RadioSouvenirsFM

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mardi 31 mars 2009

Affichage Numérique_Finlande : Viking Line équipe sa flotte de ferries d’un réseau opéré par Scala






Viking Line va déployer au sein de sa flotte de ferries un réseau d’affichage dynamique piloté par la solution logicielle de Scala.

L’objectif de l’installation est double pour la compagnie finlandaise. Elle vise d’une part à réduire les frais liés à l’impression, chaque jour, de 2,000 prospectus déclinant le programme de ses croisières, et d’autre part à développer un canal soutenant les ventes à bord de ses produits détaxés.

Un navire, qui servait de projet pilote, a déjà été équipé de 15 écrans reprenant 6 chaînes.

Les écrans diffusant les contenus marketing/publicitaires quadrillent les points de fort transit (boutiques, restaurants, casino) alors que de larges écrans tactiles sont utilisés pour reprendre la communication interne du navire (horaires d’ouverture des boutiques, du casino, possibles retards, menus du restaurant…) ainsi que des programmes d’informations générales (météo, actualités) et de divertissement.

Viking Line, qui aura équipé d’ici l’été l’ensemble de ces sept ferries, envisagerait à présent d’étendre son réseau à quai, au sein de ses terminaux.

Source : OOH-TV

Affichage Numérique_Etude : Les solutions SaaS plébiscitées en France



Selon une étude du cabinet Gartner, les applications hébergées SaaS seraient plus largement utilisées en France qu’au Royaume-Uni ou en Allemagne. (NB : il n’est pas ici question spécifiquement des solutions pour l’affichage dynamique)

L’étude, menée au 3ème trimestre 2008 auprès de 99 responsables IT sur ces trois pays, montre que 71% des responsables IT français utiliseraient fréquemment ce type de solutions, contre 68% au Royaume-Uni et 45% en Allemagne.

Une utilisation qui semble déjà bien installée, puisque seuls 4% des responsables français sont de nouveaux utilisateurs (usage depuis moins d’un an) contre 17% au Royaume-Uni et 21% en Allemagne.

La rentabilité et la facilité de déploiement figurent en tête des raisons avancées pour recourir à du SaaS.

Source : OOH-TV

Média_Des quotidiens de Détroit forment un partenariat avec Plastic Logic et nouveau eReader innovant!







The Detroit Free Press et The Detroit News seront parmi les premiers à mettre un nouveau lecteur électronique à l’essai dans le courant de l’année

Plastic Logic a annoncé aujourd’hui un accord de partenariat stratégique avec the Detroit Free Press et The Detroit News, les quotidiens métropolitains primés les plus importants du Michigan, pour offrir un programme innovant de livraison et de distribution de contenu numérique avec son Plastic Logic Reader, dont le lancement est pour bientôt.

Le Plastic Logic Reader, dont la commercialisation est prévue pour début 2010, est un lecteur électronique révolutionnaire doté d’un facteur de forme mince, léger, robuste et de grande dimension qui fait environ la taille d’un bloc de papier de 8,5 x 11 p. et pèse moins que de nombreux magazines imprimés. L’eReader se distingue par sa taille, son affichage plastique unique basé sur la technologie électronique plastique révolutionnaire de Plastic Logic et son interface intuitive à écran tactile, ainsi que d’autres fonctionnalités qui n’ont pas encore été a annoncées.

Ce partenariat a été annoncé aujourd’hui par David Hunke, président-directeur général de Detroit Media Partnership et de Detroit Free Press et Richard Archuleta, président-directeur général de Plastic Logic, lors d’une conférence de presse au prestigieux Detroit Economic Club. Précédemment, M. Hunke s’est adressé au Club pour présenter une série de changements innovants de grande envergure mettant l’accent sur la livraison de contenu numérique pour les quotidiens de Detroit. Dans le cadre de cette initiative, le Plastic Logic Reader sera offert à l’achat ou à la location aux abonnés des quotidiens de Detroit comme solution de remplacement de la livraison de journaux imprimés. Les journaux de Detroit seront parmi les premières publications à faire l’essai du nouveau eReader dans le courant de l’année.

« Notre objectif est d’offrir aux utilisateurs une expérience de lecture numérique de premier ordre tout en proposant une nouvelle plate-forme de livraison versatile au secteur de l’édition », a déclaré Richard Archuleta, président-directeur général de Plastic Logic. « Le groupe médiatique de Detroit adopte une approche audacieuse dans la définition des journaux de la prochaine génération, et la société Plastic Logic est ravie de jouer un rôle dans cette transformation. »

« Le secteur de la presse affronte des enjeux historiques à l’heure où il tente de se transformer dans l’ère numérique », ajoute M. Hunke. Nous comptons sur de nouveaux produits numériques innovants tels que le Plastic Logic Reader pour nous aider à mettre en place une nouvelle ère dans l’édition en nous permettant d’offrir à nos lecteurs tous les avantages du contenu numérique, tout en retenant un format familier et facile à lire semblable au format papier privilégié par de nombreux lecteurs. »

Outre le Detroit Media Partnership, Plastic Logic a annoncé des partenariats stratégiques visant à distribuer et vendre un contenu via sa boutique avec le Financial Times, USA TODAY ainsi que des agrégateurs de contenu de premier plan parmi lesquels Ingram Digital, LibreDigital et Zinio pour la vente et la distribution d’éditions numériques de journaux, magazines, livres et bien plus encore.

Plastic Logic envisage d’offrir son eReader, qui cible spécifiquement les professionnels mobiles des affaires, à des partenaires et des à clients clés pour des essais et des projets pilotes pendant les six derniers mois de 2009, ce qui sera suivi par une commercialisation étendue en 2010.

Á propos de Plastic Logic

Plastic Logic a pour mission de piloter la révolution électronique plastique et la façon dont le public acquiert, organise et consomme des informations. La société utilise sa technologie exclusive de pointe dans le domaine de l’électronique plastique pour créer une gamme de produits innovants. Son premier produit, un eReader pour entreprises destiné à la lecture de contenus numériques, sera mis sur le marché en 2010.

Fondée en 2000 par des chercheurs du laboratoire Cavendish de l’Université de Cambridge, la société a reçu plus de 200 millions USD de financement en provenance de sociétés et d’investisseurs technologiques internationaux de premier plan. Plastic Logic compte des installations de recherche et de développement à Cambridge, en Angleterre, et de fabrication en volume d’avant-garde à Dresde, en Allemagne. Sa direction générale, son ingénierie des produits, ses ventes et son marketing sont basés à Mountain View, en Californie. Pour de plus amples informations, veuillez consulter http://www.plasticlogic.com.

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.

Contacts

Krause Taylor Associates pour Plastic Logic
Betty Taylor, +1-408-918-9082

Source : VnuNet.fr

Média_24/24 actu : le premier moteur TV, presse, radio, 100% info




Orange crée un service internet d’un nouveau genre facilitant l’accès à l'actualité, simplifiant la recherche d’informations, le tout avec la variété éditoriale des grands médias professionnels français. Mis au point dans les Orange Labs, un service inédit est lancé aujourd’hui en expérimentation.

24/24 actu est un moteur de recherche d’actualités multimédias d'un nouveau genre. Il permettra d’accéder à une pluralité de sources d’information au sein d’un seul et unique service.

24/24 actu proposera gratuitement à tous les internautes une dimension nouvelle, les engageant dans une démarche personnelle de mise en perspective de l'actualité. La possibilité de disposer immédiatement de l’ensemble des sources (TV, radio et presse en ligne) relatives au traitement d’un événement modifiera en profondeur l’acte de s’informer et permettra, dès la prise en main de 24/24 actu, de bénéficier d’un poste d’observation complet, afin de se forger sa propre opinion.

Orange avance en partenariat avec les médias

Le vaste corpus géré par 24/24 actu résulte d’une série de partenariats conclus à ce jour entre Orange et les principaux médias français, tous, médias professionnels reconnus : TV (BFM TV, Euronews, France 24, LCP-AN, Public Sénat, TV5 Monde), radios (BFM, Europe 1, Radio France, RFI, RMC, RTL), presse en ligne (La Tribune, L’Équipe, L’Expansion, L’Express, Le Figaro, Le JDD, Le Monde, Le Parisien, Le Point, Les Échos, Libération, Paris-Match) Par définition, 24/24 actu ne diffuse donc que des contenus émanant de médias professionnels. A l’issue d’une première phase expérimentale (bêta-test), l’objectif est de trouver un modèle économique satisfaisant pour l’ensemble des partenaires.

Un service simple respectant la pluralité éditoriale

24/24 actu s'articule autour d'une nouvelle expérience de la fonction de recherche. Sa page d’accueil présentera une hiérarchie de l’actualité fondée à la fois sur la fraîcheur des traitements et leur fréquence, faisant immédiatement apparaître en quelque sorte la « Une des Unes ». Cette mise en avant sera effectuée avec la même logique hiérarchique dans chacun des grands domaines de l’actualité : international, politique, société, économie, sport, culture. A ce stade, chacun découvrira à un instant précis et pour un événement donné, sa fréquence de traitement, combien de grands médias lui ont consacré des reportages et les angles privilégiés.

24/24 actu proposera une interface offrant une navigation intuitive dans l'actualité. Les contenus seront issus des plus grands médias français : chaînes de télévision, radios, journaux et sites de presse en ligne. Les extraits d'émission, les reportages et les articles seront automatiquement regroupés et hiérarchisés par rubriques et sujets d’actualité, permettant de découvrir la pluralité des choix, la hiérarchie de l’information et des angles de traitement.

De puissants algorithmes mis au point dans les Orange Labs

24/24 actu s’appuie sur un ensemble de technologies automatisées permettant d'indexer des contenus vidéos, audios et textes, puis de les regrouper par sujet d'actualité, de les hiérarchiser.

L'indexation repose sur la capture des contenus (vidéo ou audio) et sur la constitution de métadonnées (informations envoyées par le média, captées sur le web, acquises au travers des sous-titres). Grâce à ces mêmes métadonnées et à la détection automatique des changements de plan, les vidéos peuvent être chapitrées avec accès direct au bon sujet, épargnant à l’internaute le visionnage intégral d’une vidéo avant d’arriver à la partie qui l’intéresse. De même, l’accès aux sites de presse en ligne s’effectue via des liens profonds (accès direct à l’article). A l'issue de cette phase d'indexation, 24/24 actu dispose d'une base de données de contenus.

Le moteur réalise ensuite la classification des contenus par thèmes d’actualité, puis hiérarchise les sujets en fonction de critères objectifs : la fraîcheur des contenus et leur fréquence. Chaque contenu se voit automatiquement attribuer un poids qui permet à l'algorithme de remonter de facto les sujets les plus récents et les plus traités. De la sorte, aucun point de vue particulier, aucune source n’est privilégiée : dans 24/24 actu, les différents médias et les différents supports sont traités à égalité.

24/24 actu est lancé

24/24 actu sera ouvert en mode bêta à partir du 15 avril 2009 aux utilisateurs disposant d’une invitation (reçue par parrainage ou par demande sur le site). Durant cette phase, 24/24 actu va connaitre des évolutions importantes afin d'enrichir l'expérience utilisateur et de corriger les bugs. Grâce à la collaboration des « bêta-testeurs », 24/24 actu sera ouvert en France à l’ensemble des internautes dans les prochains mois. Une extension à d’autres pays pourrait être envisagée par la suite.

De nouvelles technologies avancées développées par les Orange Labs, comme le speech2text (reconnaissance de la parole dans des séquences vidéo ou audio), la reconnaissance faciale ou encore la reconnaissance du locuteur par sa voix, pourraient intégrer 24/24 actu dans des versions ultérieures.

l’info-consommation

Avec 24/24 actu, Orange propose aujourd’hui un nouveau standard de consommation de l’information qui devrait rapidement séduire les 42% d’internautes consultant ou cherchant régulièrement de l’actu sur le net.

24/24 actu arrive à l’heure où les info-consommateurs, en particulier les jeunes, adeptes de l’image, multiplient leurs sources d’information. Selon une étude Médiamétrie-WSA de février 2009, les « Digital Natives » (âgés de 18 à 24 ans, ils sont une génération ayant eu accès très tôt à un environnement « tout numérique ») battent tous les records des contacts médias et multimédias sur une journée moyenne de semaine. 83,4% d’entre eux sont en contact avec les news au moins une fois par jour, majoritairement via la télévision et la radio puis la presse et internet. Ils plébiscitent l’image, la mise à jour en temps réel, les mots-clefs, et consomment les news principalement sous formats courts. Face aux multiples sources d’information, les 18-24 ans sont en quête de réassurance sur la fiabilité ; ils font confiance aux grandes marques médias, reconnues et légitimes, qu’ils considèrent de fait comme sérieuses et fiables.

Découvrez 24/24 actu en vidéo sur la web TV d’Orange : www.orange-innovation.tv

Source : InfoJeunes.com

Téléphonie IP_Completel acquiert B3G, opérateur de ToIP





L'opérateur alternatif se repositionne ainsi vers les PME/TPE avec la téléphonie sur Internet

Completel, opérateur contrôlé par les mêmes fonds d'investissement que Numericable (Carlyle, Cinven, Altice) avait convoqué la presse en fin de semaine pour annoncer un "événement": il s'agissait bien d'un rachat et sur les listes des possibles acquisitions, figurait B3G. C'est officiel.

Car cette 'start-up' de l'univers des opérateurs alternatifs, créée par Patrice Giami, actuel p-dg, devenait une proie tentante depuis sa fragilisation suite à la crise, il y a quelques mois, et après sa réussite dans la téléphonie sur IP (ToIP / VoIP), qui a été son fer de lance dès sa création au début des années 2000.
Cet opérateur 100% concentré sur une offre originale de voix sur IP (reposant, entre autres, sur le 'centrex IP' - ou externalisation complète de la téléphonie d'entreprise) avait connu un boom spectaculaire. Il compte près d'une centaine de personnes aujourd'hui. Mais il n'a pas manqué d'être rattrapé par la crise ces derniers mois. Il était en période de redressement judiciaire depuis août 2008.

En 2008, B3G a réalisé un chiffre d'affaires de 30 millions d'euros environ.
Son capital était encore détenu à hauteur de 40% par ses fondateurs et ses managers, les autres 60% étant partagés entre Axa Private Equity, Orkos Capital (BNP Paribas.et Partech International.
Selon 'Challenges', le montant de l'acquisition serait de l'ordre de 40 millions d'euros.

Source : Silicon.fr

lundi 30 mars 2009

Affichage Numérique_Suède : Zeta Display déploie un réseau pour la banque Sparbanken Finn





La vingtaine d’agences locales de la banque Sparbanken Finn vont accueillir un réseau d’affichage dynamique déployé par la groupe scandinave ZetaDisplay. Ce dernier produira également le contenu diffusé sur les écrans (de l’information et des programmes marketing).

Il s’agit de la quatrième annonce, ce mois-ci, relative à des installations d’affichage dynamique dans le secteur bancaire, après celles de la Caja Mediterráneo par John Ryan en Espagne, Alior Bank par DDS Poland en Pologne et Banco Santander par SSL au Mexique.

Source : OOH-TV

Affichage Numérique_France : Brève - Locamédia en redressement judiciaire




Nous venons d’apprendre la mise en redressement judiciaire de Locamédia, le spécialiste français en affichage dynamique et en bornes interactives basé en banlieue lyonnaise.

Le processus a été enclenché le 3 mars dernier.

Source : OOH-TV

Téléphonie IP_Skype s'invite dans nos portables Apple et Blackberry






Le service de VoiP Skype s'apprête à débarquer dans l'iPhone cette semaine et dans les terminaux Blackberry d'ici le mois de mai. Afin de pas déplaire aux opérateurs, habitués à faire la pluie et le beau temps, l'usager devra se trouver dans une zone Wi-Fi pour téléphoner gratuitement ou à moindre coût.

Déjà compatible avec les terminaux alimentés par Windows Mobile, le célèbre service de téléphonie, appartenant au groupe eBay qui revendique pas moins de 400 millions d'utilisateurs à travers le monde, gagne encore du terrain en franchissant les frontières de la mobilité.

L'application destinée aux iPhone (Edget et 3G) et iPod Touch (de seconde génération) sera a priori disponible gratuitement dès demain sur l'AppStore. Elle permettra de passer des appels gratuits en voix sur IP (par Internet) vers les numéros Skype (utilisateurs PC et du même logiciel pour mobile) et de bénéficier des tarifs préférentiels de SkypeOut. Pour ce faire, l'utilisateur devra se situer dans une zone couverte par le Wi-Fi. les opérateurs, regardant depuis longtemps d'un mauvais oeil ce service, n'entendent pas se laisser "voler" du temps de communication en laissant en prime le libre usage de leur réseau 3G respectif.

Enfin, l'usager pourra aussi profiter de la fonction chat et ce, quelle que soit sa connexion, Edge, 3G et Wi-Fi.

Sur ce même créneau sont déjà disponibles d'autres applications sur l'AppStore dont la très pratique Nimbuzz, qui permet notamment de chater avec tous ses contacts (Gmail, MSN, Yahoo!, ...) à partir d'un seul compte ou bien encore de Truphone, qui gère également les appels VoiP.

Ce service gagnera les terminaux Blackberry d'ici un bon mois avant de se retrouver aussi dans le très attendu N97 de Nokia.

Source : LesNumeriques.com Par : Florence Legrand

Web_ Capucine, mascotte du web à 4 ans





Once upon a time... from Capucha on Vimeo.
Avec ses grands yeux bruns et sa facilité à raconter des histoires, la très jeune Capucine est devenue la coqueluche du web. La petite française et sa mère, Anne, ont décidé de mettre son talent, et sa soudaine popularité au service d'une bonne cause : aider des enfants en Mongolie à aller à l'école.

Cette soudaine célébrité a débuté il y a environ un an aux États-Unis, alors que plusieurs Américains sont tombés amoureux des histoires de la jeune Capucine sur le site de partage Vimeo.

En novembre dernier, c'est la France qui a été prise de la fièvre Capucine, avec une vidéo où la petite fille raconte tout bonnement des histoires d'animaux.«Je me suis inscrite sur Vimeo il y a 3 ans, par hasard. À l'époque, Capucine avait 18 mois. Je faisais des vidéos familiales toutes simples. Capucine a toujours été super rigolote, facile à vivre... Le bonheur du bébé !», explique la mère de la nouvelle vedette, Anne, au site français Le Post.

En constatant la popularité de sa fille, la mère a décidé de jumeler le talent naturel de Capucine à une bonne cause. Elle est donc devenue ambassadrice pour la fondation Edurelief, qui amasse des fonds pour envoyer des enfants mongoles à l'école.

Once upon a time... from Capucha on Vimeo.

«Capucine est honorée de pouvoir aller à l'école, d'apprendre, de lire, de grandir dans un environnement privilégié. Si l'incroyable attention qu'elle a reçue peut aider des enfants qui ont moins de chance qu'elle, alors je serai la plus heureuse des mamans de la terre», explique Anne.

Pour se financer, l'association vend des chandails, des aimants et bientôt des cartes postales à l'effigie des personnages inventés par Capucine. Si la popularité de sa fille ne cesse de croire pour l'instant, Anne est consciente que la célébrité de Capucine ne pourra pas durer éternellement.

«Elle va grandir et perdre de sa fraîcheur, comme tous les enfants, donc ça va s'essouffler par la force des choses. Dès que je sentirai une gêne quand je la filme, j'arrêterai. Je ne l'ai pas filmée pour devenir connue. Il y a des gens à qui ça fait du bien, surtout en ce moment où le quotidien n'est pas très drôle. C'est aussi pour ça que ça marche.»

Source : CyberPresse via : Le Post Par : Florence Turpault-Desroches

Web_Internet. Un réseau à l'architecture dépassée




Internet serait-il en train de vivre la fin de son âge d'or ? Alors même que s'accumulent les promesses d'applications révolutionnaires, nombre de spécialistes du réseau mondial font le constat qu'il fonctionne déjà aux limites de ses possibilités.

Les informaticiens disent qu'Internet «fait au mieux». En clair: l'utilisateur n'a aucune garantie sur la qualité des données reçues et sur l'instant de leur réception. Ainsi, en cas de congestion, des files d'attente se forment dans les routeurs, aiguilleurs du réseau. Après deux secondes d'attente, les paquets de données sont abandonnés et rendus inutilisables pour la téléphonie ou la vidéo. En l'état actuel de l'architecture, faire de la «qualité de service garantie» sur tout Internet est donc impossible. Cette limite se fait encore plus nette pour l'Internet mobile. Un enjeu de taille, à l'heure où l'on s'attend à ce que le prochain milliard d'internautes, issu des pays en voie de développement, accède au réseau par un terminal mobile plutôt que par de lourdes infrastructures fixes. Mais voilà: les échanges sans fil (Wi-fi, Wimax, Bluetooth) déboussolent l'une des briques essentielles d'Internet: le TCP, pour «Transfer Control Protocol». Le rôle de cette règle interne de fonctionnement: gérer automatiquement le flux des données, afin d'éviter une saturation du réseau.

Un sombre bilan

Par principe, chaque erreur de transmission est vue par le protocole TCP comme un signe de congestion. Sagement, TCP réduit alors le débit d'émission de moitié. Seulement, au contraire du support filaire pour lequel TCP a été pensé, le mode sans fil est sujet à de nombreuses pertes de données... que TCP interprète comme autant de signes de congestion, ce qui donne une liaison très loin d'être optimale. Dans ces conditions, Internet peut être mobile, oui... mais au prix de connexions ralenties. Et même intermittentes! Au final, le bilan est sombre: là où Internet semble offrir les applications les plus prometteuses, l'architecture du réseau peine à suivre. Et le temps n'y fera rien: grandi trop vite sur des bases inadaptées à ses usages actuels, il se révèle aujourd'hui sclérosé! Et si les applications actuelles fonctionnent, c'est uniquement au prix de multiples rustines techniques, patchs et autres correctifs qui, à force d'être posés, réduisent les chances de progrès et conduisent à rendre le réseau ingérable!

Faire table rase

Il suffit d'imaginer que les «rustines» représentent aujourd'hui plus de lignes de codes que les protocoles de base eux-mêmes! Un seul exemple ici: face au succès du réseau et à la mainmise américaine sur le stock d'adresses IP, les entreprises européennes ont dû ruser pour éviter la pénurie. Comment? Avec un patch, le «NAT» (Network Address Translation), qui attribue temporairement une adresse Internet pour un échange d'un réseau local vers l'extérieur. Le hic, c'est que ce NAT perturbe les protocoles de transport et impose d'incroyables circonvolutions aux services de messagerie instantanée ou de téléphonie sur IP. Arriver à développer une application comme Skype - logiciel de téléphonie sur le Web ?, dans ce contexte, fut un pur miracle technique. Et la question se pose: si son architecture devait rester en l'état, Internet serait-il définitivement condamné à stagner? Figé dans ses protocoles fondamentaux, Internet semble de plus en plus hors du coup. La question est maintenant: comment changer cet Internet? Question à laquelle de plus en plus de spécialistes osent répondre... «Clean slate.» Traduisez: faire table rase. Car tel est bien le sort que voudraient désormais lui réserver certains chercheurs, parmi lesquels d'anciens glorieux architectes d'Internet! Effacer les protocoles actuels devenus obsolètes, repenser de zéro l'architecture... Depuis cinq ans, les universités de Princeton, Stanford et le MIT, toutes impliquées dans la conception du Net, y vont de leur projet «clean slate». La National Science Fondation lançait même, en 2005, l'idée d'un colossal banc d'essai d'architectures à 350 millions de dollars : Geni (Global Environment for Network Innovation). Une sorte de LHC (le super collisionneur de particules) pour informaticiens!

La virtualisation

Difficile pourtant d'imaginer 28.000 fournisseurs de service remplacer d'un seul coup les 500.000 routeurs du réseau! À l'inquiétude légitime face à ce chantier, les ingénieurs opposent une botte secrète: la virtualisation qui consiste à faire tourner sur une même infrastructure physique plusieurs systèmes informatiques. Au fil du temps, il est probable que les opérateurs achèteront de nouveaux routeurs dotés de ces capacités. Dès lors, il sera possible de faire courir deux réseaux, voire plus, en parallèle, l'ancien et le nouveau, puis d'assurer une migration en douceur.

Source : LeTelegramme.com
* Par Vincent Nouyrigat (Sciences et vie)

dimanche 29 mars 2009

Affichage Numérique_Europe : Eyeclick décline une cinquantaine d’installations interactives en vitrines pour Samsung




Samsung Mobile a sélectionné Eyeclick pour accompagner le lancement de son nouveau terminal Omnia en Europe.

Près d’une cinquantaine d’installation interactives en vitrines de magasins spécialisés ont été déployées par l’israélien à travers le vieux continent.

Une réalisation significative pour Eyeclick qui continue par ailleurs son expansion internationale. Via un accord avec Mahendra Associates, ses solutions seront désormais distribuées en Inde.

Source : OOH-TV

Technologie_Samsung Lapfit : écrans secondaires pour PC portable




Samsung répond à une problématique à laquelle les supports pour ordinateurs portables ont répondu depuis un moment : positionner correctement un écran secondaire et un ordinateur portable. La dalle d'un ordinateur portable posé sur une table n'est effectivement qu'à quelques centimètres de celle-ci, or peu d'écrans plats permettent un tel positionnement.

Le fabricant coréen prend le problème à la racine et dévoile une gamme d'écrans intitulée Lapfit qui s'accommode tout particulièrement bien aux ordinateurs portables de la marque puisqu'ils reprennent l'esthétique de ces derniers. On retrouve deux modèles de 19 et 22 pouces (respectivement LD190G et LD220G), des diagonales plus adaptées aux transportables de 18 pouces de diagonale qu'aux ultra-portables. Ils affichent un ratio 16/9e pour une définition WXGA de 1360 x 768 pixels, un taux de contraste dynamique de 20 000 pour 1 et un temps de réponse de 5 millisecondes. La définition WXGA pose un problème que le positionnement abaissé de la dalle est censé résoudre : la plupart des dalles pour ordinateurs portables de 17 pouces et plus affichent une définition proche du Full HD (1920 x 1080 pixels). L'échelle n'est donc pas respectée avec un écran de ce type. Ils se contentent par ailleurs d'une connectique USB pour l'affichage.

Aucune date de disponibilité ni aucun tarif n'ont encore été annoncé pour l'Europe.

Source : Clubic.com Publiée par Romain

Wi-Fi_Boingo ou le Wi-Fi simplifié





À L'ESSAI Pour une personne qui voyage beaucoup à travers l'Amérique du Nord ou même le monde, le Wi-Fi est une bénédiction mais peut devenir très coûteux si on est mal organisé. Le service Boingo simplifie l'accès sans fil à Internet.

Même si on compte de plus en plus de points d'accès Wi-Fi gratuits, il y en a aussi de plus en plus où il faut payer pour pouvoir en profiter. Cependant, plutôt que de débourser un montant à chaque point d'accès, on peut s'abonner à Boingo, un service global qui permet d'utiliser jusqu'à 100 000 points d'accès différents à travers le monde.

Savoir profiter de la situation

Prenons l'exemple d'un homme ou d'une femme d'affaires qui doit aller dans une dizaine de villes canadiennes et américaines dans un même mois. Presque chaque fois que cette personne voudra accéder à Internet, elle devra débourser entre 6 $ et 15 $ pour se brancher à un point d'accès d'hôtel ou de restaurant. Si elle visite une dizaine d'endroits, les coûts de communication Internet peuvent rapidement dépasser les 50 $ et même atteindre les 100 $. Ayant déjà dû payer 12,50 $ par jour pour l'accès Wi-Fi dans un hôtel de Saguenay, je peux confirmer que cela peut monter rapidement...

Boingo est une firme américaine qui propose un accès par abonnement à des dizaines de milliers de points d'accès Internet commerciaux avec lesquels elle a une entente. Trois types d'abonnements sont offerts : Boingo Unlimited, Boingo Global et Boingo Mobile. L'abonnement Boingo Unlimited à 9,95 $ US par mois est fait pour les utilisateurs d'ordinateurs portatifs, sous Windows XP/Vista ou Mac OS X, qui voyagent en Amérique du Nord seulement. Il leur permet d'aller sur Internet autant qu'ils le veulent pour ce prix fixe, dans un ou plusieurs points d'accès (hotspots), sans que cela change quoi que ce soit. Quand j'avais testé ce service pour la première fois, en 2004, le tarif de cet abonnement était de 30 $ US par mois. Il a été réduit, au grand avantage des utilisateurs.

L'abonnement Boingo Global permet de faire la même chose pour Mac ou PC, avec un choix de 100 000 points d'accès à travers le monde, mais il est plus cher (59 $ US par mois) à cause des prix et des conditions qui varient d'un pays à l'autre. Même à ce prix, ce service peut être très économique pour ceux qui voyagent à travers le monde et qui ont souvent à communiquer avec leur ordinateur.

Enfin, le service Boingo Mobile, à 7,95 $ US par mois seulement, est destiné aux utilisateurs d'ordinateurs de poche et de téléphones intelligents dotés du Wi-Fi, sous Windows Mobile 5 ou 6, iPhone / iPod Touch, Motorola Windows Mobile, Nokia S60 / N800 / N810 ou Sony Ericsson UIQ. Cet abonnement peu coûteux leur permet de se brancher sans fil à l'un des 100 000 points d'accès affiliés à Boingo dans le monde pour aller sur Internet et, dans la plupart des cas, de se servir des fonctions VoIP de leur appareil plutôt que des communications cellulaires très coûteuses. Notez que, sans abonnement, on peut quand même passer par les points d'accès de Boingo pour des communications VoIP en utilisant le nouveau service Skype Access, mais les communications coûtent alors 23 sous canadiens de la minute (facturés par Skype), ce qui est pratique, mais revient vite cher.

Page 1 - Savoir profiter de la situation
Page 2 - Un service simple et très avantageux

Source : DirectionInformatique
Par : François Picard

Musique_La seconde vie des 33-tours





Indémodables auprès de certains mélomanes ou de la confrérie des "DJ" pour leur son inimitable ou leurs pochettes collectors, les vinyles sont encore d'actualité. Pour décorer son salon, leurs pochettes colorées resteront toujours plus chics qu'un boîtier de CD. Une jeune PME d'Annecy (Haute-Savoie) l'a bien compris et propose un cadre à fixer au mur avec un système simple et peu onéreux (20 euros). Le vinyle se glisse et se retire facilement du cadre adapté au format et à l'épaisseur des pochettes.

Pour profiter au mieux des 33-tours une fois sortis de leur pochette ou de leurs cadres, des marques comme Thorens ont réédité certains de leurs tourne-disques en alliant le design à l'authenticité. Compter tout de même au moins 290 euros. Certaines platines nouvelle génération permettent de surcroît de copier un vinyles">vinyle sur son ordinateur et d'écouter ses morceaux favoris sur un baladeur numérique. Compter environ de 150 à 200 euros pour s'offrir ce voyage dans le temps.

My-scott.com

Rockonwall.com

Thorens.com

Source : LeMonde.fr
Louise Audiberti

samedi 28 mars 2009

Affichage Numérique_Royaume-Uni : Avanti et Sub.tv forment Digital Youth





Avanti Screenmedia et Sub.tv combinent leurs réseaux dans les bars, clubs et lieux estudiantins pout former Digital Youth, une nouvelle offre publicitaire permettant de cibler les jeunes adultes.

Digital Youth compte 1.400 écrans sur 280 sites et touche, chaque semaine, plus de 3 millions de jeunes de 18-24 ans.

La syndication publicitaire de réseaux semble être un des axes de développement emprunté par Avanti, qui avait déjà passé un accord similaire avec Streetbroadcast pour créer Digital Life.

Source : OOH-TV

Affichage Numérique_Etats-Unis : L’offre Checkout TV de PRN génère un taux de mémorisation des messages publicitaires de 60%



Selon une étude menée par GfK Custom Research North America sur six grands marchés US, le taux de mémorisation moyen des messages publicitaires diffusés sur le réseau Checkout TV (écrans en ligne de caisses) de Premier Retail Networks serait de 60% (+18% par rapport à 2007). Certaines marques afficheraient un taux allant jusqu’à 91%.

L’étude révèle également que 70% des clients seraient influencés par l’achat d’un produit après avoir vu une publicité le concernant sur le réseau.

Checkout TV génèrerait une audience de 94,6 millions de spectateurs par mois aux Etats-Unis. L’offre s’étend également en Amérique Latine (Mexique et Brésil) avec l’installation de 4,900 écrans.

Au total, le réseau compte 22,000 écrans dans le monde.

Source : OOH-TV

Média_Numericable met sa télévision au goût du Web et de la VOD




Le câblo-opérateur annonce une nouvelle interface pour son service de télévision, accessible sur le Web comme sur l'écran du téléviseur.

Un nombre d'abonnés un peu trop stable, un taux de désabonnement un peu trop important. Pour essayer d'y remédier, Numericable a dévoilé ce matin, lors d'une conférence de presse, une de ses solutions : un enrichissement de son service de télévision numérique et une nouvelle interface, qui s'inspire de l'univers Internet.

Celle-ci sera lancée au mois de mai prochain et prendra l'apparence d'un portail Web personnalisable. Appelée Numerisphere, elle apparaîtra par défaut, sans manipulation préalable de l'abonné, pour les nouveaux comme les anciens clients. A condition toutefois qu'ils soient équipés des dernières générations de décodeurs, la Cable Box, la HD Box ou la HD Box Memory avec enregistreur numérique intégré.

Un moteur de recherche de programmes télé

« L'idée, c'est que ce soit intuitif, explique Olivier Gerolami, directeur général de Numericable. L'utilisateur a un accès immédiat au portail et il retrouve ses pratiques habituelles : il peut scroller, cliquer, etc. » Grâce à des icônes dans une barre de menu, l'interface donne des accès directs aux différents services : chaînes, suggestions de programmes, télévision de rattrapage, sélection de programmes, VOD, radios…
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Numericable propose également un moteur de recherche permettant de trouver un programme en saisissant, à l'aide de la télécommande, un nom d'acteur (Brad Pitt, par exemple) ou de réalisateur, un titre, un genre de film, etc. Le système remonte alors, en guise de réponse, les films prévus dans les programmes télévisés (sur une période de sept jours), l'offre de vidéo à la demande correspondant à la requête ou encore des contenus de télévision de rattrapage. Plus besoin d'aller fouiller dans chacun de ces services un par un. A terme, la fonction de recherche est même censée interroger également les contenus enregistrés sur le disque dur du décodeur TV numérique de l'abonné.

Plus anecdotique, l'interface Numerisphere affichera des recommandations d'autres abonnés pour certains programmes, ainsi que des widgets (météo, fil info) rappelant clairement l'univers du Web 2.0, même si on est encore loin des widgets Yahoo! que certains téléviseurs bientôt commercialisés en France permettront d'afficher.

Le portail TV intégrera aussi Numerispace, que le FAI a dévoilé au mois de février dernier. Ce service de partage de photos et de vidéos façon Dailymotion est également gérable depuis le poste de télévision où l'utilisateur organise ses contenus, les regarde, reçoit des messages. Mais l'envoi de contenus («upload») se fait depuis l'ordinateur.

De nouveaux services de VOD

L'imbrication accentuée entre l'univers Internet et celui de la télévision est également sensible à travers des contenus de télévision de rattrapage (catch-up TV). Le câblo-opérateur permet déjà de voir en décalé, sur l'écran de télévision et non plus seulement sur un site Web, les journaux télévisés de TF1. Ce sera également désormais le cas (en fonction des bouquets des abonnés) pour Euronews, Eurosport France, Histoire, Ushuaïa TV, Odyssée, Histoire, Canal Plus (le service Canal Plus à la Demande, déjà disponible sur la télévision de Free), M6 (M6 Replay) et Vodeo.

Numericable annonce également l'arrivée de Disney XD et de Sundance Channel, chaîne inédite en France dédiée au cinéma américain indépendant. Celle-ci sera accessible en simple ou en haute définition et en VOD.

Source : 01Net.com Par : Arnaud Devillard

Téléphonie IP_Télécoms : Skype premier opérateur international




Grâce à une progression de 41 % de son trafic voix international en un an - contre une moyenne de + 12 % pour l'industrie -, Skype est devenu le premier opérateur mondial en termes de minutes de communication prises en charge à l'international. Selon le rapport annuel de TeleGeography, le service de VoIP de eBay a transporté 33 milliards de minutes de communications internationales en 2008, soit 8 % des minutes échangées au niveau mondial. 8,4 milliards de minutes ont été passées vers un téléphone standard, ce qui implique un paiement de la part de l'utilisateur.

Skype a récemment annoncé une compatibilité avec le standard SIP, lui permettant de toucher les entreprises équipées de PABX IP.

Au plan mondial, la téléphonie IP représente 31 % du marché des communications internationales (en volume), un chiffre en progression de 4 points sur un an.

Source : LeMagIT.fr
Par Reynald Fléchaux

Technologie_ViaSat présente sa prochaine génération de service Internet par satellite





A l'occasion du salon Satellite 2009 qui se tient jusqu’à aujourd’hui à Washington aux Etats-Unis, la société ViaSat a fait la démonstration de sa prochaine génération de service Internet par satellite.
Prévu pour être lancé dans 22 mois, le satellite ViaSat-1 est un satellite de nouvelle génération émettant en bande KA qui devrait fournir autant de capacité que l'ensemble des satellites déjà en service aux USA. Une fois opérationnel, ViaSat-1 offrira des débits de 2 à 10 Mbp/s, voire plus, à des tarifs compétitifs avec les tarifs des offres terrestres (ADSL, câble, etc.). ViaSat-1 est le premier d'une nouvelle génération de satellites de haute capacité prévu pour jouer un rôle important dans le plan numérique américain pour la couverture des zones blanches.

« Après avoir équipé en haut débit plus d’un demi-million de foyers en zones blanches en Amérique du Nord, nous avons mis l'accent sur la portée de cette communauté depuis plus d'une décennie. Nous avons l'histoire et la satisfaction des besoins et des défis dans la prestation de services à large bande pour ces personnes, de manière efficace, où qu'elles soient », a déclaré Mark Dankberg, CEO et Président de ViaSat.
« Notre démonstration de la prochaine génération d’accès Internet par satellite, offrant des vitesses de 5 Mbp/s en moyenne, est la preuve que le service par satellite, avec la vitesse appropriée et l'allocation de bande passante, est en fait mieux que la plupart des services haut débit terrestre, en particulier l’ ADSL et le sans fil. Pour la première fois, le satellite peut supporter de gros téléchargement s de vidéo, du streaming HD, des sites Web enrichis, de la bonne qualité en VoIP et jeux vidéo. Avec autant de bande passante disponible sur notre satellite, nous pouvons soulager la congestion qui obstrue les services par satellite existants - et d'offrir une des débits et des temps de réponses étonnants. Beaucoup de fournisseurs de télécommunications prétendent qu'il est impossible de fournir ces services à ces débits aux personnes résidantes en zones blanches. Nous enterrons ces affirmations cette semaine avec notre démonstration. De plus, notre service sera une plate-forme ouverte permettant à un large éventail de distributeurs de revendre ce service sous toute la couverture du satellite. »

Tom Moore, Vice-Président Directeur de ViaSat et Président de ViaSat Satellite Holdings, ajoute : «Les États-Unis sont à la traîne par rapport à la France, au Japon, à la Corée, et d'autres pays en termes de vitesse d'accès à l’Internet. Au minimum, il nous semble que les fournisseurs de services à haut débit qui reçoivent des subventions de l'État doivent être tenus pour responsables de certains minima de qualité de service. La politique en cours devrait se concentrer sur une définition appropriée des niveaux de service qui sont accessibles à tous aux Etats-Unis en 2011, et pas sur les plates-formes technologiques. Réglementer les moyens, au lieu de la fin, est plus susceptible d'inhiber l'innovation. Sans moyens de mesure de la vitesse et du partage de la bande passante par utilisateur, il sera impossible de déterminer l’efficacité des 7 milliards de dollars d’investissements en infrastructures que le gouvernement s'apprête à faire. »

Source : InternetParSatellitte.net

vendredi 27 mars 2009

Affichage Numérique_Etats-Unis : Monster Media installe des aquariums virtuels en vitrines




Monster Media, le spécialiste du digital media en vitrines, a procédé à l’installation d’aquariums virtuels dans six grandes villes américaines.

Réalisée pour le compte du croisiériste Carnaval Cruise, en collaboration avec l’agence Arnold Worldwide, la campagne consiste en 6 aquariums interactifs placés en vitrines de magasins vacants, intégrant une forte composante d’interactivité mobile puisque les passants peuvent :

- via un numéro qui leur est indiqué, créer leur propre avatar et le faire évoluer dans l’aquarium via les touches du téléphone

- revenir plus tard, recomposer le numéro, et être en mesure de retrouver leur avatar pour continuer à jouer.

Les 17 ports d’attache de Carnaval Cruise ainsi que l’ensemble de sa flotte pourraient, à terme, être équipés.

L’expérience pourrait, également, trouver une déclinaison online, sur le site internet du groupe.

Nous avions publié, plus tôt dans la semaine, la vidéo d’AdAge couvrant l’installation.

Source : OOH-TV