernière, ce qui laisse présager un fort achalandage pour les fêtes, selon la firme comScore.

Pour la période du 1er au 23 novembre, 9,3 milliards$US ont été dépensés en ligne sur le marché américain, une hausse de 17% sur l'année précédente. Le jour de la Thanksgiving, 272 millions$US ont changé de mains (29% de plus que l'an dernier), alors que le Black Friday (le vendredi suivant la Thanksgiving, célèbre pour son achalandage commercial) a connu une hausse de 22% du chiffre d'affaires.

"Historiquement, les dépenses en ligne du Black Friday ont été un signe avant-coureur pour le reste de la saison", affirme Gian Fulgoni, président du conseil d'administration de comScore.

La catégorie la plus populaire demeure celle des jeux vidéo, avec une hausse des achats de 134% par rapport à l'an dernier. Les électroménagers et l'ameublement ont pour leur part connu une progression de 36%, tandis que les ventes d'appareils électroniques sont en croissance de 21%.

Source : InfoPresse
par Patrick Bellerose, Éditions Infopresse

lundi 26 novembre 2007

Web_ Les recherches sur Internet ont progressé de 6% depuis le 1er trimestre 2007



Les recherches sur Internet ont progressé de 6% depuis le 1er trimestre 2007
En septembre, L’IAB France et comScore ont publié conjointement les premiers chiffres sur le Search en France. Pour cette deuxième publication, ces deux partenaires présentent l’évolution du Search au cours des 3 premiers trimestres 2007, mettant ainsi en exergue la forte progression de cette activité depuis janvier.

Une forte progression du Search depuis le 1er trimestre 2007


L’activité du Search a connu une forte croissance entre janvier et septembre 2007. On observe que 2,3 milliards de recherches ont été effectuées en France et 3,1 milliards de pages de résultats de requêtes ont été consultées au troisième trimestre, soit un léger recul par rapport au deuxième trimestre, mais une forte progression par rapport au 1er trimestre. En effet, le nombre de requêtes a augmenté de 6% entre le premier et le troisième trimestre 2007.
Parmi ces 2,3 milliards de recherches, une majorité a été réalisée via la navigation (2 milliards) et le reste via les barres de recherche (262 millions).


* Une progression constante du nombre de chercheurs


Ainsi, le nombre de chercheurs s’est sans cesse accru au cours des 3 trimestres pour atteindre les 24 millions soit une augmentation de 10% entre juillet et septembre malgré la période estivale.

* Les plus gros chercheurs : les 15/24 ans


Comme nous l’avions observé lors de la dernière publication, les résultats de cette étude confirment que ce sont les 15/24 ans les plus gros chercheurs tout sexe confondus.

* Google domine le marché


Les résultats publiés aujourd’hui démontrent que les sites Google ont enregistré une progression de 2 points dans ce domaine entre janvier et septembre 2007. Google domine le marché avec 86% du total des recherches menées en France. Yahoo ! arrive en deuxième position avec une part de marché de 3,5% suivi par Microsoft qui détient 3,1% de parts de marché. eBay et France Telecom suivent avec respectivement 2,4% et 2% de parts de marché.

Source : MassMedia.fr

Affichage Numérique_La première étude qualitative mondiale sur l'affichage numérique



Lancement du site Web sur le guide de référence sur l'affichage numérique de POPAI DS

POPAI, The Global
Association for Marketing at-Retail, mène actuellement un sondage
approfondi et indépendant sur le marché mondial de l'affichage
numérique au point de vente / point d'intérêt. Selon l'industrie
mondiale des médias, l'affichage numérique sera le média vedette du
futur, celui qui rapportera plusieurs milliards de dollars. L'étude
est menée par l'un des leaders des instituts d'études du marché en
Europe et utilise un processus en quatre étapes pour recueillir des
données auprès de plus de 1 000 initiés et experts en provenance de
tous les continents. Les renseignements et les détails complets
concernant la marche à suivre pour commander une copie du rapport
(plus de 500 pages, reliure en tissu d'allure professionnelle) avant
la date prévue de publication, qui sera vers la fin de l'année, sont
maintenant disponibles sur le site plurilingue
http://www.PopaiDS.org. Des versions destinées à la formation et aux
membres POPAI sont disponibles. Toutes les commandes effectuées et
payées d'ici le 31 décembre 2007 se verront accorder un rabais de
commande anticipée de 10 %.

Ce sondage sur l'affichage numérique diffère de la panoplie
d'autres rapports de recherche en quatre points :

(1) Sondage mondial effectué selon une méthode et une approche
intégrées

(2) Étude qualitative de tous les groupes de parties intéressées
gravitant autour des médias numériques

(3) Non influencé par les fournisseurs ou du lobbying

(4) Donne un livre de référence de plus de 500 pages sur
l'affichage numérique

Les participants au sondage en ligne et aux entrevues personnelles
approfondies sont des représentants de l'industrie, des détaillants,
des représentants du marché, des médias et des fournisseurs. Parmi
les sujets abordés, on retrouve la situation et les perspectives des
marchés locaux, régionaux et mondiaux, les perceptions et le
potentiel, les options à la portée des parties intéressées, les
programmes actuels, les concepts, les ventes de médias, la gestion de
projet et la recherche, le contenu, la technologie et les modèles
d'entreprise.

L'étude est actuellement en cours ; toutefois, la date limite pour
y ajouter vos opinions approche rapidement. Si vous souhaitez jeter
un coup d'oeil à la méthodologie qui a motivé les questions de
l'étude, veuillez consulter le site plurilingue :
http://www.GlobalDigitalSignageResearch.org. Nous vous donnons
l'occasion de prendre part au tout premier programme de recherche
mondial et indépendant sur l'affichage numérique.

Fabian Keller, vice-président de l'affichage numérique pour POPAI,
a déclaré : " Il s'agit de la toute première fois que nous pourrons
tous réellement comprendre la croissance de l'industrie des médias
numériques. Je crois que les médias numériques sont à deux pas de
quelque chose de fantastique et nous tenons à demeurer à la fine
pointe de ce phénomène. Cette étude nous donnera un tout nouvel
aperçu du marché et le rapport sera un outil essentiel à toute
personne qui planifie/étudie/exploite l'affichage numérique. Les
premières présentations des résultats que nous avons effectuées à New
York, Sydney, Moscou et Zurich ont donné lieu à des commentaires
fantastiques. Sans la compréhension approfondie des consommateurs,
des marques et du marché mondial du détail que nous ont offert le Dr
Stephan Telschow et son équipe, nous n'aurions pas été en mesure de
nous rendre où nous sommes actuellement. "

Participez maintenant au
http://www.GlobalDigitalSignageResearch.org

Commandez à l'avance un exemplaire du rapport final au
http://www.Popaids.org

Pour de plus amples renseignements ou pour discuter avec M. Fabian
Keller ou le Dr Stephan Telschow, veuillez contacter :

Nicolas Loose, GIM, Tél. : +49(6221)8328-511, n.loose@g-i-m.com.

À propos de POPAI, The Global Association for Marketing at-Retail

POPAI est l'unique association sans but lucratif au service de
l'industrie mondiale du commerce de détail. Fondée en 1936, POPAI a
des bureaux dans plus de 19 pays. Pour de plus amples renseignements
sur POPAI et sur l'étude, veuillez contacter : Fabian Keller,
vice-président de l'affichage numérique, fabiankeller@popai.de ou
consultez le http://www.popai.com.

À propos de GIM, the Gesellschaft für Innovative Marktforschung
mbH

GIM, Gesellschaft für Innovative Marktforschung, compte parmi les
leaders des instituts allemands d'études du marché qui préconisent
une approche qualitative. Le réseau mondial de GIM s'étend à tous les
continents. La mission principale de GIM est de comprendre les
consommateurs. Pour de plus amples renseignements sur GIM et GIM POS,
veuillez contacter : Dr Stephan Telschow, s.telschow@g-i-m.com ou
consulter le http://www.g-i-m.com.

ots Originaltext: POPAI
Internet: www.presseportal.ch/fr

Contact:

Pour de plus amples renseignements ou pour discuter avec M. Fabian
Keller ou le Dr Stephan Telschow:
Nicolas Loose, GIM
Tél.: +49/(6221)/8328-511

Pour des renseignements sur POPAI et sur l'étude:
Fabian Keller, vice-président de l'affichage numérique

Pour de plus amples renseignements sur GIM et GIM POS:
Dr Stephan Telschow

Source : PressPortal

dimanche 25 novembre 2007

Affichage Numérique_Showbizz pour que publicité rime avec proximité



Le réseau d’écrans répartis à travers l’île sera contrôlé à partir de Riche-Terre où est située Showbizz Entertainment.
Le réseau d’écrans répartis à travers l’île sera contrôlé à partir de Riche-Terre où est située Showbizz Entertainment.
Un concept novateur, basé sur la publicité de proximité avec le concours de la technologie. Showbizz Entertainment Ltd est une filiale du groupe La Sentinelle. Il a procédé au lancement de son réseau d’affichage dynamique, hier soir, à La Bâtisse, hôtel Le Suffren, à Port-Louis.

Le réseau Showbizz Hyper se compose de 133 écrans plats LCD et plasma de 42 et 60 pouces répartis sur un peu plus d’une quarantaine de sites à travers l’île. Supermarchés et hypermarchés en sont équipés pour la diffusion de spots publicitaires afin «d’influencer les clients sur les points de vente au moment de l’achat».

«L’idée, à la base, est d’offrir une publicité de proximité avec le consommateur, explique Audrey Kelly, Content Editor chez Showbizz Entertainment Ltd., et ce réseau offre une proximité qu’aucun autre support ne donne. Il ne s’agit pas uniquement de diffuser de la pub en boucle mais de proposer un contenu, comme les petites astuces de bricolage ou de cuisine, l’horoscope, la météo et les nouvelles sportives grâce à un accord avec Euronews, entre autres.»

Impact visuel

La technologie utilisée sur ces supports (panneaux d’affichage dynamique) repose sur un logiciel permettant la diffusion à distance des contenus sur des écrans de haute résolution. Les données sont envoyées et contrôlées depuis la société basée à Riche-Terre sur le réseau qui les retransmet sur les écrans plats, accroissant ainsi l’impact visuel.

D’autres projets sont en cours de réalisation notamment le Showbizz Mall qui permettra la diffusion de pub dans les centres commerciaux. La totalité des écrans sera opérationnelle dès décembre alors que Showbizz Hyper le sera dès demain.

Grâce à Showbizz Hyper, l’entreprise désirant faire la promotion de son produit ou service peut s’attendre à ce que sa publicité reçoive jusqu’à 3,5 millions de visites par mois car bien souvent le client revient faire ses achats en grande surface plus d’une fois par semaine, visionnant ainsi plus d’une fois la pub.

Le coût moyen d’une pub de 30 secondes sur une campagne de quatre semaines consécutives peut revenir à Re 1,31 à l’annonceur.

Source : L'express.mu

Media_Contre les mensonges médiatiques, Radio Venezuela en Vivo



Vivez en direct et en français le referendum populaire sur la Reforme Constitutionnelle au Venezuela.

Qu’est-ce que Radio Venezuela en Vivo ?

Radio Venezuela en Vivo est une radio qui émet par Internet. Elle a été créée à l’initiative d’un groupe d’internationalistes basés à Caracas et dans les grandes villes du Venezuela, dans le but d’offrir une information objective continue sur la situation réelle du Venezuela pendant la période du Référendum sur la Réforme Constitutionnelle. Radio Venezuela en Vivo émettra principalement en français et en anglais, s’enrichissant aussi d’émissions en arabe et en portugais.

Pourquoi lancer Radio Venezuela en Vivo ?

En tant qu’observateurs internationaux du processus démocratique en cours au Venezuela, les membres de Radio Venezuela en Vivo, ont pu voir comment ces derniers temps les mensonges médiatiques sur la situation que nous vivons tous les jours ont pu s’intensifier dans les media internationaux. Pour tenter de contrer une situation de Coup d’Etat médiatique, comme ce fut le cas en Avril 2002, Radio Venezuela en Vivo informera la communauté internationale 24h/24h des évènements qui entourent le référendum sur la Réforme constitutionnelle.

Où et Comment écouter Radio Venezuela en Vivo ?

Sur Internet, en cliquant sur l’icône radio : http://radiovenezuelaenvivo.blogspot.com
La publication de notre programmation vous permettra de sélectionner les horaires correspondants à la langue de votre choix.

Quand écouter Radio Venezuela en Vivo ?

Nous commencerons à émettre dans la journée du jeudi 29 novembre 2007. Nous proposerons divers programmes d’analyses et de reportages de la part des présentateurs et des correspondants que nous comptons dans tout le Venezuela. A partir du samedi 1 décembre, nous proposerons un suivi continu 24h/24h de la situation réelle au Venezuela.

Pouvons nous participer à Radio Venezuela en Vivo ?

Oui. Le forum que nous installerons sur le site Internet vous permettra de dialoguer avec nos présentateurs et de leur poser vos questions. De plus, si vous êtes observateurs des élections à l’ambassade du Venezuela dans votre pays, faites le nous savoir, nous vous appellerons. Votre témoignage est précieux. Si vous êtes animateurs d’une radio, n’hésitez pas à réutiliser nos émissions. N’oubliez pas votre participation à tous est essentielle pour faire connaître l’existence de cette radio.

Contre les mensonges médiatiques, écoutez et faites connaître Radio Venezuela En Vivo

Source : Le grand soir

mercredi 21 novembre 2007

Affichage Numérique_Neo Advertising s'empare de la néerlandaise POSTV



La société Neo Advertising continue d'étendre sa toile. La PME genevoise, active dans l'affichage numérique (écrans plasma dans les gares, postes, stations-service, etc.) vient d'acquérir l'entreprise néerlandaise POSTV, leader dans son pays. Si le montant de l'opération n'a pas été dévoilé, il s'élevrait à environ 10 millions de francs, selon nos sources.

«Cette acquisition nous donne accès à un pays où nous étions encore absents. POSTV compte 8780 écrans plats sur 205 sites dans la grande distribution notamment et touche 6 millions de consommateurs par mois», a révélé mardi au Temps Christian Vaglio-Giors, cofondateur et directeur de la société Neo Advertising. POSTV dispose d'écrans dans les enseignes de Vodafone, Tfor Telecom ou encore MediaMarkt. Canon (7739.T), Gillette, Heineken, Nokia, Samsung et Unilever font appel à ses services. Elle emploie 25 collaborateurs pour un chiffre d'affaires annuel de 3 millions d'euros.

Neo Advertising épingle ainsi un nouveau pays, après la Suisse, l'Allemagne, l'Espagne, la Belgique, le Canada et les Etats-Unis. D'autres devraient suivre bientôt. «Nous sommes à bout touchant sur plusieurs opérations dont une en République tchèque.» La petite entreprise, qui a vu le jour en 2003, ne cesse de grandir. Cette année elle devrait plus que doubler son chiffres d'affaires à 12 millions de francs, contre 5 millions l'an passé. Pour 2008, notamment grâce à l'impact de POSTV, les ventes consolidées devraient s'élever à 25 millions de francs.

Convoitises japonaises

Ce succès ne passe pas inaperçu. «Nous avons failli céder aux chants de sirènes d'un groupe japonais, mais avons renoncé au dernier moment. Il reste tant à faire dans ce secteur que c'est l'indépendance qui nous sied le mieux.» Neo Advertising, qui emploie dans le monde 75 collaborateurs, ambitionne de devenir un acteur paneuropéen. Une bonne partie du challenge a donc déjà été relevée en quatre ans. «Comme le secteur est en pleine consolidation, nous avons encore beaucoup d'opportunité à saisir.» Pour 2008, les gourous de la pub tablent sur un montant de 100 millions de francs en Suisse de dépenses dans ce segment. La société genevoise entend bien se tailler une part appétissante de ce gâteau. Dans toute l'Europe d'ailleurs.

Source : Le Temps.ch
Par Bastien Buss