RadioSouvenirsFM

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samedi 28 février 2009

Téléphonie_Skype sur les appareils mobiles: les opérateurs méfiants



Orange et O2, deux fournisseurs britanniques, craignent les fonctionnalités de téléphonique sur IP du nouvel appareil de Nokia, le N97.

En effet, l'arrivée sur les tablettes du téléphone pourrait être retardée, le temps que les fournisseurs et le fabricant s'entendent. Rappelons que Skype permettrait aux propriétaires du N97 d'utiliser la téléphonie IP pour faire leurs appels lorsqu'ils sont dans une zone de couverture Wifi, réduisant ainsi leur facture de téléphone.

D'autres fournisseurs, pourtant, ont intégré la fonctionnalité à leur offre: au Royaume-Uni, l'opérateur 3 offre un combiné intégrant Skype. Aux États-Unis, AT&T permet l'utilisation d'applications de téléphonie IP, à condition qu'elles utilisent le réseau Wifi et non le réseau cellulaire.

Au Canada, Rogers propose un service qui permet d'installer chez soi un adaptateur de téléphonie IP: ainsi, on utilise la téléphonie IP à la maison, et la téléphonie cellulaire à l'extérieur, ce qui permet de réduire les coûts et qui permet d'utiliser un seul et même numéro, qu'on soit à la maison ou à l'extérieur.

Source : Branchez Vous

vendredi 27 février 2009

Affichage Numérique_Etats-Unis : De l’affichage dynamique publicitaire sur les automates collecteurs de produits recyclés




Tomra of North America (filiale du norvégien Tomra Systems ASA) va diffuser de la publicité sur les écrans de ses automates collecteurs de produits recyclés (aka Reverse Vending Machines). Paddington Advertising Associates a été sélectionné pour assurer la régie.

Ces systèmes, placés en points de vente (généralement des supermarchés), permettent aux individus de jeter bouteilles et cannettes en vue de leur recyclage. Ils reçoivent en échange des avoirs sous forme de ticket.

Tomra est actif dans près de 50 pays.

Source : OOH-TV

WebRadio_Lancement de Balkanophonie « la webradio francophone des Balkans » et présentation de Stripovi



Venez retrouver l’équipe du Courrier des Balkans dans le bar Mon Chien Stupide le 13 mars de 19 à 21h pour le lancement de Balkanophonie et la présentation de Stripovi, un essai sur la bande dessinée indépendante serbe et croate en présence de l’éditrice et coordinatrice, Johanna Marcadé.

Balkanophonie est la webradio du Courrier des Balkans. Reportages, interviews, débats, Balkanophonie suivra l’actualité de l’Europe du sud-est sous toutes ses formes. Mais ce sera également une webradio musicale sur laquelle vous pourrez écouter les rythmes de toute la région, des plus traditionnels aux plus actuels, de la Turquie au nord de la Roumanie.

Le Courrier des Balkans
co-édite avec Turbo Comix Stripovi, un essai sur la bande dessinée contemporaine indépendante de Serbie et de Croatie. Cet ouvrage rappelle l’aventure éditoriale de la bande dessinée balkanique de la Yougoslavie à aujourd’hui avant de faire le tour des thématiques que traitent aujourd’hui les auteurs serbes et croates : enfance, sexe, science-fiction. De nombreuses planches originales ont été séectionnées pour illustrer les différents chapitres. Stripovi s’impose comme une référence incontournable pour tous ceux qui s’intéressent à l’actualité de l’ex-Yougoslavie d’un point de vue social, politique ou culturel. C’est surtout un livre que tout amateur de bande dessinée doit avoir dans sa bibliothèque.

Source : Le Courrier des Balkans

Pub_Quand les internautes court-circuitent les agences de pub



Une agence française permet aux internautes de répondre aux appels d'offres des annonceurs directement par son site.

Cre'ads aide ainsi les annonceurs à faire appel à la communauté de créatifs du site pour proposer entre autres des slogans, logos, illustrations, du design de sites web, etc.

Les annonceurs peuvent ensuite choisir parmi les meilleures propositions.

Source : Infopresse
par Vincent Matalon.

Technologie_ La radio solaire dynamo écologique



Marconi, prix Nobel de physique en 1909, est reconnu comme l'inventeur de la radio. Dès sa prime jeunesse, il se fixe pour but d'affranchir le télégraphe de ses fils et poteaux ! Dans le grenier de sa maison familiale, il entreprend des transmissions par ondes hertziennes. Il fabrique des émetteurs et des récepteurs avec des éléments connus : Bobine de Ruhmkorf, éclateur contrôlé par un manipulateur télégraphique de Morse, cohéreur de Branly, antenne verticale de Popov... En 1895, il transmet des signaux sur une distance de 2,4 kilomètres. En 1896, il dépose son brevet. Cette radio que je vous présente réunit un grand nombre de technologie et pour cause.

Elle fonctionne grâce à une dynamo. Une dynamo, merci Mr Faraday, est un appareil électrique qui, en absorbant de l’énergie mécanique, produit un courant pulsateur que l’on peu considérer comme continu et dont la tension dépend de la vitesse de rotation. La production de courant se fait par une bobine tournante dans un champ magnétique d’un aimant. Le courant fourni étant alternatif, il doit être redressé pour être utilisé, cette opération est réalisée par les balais, appelés charbons. Plus besoin de pile désormais ! Vous tournez la manivelle, et la pile est chargée pour 15 minutes. Mais ce n'est pas tout, car une cellule solaire prendra le relais et alimentera la radio si tant est qu'il y ait de la lumière. Compter 5h de charge au soleil pour 1h d'autonomie. En voilà une radio qu'elle est verte, et en plus elle est verte ! Visible dans cette boutique pour seulement 14,23€. Sympa non ? Vous impressionnerez vos potes lors de sorties picnic.

Source : LeBlogGadget.com

jeudi 26 février 2009

Affichage Numérique_Allemagne : Xplace continue à équiper les magasins Saturn à travers l’Europe



Fort de son partenariat avec Saturn, la chaîne de magasins de produits culturels et électroniques, xplace, le fournisseur allemand de terminaux in-store, anticipe pour 2009 une année de croissance soutenue.

D’ores et déjà, les magasins Saturn de Cologne Hansaring et d’Hambourg Mönckebergstraße vont déployer respectivement près de 140 et 120 bornes interactives “Entertainment Terminals” (voir photo).

Des installations dans les Saturn britanniques et russes devraient, de plus, voir le jour dans le courant de l’année, faisant suite à l’équipement des premiers magasins grec en fin d’année dernière.

Aujourd’hui, plus de 5.000 bornes xplace sur 16 pays sont en opération, dont plus de 1.000 au sein de magasins Saturn de 9 pays différents.

Source : OOH-TV

Technologie_Le téléviseur invente le musée imaginaire



Capables d'afficher les images d'une clé USB ou téléchargées sur une galerie en ligne, les écrans plats renouvellent l'intérêt pour les œuvres d'art.

Et si le téléviseur devenait le média privilégié pour se constituer un musée personnel ? Sur la plupart des modèles actuels, il suffit de brancher une clé USB contenant des images pour transformer l'écran en une sorte de cadre photo numérique grand format. Et rien n'empêche d'afficher des toiles de maître au lieu des photos de vacances. Un moyen original d'animer le mur. «Quand nous recevons des amis, nous faisons défiler des tableaux que nous apprécions particulièrement, surtout des artistes contemporains, témoigne Julie, 42 ans, qui vient de s'équiper d'un téléviseur Sharp Aquos. Ça crée une atmosphère agréable, et puis c'est un peu comme si on possédait des œuvres d'art pour notre plaisir personnel.»

L'arrivée des modèles qui s'accrochent au mur ou qui prennent l'aspect de cadres a renforcé la tendance. On voit même des fabricants proposer des encadrements à installer sur l'écran, qui imitent à la perfection les bordures d'un tableau, comme le Concept Cadre de So-Concept ou la série VisionArt vendue par Fastframe. Mais l'aspect physique du téléviseur n'est qu'accessoire. C'est le contenu qui retient maintenant les consommateurs. Avec leur encadrement blanc et leur dispositif d'accrochage au mur, certains modèles comme les téléviseurs-cadres Bravia de Sony ne sont pas seulement conçus pour se fondre dans le décor d'une salle de séjour. Ils sont livrés avec une série d'images préchargées qui peuvent défiler sous forme de diaporama. De son côté, Loewe n'hésite pas à faire appel à un artiste, Winfried Wolk, pour que sa gamme de téléviseurs Art SL se transforme en « œuvre d'art dynamique » lorsqu'ils sont éteints.

Le but ? Encourager les particuliers à découvrir une nouvelle fonction de leur écran. Et démontrer l'avantage du téléviseur, qui permet d'observer des œuvres d'art sur une surface comparable à celle d'un tableau. Matisse, Cézanne, Turner : choisissez vos artistes préférés et créez votre musée personnel. Comme avec les livres numériques, un seul écran suffit pour accéder à plusieurs œuvres. «C'est aussi un moyen d'occuper les soirées sans télévision, poursuit Julie, et d'inciter les enfants à regarder autre chose que des programmes sans intérêt. Discuter des couleurs d'un Mondrian ou de l'inspiration d'un Munch est plus nourrissant que rester passif devant une émission de variétés.»

Accéder à des galeries sur Internet

Les derniers modèles de Samsung et de Sony vont encore plus loin. Ils ne se contentent plus de fournir une connexion USB et des reproductions d'œuvres d'art enregistrées en mémoire. Ils permettent d'accéder, à partir du téléviseur, à des contenus en ligne, comme le site de partage de photos Flicker, ou à des galeries. Une étape de plus vers le musée sur mesure, rendue possible grâce à la liaison Internet qui équipe ces modèles. Plus conceptuel encore : la chaîne de télévision Souvenirs From Earth, actuellement diffusée sur le bouquet ADSL de Free, ambitionne de transformer le téléviseur en « terminal d'art ». Elle ne programme que des vidéos d'art spécialement conçues pour les grands écrans plats : scènes de rue, objets urbains en mouvement, performances originales, etc. Le tout sans commentaire mais accompagné de musique électronique. Les séquences, rapidement présentées par un texte incrusté à l'écran, durent en moyenne une vingtaine de minutes. L'utilisation du téléviseur pour présenter des œuvres d'art, ou comme vecteur de création artistique, n'est pas récente. De nombreux musées utilisent des écrans pour mettre en valeur des œuvres ou pour montrer des productions vidéo artistiques. La nouveauté, c'est la possibilité de domestiquer l'art, de l'amener à la maison, au lieu de devoir se rendre dans un musée ou une galerie. Une tendance comparable à celle du home cinéma, qui a permis aux consommateurs de domestiquer le cinéma, sans avoir à fréquenter les salles de projection.

S'approvisionner en images : oui, mais…

Clé USB, accès à des contenus sur Internet…, avec ces nouveaux téléviseurs, n'importe qui peut se constituer un musée personnel. Il suffit de piocher dans les galeries en ligne ou les sites Web spécialisés dans l'art, certains étant payants. À condition de trouver des reproductions en haute définition, sans quoi l'image sera déformée et pixelisée. L'idéal est de récupérer des photos de dimensions égales ou supérieures à la résolution du téléviseur, soit 1 280 × 720 ou 1920 × 1080. Évidemment, cette pratique n'échappe pas aux risques d'un piratage d'un genre nouveau. Pour l'instant, la législation n'a rien prévu pour les particuliers qui téléchargent des reproductions de tableaux pour les afficher sur leur téléviseur. «La copie d'une œuvre d'art pour en profiter sur son écran, dans un cadre privé, devrait relever du droit à la copie privée, mais ce droit ne concerne pas encore les téléviseurs, explique Christiane Ramonbordes, directrice générale de la Société des auteurs dans les arts graphiques et plastiques (Adagp), chargée de la gestion des droits d'auteur dans les arts visuels. Nous nous sommes penchés sur le cas des cadres photo numériques, mais avec les écrans grand format, ça prend une autre dimension.» En principe, rien n'interdit de s'approvisionner en œuvres tombées dans le domaine public, ce qui est le cas des toiles dont l'artiste est mort depuis plus de soixante-dix ans. «Vous pouvez utiliser des œuvres de Giotto, de Monet et de Van Gogh, numérisées sur un livre, importées d'un cédérom ou téléchargées sur Internet. Mais il faudrait aussi obtenir l'autorisation de celui qui a photographié l'œuvre.» Mais il y a peu de chances qu'un inspecteur aille vérifier chez vous si vous disposez des droits nécessaires.

Quant au constructeur qui propose sur son téléviseur des œuvres d'art, «il doit avoir passé des accords avec les auteurs ou leurs représentants pour pouvoir fournir des images d'œuvres d'art avec son téléviseur ou pour donner accès à une banque d'images en ligne, souligne Christiane Ramonbordes. Nous sommes ici dans le domaine du droit exclusif. » Une raison qui a sans doute encouragé Sony à privilégier, sur ses nouveaux modèles, les photos au détriment des reproductions d'œuvres d'art. Officiellement, le géant japonais entend «mettre en avant les artistes du Sony World Photography Awards, le plus grand concours de photo existant à l'heure actuelle ».

Source : LeFigaro.fr Par : Didier Sanz

Technologie_Avec Gazelle, Microsoft expérimente un navigateur plus sécurisé




Régulièrement critiqué pour les nombreuses failles de sécurité d'Internet Explorer, Microsoft veut prouver qu'il peut faire un navigateur parfaitement sécurisé. Du moins, plus sûr que l'actuel IE et son successeur IE 8, mais aussi que Mozilla Firefox ou Google Chrome.

Les chercheurs de l'éditeur viennent de publier un document expliquant ce nouveau projet, Gazelle. L'idée est de revoir complètement la conception des navigateurs. Ceux-ci ne doivent plus afficher des pages Web statiques, mais agréger du contenu dynamique provenant de la même source ou non. Gazelle est donc basé sur un micro-système d'exploitation gérant toutes les interactions avec le système d'exploitation de l'ordinateur où il est installé. Il va ensuite examiner indépendamment tous les éléments d'une page Web (cadres interactifs, publicités, plug-in...) pour déterminer si l'affichage est sûr. Ainsi, aucune attaque ne devrait pouvoir affecter l'ordinateur hôte.

Les auteurs de Gazelle ont aussi pris en compte un nouveau type d'attaque : la fenêtre s'affichant subrepticement sous la souris au moment du clic, un piratage par détournement de clic, ou « clickjacking », qui a le vent en poupe. Pour éviter cela, Gazelle interdit tout clic sur une zone nouvellement exposée pendant une seconde - le temps pour l'utilisateur de bien se rendre compte de l'endroit où il clique. Une mesure qui devra faire ses preuves face à des claques transparents.

De plus, pour éviter certains piratages liés à l'utilisation de plug-in, Gazelle les exécute en mode « bac à sable » de façon à ce que leurs éventuelles failles ne puissent affecter que la page Web affichée et non permettre l'accès au reste de l'ordinateur. Toutefois, ce mode de fonctionnement nécessite que les éditeurs créateurs de plug-in réécrivent complètement leurs produits pour les adapter à Gazelle - ce qui paraît assez improbable.

À ce stade de son développement, soit 5 000 lignes de code C#, Gazelle ne renie pas complètement l'héritage d'Internet Explorer et s'appuie pour tout ce qui ne concerne pas la sécurité sur le code de son aîné, et notamment le moteur de rendu Trident. Pour l'instant au stade du prototype, Gazelle n'a pas pour but d'être le successeur d'Internet Explorer, ni d'être commercialisé prochainement. Il n'est même pas disponible hors des laboratoires de Microsoft à Redmond. Et comme le reconnaissent volontiers les chercheurs, ses performances devront d'abord être améliorées, car hormis au niveau du temps de chargement (réduit grâce au principe du micro-noyau), Gazelle est aujourd'hui plus lent qu'IE7...

En savoir plus

Le PDF (en anglais) décrivant Gazelle

Source : LeMondeInformatique.fr par Marie Caizergues

Web_Naked People vous déshabille



Un étudiant allemand a réalisé un projet qui sort de l'ordinaire dans le cadre de ses études en photographie. Sebastian Kempa a en effet décidé de créer un site web qui déshabille ses participants.

Le site Naked People a pour seul objectif le voyeurisme, du moins pour l'instant. En un seul clic, l'internaute peut déshabiller l'un des 24 courageux volontaires qui se sont prêtés à l'expérience. Ces hommes et ces femmes de taille différente ont accepté de dévoiler leur intimité tout simplement pour faire plaisir aux internautes.

Le site,
loin d'être pornographique, a plutôt des visées artistiques mais est tout de même réservé à un public averti.

Source : CyberPresse

mercredi 25 février 2009

Affichage Numérique_Citywall, le mur interactif



Inspiré d'une expérimentation menée à Helsinki, le Citywall est un nouveau média urbain de communication et d'échange entre les habitants et visiteurs de la ville.

Nous savons déjà ce qu'il est possible de faire avec un iPhone et son fameux écran « multitouch ». Eh bien, il faudra bientôt compter avec d'autres médias utilisant une technologie similaire en ville. Déjà, Helsinki a présenté son Citywall, un écran tactile installé dans un espace public, qui peut être activé par plusieurs personnes à la fois pour obtenir des informations et visionner des photos. Inspiré de cette initiative, le projet également baptisé « Citywall », et porté par la fondation Internet nouvelle génération et le Quartier numérique dans le cadre du programme Ville 2.0, compte aller encore plus loin.

« Notre écran sera un système d'information citoyen, mais aussi un point de rencontre », explique Daniel Schutz, chef de projet chez Mucho Media, concepteur d'installations interactives et partenaire du Citywall. Différents usages sont envisagés : s'informer des événements, partager un avis, chercher un service, identifier les lieux intéressants, laisser une photo, faire un dessin... Quand il n'est pas activé, le Citywall pourrait afficher des informations municipales et commerciales, une carte vivante où apparaissent des adresses, des flux de trafic... Il s'agit donc d'une cartographie interactive basée sur des services locaux, afin de jouer sur la proximité des utilisateurs.

Au coeur du Citywall, on trouve la technologie « multitouch », reposant sur un système de rétroprojection avec captation des mouvements par caméra infrarouge. Cela permet à plusieurs utilisateurs de toucher l'écran en de multiples points pour naviguer, pivoter, zoomer ou s'éloigner. Mais le vrai défi consiste aujourd'hui à concevoir l'environnement logiciel, c'est-à-dire d'associer un programme à un usage. Car si l'interactivité offre de nouvelles possibilités, elle impose également des limites. Exemple, avec l'atlas de ressources interactif créé par Mucho Media pour le parc de loisirs Eana, situé en Normandie. Il donne aux utilisateurs la possibilité de comparer des données entre différents pays, comme la production énergétique par exemple. Mais lorsque l'un de décide de zoomer, ce sont les repères des autres qui sont bouleversés. Il faut donc veiller à la bonne cohérence de l'ensemble.

Autre difficulté, celle de l'autorégulation. Comment prévenir les dérives qu'un tel écran tactile interactif risque de provoquer ? Qu'il s'agisse de messages racistes ou de dessins insultants. Certains partenaires potentiels refusent ainsi d'en assumer la responsabilité. « C'est tout l'intérêt d'être porté par un programme comme Ville 2.0, indique Daniel Schutz. Nous avons le temps de piloter notre projet par les usages, c'est-à-dire de tester ses possibilités mais aussi ses contraintes, une étape qui est généralement difficile à faire financer. »

Une première maquette devrait donc voir le jour courant juin, afin de convaincre d'autres partenaires de s'impliquer dans l'aventure. Il s'agira d'un système logiciel ouvert. Quant aux premiers tests, ils auront lieu dans le 2e arrondissement de Paris.

Source : LesEchos.fr

Média_La mesure des médias : savoir et comprendre



« Mesure »… un mot incontournable lorsqu’il est question de communication de nos jours. Que ce soit pour évaluer des auditoires à la radio, à la télévision, au cinéma ou sur Internet, connaître le taux de pénétration d’une campagne de publicité ou de marketing, soupeser les effets d’une démarche de communication interne ou externe, jauger le lectorat dans un média écrit, etc., bref, personne n’y échappe!

Justement, parlant de « mesure », de plus en plus d’individus et d’organisations s’intéressent à la « mesure des médias », par exemple pour connaître l’impact d’une nouvelle d’importance ou encore assurer la surveillance automatisée du site Web de concurrents ou partenaires d’affaires.

Aussi, pour nous parler de la mesure des médias, la Téluq et La Toile des Communicateurs sont heureux de recevoir, le mercredi 25 février, Jean-François Dumas, président d’Influence Communication, entreprise qui se veut le plus important courtier en nouvelles au Canada. En opération depuis 2001, Influence assure un service de veille et d’analyse médias pour la plupart des plus grandes entreprises canadiennes.

Qui de mieux donc que le numéro un de la surveillance, de l’agrégation et de l’analyse exhaustive des journaux, de la radio, de la télévision et de plus de 7000 sites d’information dans 120 pays (plus de 700 000 nouvelles colligées quotidiennement à travers le monde), pour nous aider à bien saisir la portée de cette forme de mesure!

De dire Jean-François Dumas : « Ma présentation portera d’abord sur l’environnement médiatique et l’évolution de la presse québécoise. Je traiterai ensuite de la valeur de l’information et du concept de poids média, à savoir la place qu’occupe une nouvelle dans l’ensemble de l’actualité dans une région donnée et au cours d’une période donnée. Aussi, j’aborderai les forces et faiblesses de nos médias pour finalement terminer cette conférence par une comparaison avec les médias internationaux. »

Voilà donc un rendez-vous fort prometteur auquel vous convient la Téluq, La Toile des Communicateurs avec Jean-François Dumas, un communicateur québécois ayant maintenant de fortes assises partout dans le monde, le mercredi 25 février, à compter de 19 h, sur place à Montréal ou encore par webcast partout dans le monde!

Auditorium de la TÉLUQ, 100, Sherbrooke Ouest, salle SU1550, à Montréal (près de la station de métro Place-des-arts).

Par webcast (par le biais d’une adresse URL qui vous est communiquée après réservation)

Le prix d'entrée est de 10 $ (gratuit si vous êtes étudiant à la TÉLUQ).

Le nombre de places étant limité, nous vous recommandons de réserver la vôtre pour Montréal ou pour la webdiffusion sur Internet, à partir de l'adresse URL suivante : http://www.toile.coop/grandscomm/influence/.

À propos de Jean-François Dumas

Jean-François Dumas, président d'Influence Communication, œuvre dans le domaine depuis plus de 25 ans. Il a enseigné et donné des conférences dans plusieurs universités depuis le début des années 1990. Il a été conseiller en communication et en relations publiques auprès de nombreuses grandes organisations.

M. Dumas a effectué ses études universitaires en science politique et en journalisme. En 2002, Il a coécrit le livre « Les relations publiques dans une société en mouvance ».

Pendant plusieurs années, il a été conférencier en relations publiques à l'École nationale d'administration publique. Il a mis sur pied les premiers services automatisés de surveillance médias au sein du gouvernement canadien en 1994.

Au cours des derniers mois, il a été conférencier invité à News Xchange 2007 qui réunissait à Berlin les principaux télédiffuseurs du monde entier, ainsi qu’à Bruxelles, au congrès DNA 2008. Enfin, en mai dernier, il était conférencier invité à Abu Dhabi, dans le cadre de la conférence des médias de 22 pays arabes.

Renseignements :

Denis Gilbert
La Teluq
TYél. : 418 657-2747, poste 5282
Sans frais : 1 800 463-4728, poste 5282

Source : AMPQ

Web_Projets Web : les choix du président



Fondée en 1997, l'agence Internet Multiple-media.com mise sur la qualité plutôt que la quantité. Son président Renato Cudicio, en commentant l'évolution de la perception du Web par les organisations, affirme que sa philosophie commerciale est aussi rentable pour sa boîte que pour ses clients.

Bien des choses ont changé sur la Toile et au sein des organisations depuis que Renato Cudicio a fondé en 1997 la firme Multiple-media.com qui se spécialise en solutions sur mesure de haut de gamme.

L'entreprise montréalaise offre des services de conception et développement de sites Internet et d'applications Web, de gestion d'envois commerciaux par courriel et depuis peu des services d'exploitation de blogues, selon les approches du clé en main et de l'hébergement en interne du contenu et des outils. L'outil maître est MMCM, un gestionnaire de contenu maison, développé en collaboration avec des clients, qui en est à sa sixième génération.

La firme, par son offre commerciale, se démarque de bien des agences. Dans des bureaux situés dans le Mile-End - un emplacement choisi en fonction d'une qualité de vie - où travaillent ses employés, M. Cudicio affirme que son approche commerciale, depuis le début, est justement de prôner la qualité plutôt que la quantité.

« Les clients ont mûri et l'industrie a mûri aussi, estime M. Cudicio. Quand nous avons démarré, j'avais l'impression d'être un missionnaire, de prêcher pour défendre des règles de convivialité, pour une meilleure ergonomie, pour plein de choses. Aujourd'hui, [ces choses] ne sont pas nécessairement acquises, mais néanmoins la qualité des sites Web, en général, a franchement augmenté. Les clients sont devenus beaucoup plus compétents, à l'image de leurs usagers qui sont devenus beaucoup plus expérimentés. »

« C'est sûr que de parler à des clients pour lesquels le Web est important et qui ont de hauts niveaux d'expertise est un challenge professionnel et personnel. C'était plus difficile avant, alors qu'il fallait partir de loin dans certains cas. On peut présentement s'offrir le luxe de ne pas servir des clients qui n'ont pas atteint ce niveau de maturité, alors que la plupart de nos clients en sont à leur troisième ou quatrième génération de site. »

Convaincre

Ainsi, c'est la firme qui choisit de travailler ou non avec un client potentiel, et non l'inverse. Ce client potentiel doit démontrer qu'il croit en la pertinence et la réussite d'un projet sur le Web, et qu'il est disposé à s'y investir en temps et en argent.

« Je ne dis pas que nous ne servirions pas un client qui n'aurait pas de site Web, mais il devrait être très convaincant pour nous expliquer pourquoi il vient nous voir aujourd'hui. Ce n'est pas du snobisme. Je pense que nous offrons des solutions à valeur ajoutée et nous sommes très pointilleux sur la qualité de ce que l'on fait. »

« Notre modèle d'affaires est que nous avons peu de clients que nous gardons très longtemps. La raison pour laquelle ils nous gardent est que nous sommes rentables dans ce que nous faisons. Pour cela il faut que le client, tout comme nous, fasse sa part et son bout de chemin. »


Page 1 - Mûrissement
Page 2 - Une question de rentabilité
Page 3 - Modèle différent

Source : DirectionInformatique
Par : Jean-François Ferland

Média_Le principal quotidien de San Francisco menacé de vente ou fermeture




Le groupe de presse Hearst Corporation a annoncé mardi la suppression d'un nombre "significatif" de postes au San Francisco Chronicle, dans le cadre d'un effort de réduction de coûts visant à éviter la vente ou la fermeture du principal quotidien de la métropole californienne.

"La survie est l'issue que nous voulons tous, mais sans les changements que nous demandons dans toute l'organisation du Chronicle, nous n'aurons d'autre choix que de rapidement chercher un acheteur (pour le journal), ou, si on n'en trouvait pas, de fermer le journal", a déclaré le directeur général de Hearst Frank Bennack, cité dans un communiqué.

Selon sa maison-mère le San Francisco Chronicle accumule des pertes financières importantes qui remontent à 2001, avant même que la crise financière actuelle n'entraine un effondrement des recettes généralisé dans les médias. Les pertes de l'an dernier ont atteint 50 millions de dollars, et celles de cette année à ce stade sont "pires".

M. Bennack a précisé qu'il faudrait trouver un accord "en l'espace de quelques semaines" pour éviter la vente ou la fermeture, et qu'il prévoyait des suppressions de postes à la fois parmi l'encadrement et le personnel journaliste ou syndiqué.

"C'est une réalité de la vie, qu'il faut que nous vivions selon nos moyens en tant que journal, ce que nous n'avons pas fait pendant des années", a commenté pour sa part le président du San Francisco Chronicle Frank Vega, cité dans un article du site internet du journal.

En cas de succès de l'effort de réduction des coûts, "nous sommes optimistes sur l'émergence d'un Chronicle sain et dynamique", a-t-il ajouté.

Le San Francisco Chronicle, fondé en 1865, avait été racheté en 2000 par Hearst.

Le groupe Hearst avait déjà annoncé en janvier qu'il cherchait un repreneur pour un autre de ses fleurons, le Seattle Post Intelligencer, qu'il possède depuis 1921 et qui accumule les pertes depuis 2000. Faute d'en trouver, Hearst menaçait de fermer le journal ou de le publier exclusivement sur internet dans les deux mois.

Hearst, un groupe non coté fondé par le légendaire magnat William Randolph Hearst, est l'un des plus grands groupes de médias du pays, propriétaire également du Houston Chronicle, du Denver Post, et de nombreux autres journaux, chaînes de télévisions et sites internet comptant au total 20.000 employés.

L'annonce de Hearst intervient quelques jours seulement après le dépôt de bilan de deux autres groupes de presse américains, Philadelphia Newspapers et Journal Register.

La chute des revenus publicitaires et la migration des lecteurs de journaux vers l'internet ont également conduit au dépôt de bilan en décembre du groupe Tribune, le deuxième plus grand groupe de presse du pays, propriétaire notamment des prestigieux Los Angeles Times et Chicago Tribune, ainsi que, plus récemment, le Minneapolis Star Tribune.

Le New York Times,
qui a vu son bénéfice fondre de 48% au quatrième trimestre 2008 en raison d'une chute des revenus publicitaires qui a gagné l'internet, a annoncé la semaine dernière qu'il suspendait le versement de son dividende pour préserver ses liquidités.

Source : Romandie.com

mardi 24 février 2009

Affichage Numérique_Norvège : Le réseau de Norsk Rikstoto s’ouvre à la publicité, CatchTheEye en charge de la régie d’une partie du réseau





Norsk Rikstoto, l’opérateur de pari hippique norvégien, a décidé d’ouvrir son réseau d’affichage dynamique à la publicité de tiers.

L’offre, qui comprend plus de 5.000 écrans disposés au sein de 1.350 buralistes, stations services et magasins de proximité à travers la Norvège, assurait jusqu’alors une mission essentiellement marketing.

La régie publicitaire d’une partie du réseau (1/3 des sites) a été confiée, pour les cinq prochaines années à CatchTheEye.

Cette dernière, fondée en 2008, entend s’établir comme la compagnie de référence sur le secteur de l’out-of-home publicitaire (affichage dynamique, réseaux bluetooth) norvégien.

Source : OOH-TV

Musique_The Pirate Bay: un procès important



L'affaire n'a pas attiré l'attention autant que les déboires du Canadien, mais le sort ou l'essor du site The Pirate Bay, l'un des plus importants sites facilitant le partage de fichiers numériques, se joue actuellement en Suède. L'issue du procès amorcé lundi n'est pas sans conséquence: si l'industrie l'emporte, ce sera un revers important pour les sites d'échanges pair-à-pair (P2P); si les pirates en sortent vainqueurs, leur portail aura gagné en popularité, en crédibilité et en légitimité.

The Pirate Bay est poursuivi par un regroupement de majors du divertissement, dont Sony et Warner Bros. Initialement, ses responsables étaient accusés de promotion de la violation du droit d'auteur et de mise à disposition d'oeuvres protégées. N'importe quel utilisateur le dira: The Pirate Bay est l'endroit tout désigné pour trouver de la musique, des films ou des séries télévisées à télécharger gratuitement. Sauf que ça ne signifie pas nécessairement que le site lui-même viole le droit d'auteur.Là où l'accusation s'est embourbée, c'est que The Pirate Bay n'héberge pas les fichiers numériques qu'il permet de débusquer. Techniquement, le site n'est même pas une bibliothèque de films ou de disques, mais un répertoire qui indique à un ordinateur où trouver tel ou tel fichier, libre de droits ou non. Par exemple, No Line On the Horizon, le nouveau disque de U2, est bel et bien répertorié sur The Pirate Bay, mais la musique elle-même se trouve sur les ordinateurs de centaines, voire de milliers d'utilisateurs momentanément liés par le logiciel BitTorrent.

Ce détail technique a forcé la poursuite à abandonner les accusations de mise à disposition d'oeuvres protégées. Le vrai débat se situe ailleurs. La cour devra déterminer si The Pirate Bay encourage ou non la violation du droit d'auteur. Se demander aussi s'il exerce un contrôle suffisant sur les liens affichés sur son site pour être considéré comme un éditeur. Là, ça risque de devenir intéressant.

Divertissant, aussi, puisque les responsables de The Pirate Bay se montrent souvent un brin arrogants. Peter S. Kolmisoppi, l'un des trois accusés, a commenté le procès sur sa page Twitter (un Facebook format réduit), en direct de la salle d'audience. «Tellement ennuyant, endormant», a-t-il écrit, au deuxième jour du procès. D'autres messages témoignaient de la confiance qu'il a de l'emporter.

Baveux, n'est-ce pas? Il faut l'être au moins un peu pour tenir tête à des groupes de pression aussi puissants que ceux de la musique et du cinéma. The Pirate Bay n'a pas cédé devant les menaces de poursuites, alors qu'un site comme TorrentSpy a cessé ses activités, jugeant le climat «trop hostile».

Les majors ont eu la peau de Napster, au début des années 2000. Il est cependant loin d'être certain qu'ils remporteront cette bataille. Encore moins la guerre. Mais ils ne peuvent pas rester les bras croisés. Ne rien tenter reviendrait à donner leur bénédiction aux pirates.

Avec Bbcnews.com, Numerama.com, Afp, Lesinrocks.com

Source : CyberPresse Par : Alexandre Vigneault

Technologie_Un PC tout-en-un signé BenQ




BenQ vient d’annoncer la commercialisation du nScreen i91, un PC tout-en-un doté d’un large écran 18,5 pouces au format 16:9.

Au premier coup d'oeil, rien ne différencie ce nScreen i91 d'un autre PC avec écran large, si ce n'est un gros bouton situé dans le coin inférieur droit de l'écran. C'est lui qui sert à mettre en route le PC et à régler le volume sonore. BenQ dit vouloir se rapprocher de la simplicité d'usage d'un téléviseur. L'accent est justement mis sur l'image, puisque cette machine peut lire les vidéos en haute définition et servir de cadre photo numérique géant grâce à son lecteur de carte mémoire quatre-en-un.

La configuration est elle tout ce qu'il y a de plus classique, avec un processeur AMD Sempron 210, 1 Go de mémoire vive, un disque dur de 160 Go et une webcam intégrée. Petit plus : BenQ annonce que sa machine dispose d'un mode d'affichage loupe optimisé pour les personnes âgées ainsi que d'un mode audio "senior" qui atténue les fréquences hautes. On peut aussi aisément augmenter sa capacité de mémoire ou changer le disque dur, chose plutôt rare sur les tout-en-un.

Le nScreen i91 est pour le moment disponible en Asie seulement à un peu plus de 500 dollars. Aucune date ni prix n'ont été donné pour la commercialisation dans le reste du monde. BenQ a en revanche annoncé qu'un second modèle de la même gamme, avec un écran de 21,5 pouces sortira bientôt. Après l'Eee Top d'Asus, le Dell XPS One, l'IdeaCenter A600 de Lenovo, le NetOne AP 1900 de MSI ou encore le Sony Vaio LT19U, les tout en un s'affirment comme une catégorie phare de cette année.

Source : CNETFrance

Technologie_Philips crée le premier radio-réveil, cadre photos et lecteur MP3 tout-en-un !



Réveillez-vous du bon pied, en musique, tout en visionnant un diaporama de vos photos préférées... C'est ce que vous propose Philips avec son AJL303, le premier radio-réveil, cadre photos et lecteur MP3 tout-en un !

Cet appareil à poser sur votre table de chevet ou bien là où vous le voulez d'ailleurs, est équipé d'un écran 3,5", d'un lecteur de carte SD/MMC qui permet d'y stocker vos photos ou morceaux favoris.

Un système de double alarme permet un réveil différé : une alarme pour lui, une alarme pour elle, à volume progressif, évitant ainsi les réveils un peu trop brusques... Disponible au tarif de 80 € dans les magasins spécialisés.

Plus d'informations sur le site Philips

Source : Sitedesmarques.com

lundi 23 février 2009

Affichage Numérique_Les forces de l'Affichage Dynamique

Les forces de l'Affichage Dynamique

Les forces de l'Affichage Dynamique - La Libre.be
ce film présente quelques uns des avantages clés de l'affichage dynamique, encore appelé réseaux d'écrans.


Source : LaLibre.be

WebRadio_Test: la radio internet MusicPal de Freecom




Le MusicPal
est une radio internet sans fil signée Freecom qui vous ouvre la voie des nombreuses voix et musiques venues de l’internet. L’appareil est également capable de lire vos MP3, de vous réveiller le matin, ou encore d’afficher les flux rss de votre blog préféré.

Nous avons ausculté la jolie radio MusicPal pour vérifier si son ramage était à la hauteur de son plumage:

Le MusicPal est une radio internet plutôt réussie proposée par Freecom. A la fois webradio et streamer mp3, elle se fond assez discrètement dans votre environnement (sauf bien sur si vous êtes meublé exclusivement en style Louis XVI), et ne déparera pas au milieu des autres équipements électroniques de loisirs, dont elle reprend les codes stylistiques.

L’ergonomie de l’interface utilisateur est bien étudiée: les deux grosses molettes sont également cliquables en pressant sur le bouton pour valider des choix.

La radio gère -heureusement- la notion de favoris, ce qui vous évitera de parcourir la moitié d’internet à chaque fois que vous voudrez écouter vos stations préférées.

La qualité d’écoute est plutôt bonne, même si elle dépend aussi de la qualité de la source et de la célérité de votre connexion internet. La radio indique d’ailleurs sur son écran le débit des webradios. Le haut-parleur intégré est suffisant si vous avez l’habitude d’écouter la radio à volume modérée, et vous pourrez toujours la relier à votre installation hi-fi pour un son plus rempli.

La radio vient se greffer sur votre connexion internet en wi-fi ou par câble Ethernet. Il est possible de configurer intégralement la radio sans recourir à un ordinateur, mais un logiciel vous permet le cas échéant de la paramétrer depuis un PC (sous Windows) ou un Mac. Un assistant (PC et Mac) se propose de vous aider le cas échéant à chercher votre (vos) radio(s) MusicPal pour vous permettre de le(s) configurer depuis votre ordinateur.

Le MusicPal peut également lire des fichiers musique enregistrés sur un serveur multimédia local (UPnP), et vous pourrez aussi lui demander d’afficher vos flux RSS préférés.

L’appareil lit les fichiers MP3, WAV et LPCM et les listes de lecture au format PLS, ainsi que les contenus internet UPnP et DLNA 1.5. Et si les 3 watts du haut-parleur intégré ne vous suffisent pas, vous pourrez relier le MusicPal à votre installation hi-fi.

Elle fait également fonction d’horloge, avec un discret mais lisible affichage, et de réveil-matin.

On a apprécié:
-l’esthétique discrète et réussie
-l’interface simple et intuitive

On aurait aimé:
-une version sur piles ou batteries, pour pouvoir l’emmener jusque dans la salle de bains
-un choix de couleurs (par exemple blanc, rouge et gris) en plus du noir

Le MusicPal est proposé à 129 €, un prix relativement raisonnable pour ce genre d’appareil. [Freecom]

Source : Gizmodo.fr

Média_Rue 89 fait appel à l'aide financière des internautes




Le site d'information Rue89
a lancé mercredi un "mur" numérique sur lequel les internautes peuvent acheter des "briques" (en fait des espaces), pour s'afficher et "participer ainsi au renforcement de l'indépendance de leur site". Rue 89 propose des briques à différents prix (de 15 à 350 euros), sur lesquelles les internautes peuvent inscrire le message de leur choix.

Rue89 espère que les internautes pourront ainsi "participer à son financement et au renforcement de son indépendance, tout en maintenant l'accès gratuit à ses informations et ses archives".

Source : GoogleNews

Média_L'Internet détrône la radio et les journaux au Québec



Le portail Branchez-Vous va publier aujourd'hui les résultats d'un sondage sur les sources d'informations des Québécois. Ce sondage, réalisé entre le 26 janvier et le 3 février auprès de 923 adultes québécois par la maison SOM, vient confirmer qu'Internet est devenu un joueur incontournable de l'information au Québec.

Selon le sondage Branchez-Vous - SOM, 41 % des répondants disent utiliser plus souvent la télévision pour s'informer et 30 % disent utiliser Internet. La radio et l'imprimé occupent la 3e et 4e position du palmarès. Phénomène de génération, chez les 25 à 34 ans, c'est 46 % des répondants qui s'informent d'abord par Internet et 31 % par la télévision.

Il y a quelques semaines, le Bureau de la publicité interactive du Canada a publié son propre portrait de l'évolution de l'utilisation des médias au Canada. Cette édition confirmait que l'Internet avait dépassé les journaux et les magazines pour occuper maintenant la troisième place en terme de temps hebdomadaire total d’utilisation des médias par les adultes. Mais l'Internet ne devançait pas la radio au niveau de sa consommation.

Source : LeCarnetTechno

dimanche 22 février 2009

Affichage Numérique_Etats-Unis : Wireless Ronin publie des résultats annuels en forte baisse





Wireless Ronin,
un des rares pure players américains en affichage dynamique à être côté, a publié des résultats annuels 2008 témoignant de grandes difficultés.

Si le chiffre d’affaires s’inscrit en hausse à 7,4 millions$ (+23% vs 2007), le groupe affiche dans le même temps une perte nette multipliée par deux à 20,7 millions$ (vs 10,1 millions$ de perte nette en 2007).

La perte opérationnelle du groupe s’établit sur la période à 14,6 millions$ (vs 8,6 milions$ en 2007) et la marge brute a fondu, passant de 35% l’année passée à 10,7% en 2008.

Le working capital (cash et marketable securities) a, par ailleurs, diminué de moitié, passant de 29,6 millions $ fin 2007 à 14 millions $ fin 2008.

La performance du groupe s’expliquerait, en partie, par des frais opérationnels en forte augmentation (financement de programmes pilotes et tests notamment) et le préjudice lié à l’épisode NewSight.

Rappelons que pour stopper l’hémorragie, le groupe a déjà licencié près de 40% de ses équipes.

Source : OOH-TV

Téléphonie_TG01, Toshiba présente le tactile le plus fin !




Toshiba annonce la sortie prochaine de son prochain Portege, le TG01, un Smartphone fin et tactile !

Toshiba n’aura pas attendu le Mobile World Congress pour annoncer l’arrivée prochaine du nous terminal de la gamme Portege en présentant officiellement le Toshiba Portege TG01, un mobile à grand écran tactile.

Toshiba TG01, le tactile tout en finesse

Toshiba arrivé depuis peu sur le marché de la téléphonie mobile ne manque cependant pas de savoir faire et présente un Smartphone tactile et élégant mais surtout le plus fin de la catégorie des appareils mobiles avec seulement 9,9mm d’épaisseur.

Présenté en blanc ou en noir, le Toshiba GT01 dispose de dimensions de 70×129x9,9mm pour 129g et au delà de son joli design, il offre un très bel écran de 4,1 pouces, soit 10,4 cm, pour une résolution de 800 x 400 pixels, doté en plus d’un accéléromètre pour l’affichage automatique en mode paysage ou portrait. Là encore, Toshiba marque un records avec le mobile tactile disposant du plus large écran pour une qualité de navigation maximale.

Toshiba TG01, concentré de technologies

Toshiba a offert à son petit dernier de quoi tenir la route en embarquant la nouvelle plate-forme de Qualcomm baptisée SnapDragon cadencé à 1 GHz qui permet à l’appareil de gérer facilement les applications et la visualisation de vidéos. Le système Windows Mobile 6.1 embarqué devrait ainsi fonctionner facilement.

Entièrement dédié au multimédia, le Toshiba TG01 dispose d’un lecteur audio et vidéo compatible avec la majorité des formats disposant même d’une compatibilité avec les fichiers DiVX et WMA. Pour la photo, l’appareil propose un appareil photo numérique de 3,2 Megapixels. Toshiba a intégré également au GT01 TG01 les connectivités Wi-Fi et Bluetooth ainsi que la 3G, sans oublier une puce GPS.

Côté mémoire on retrouve 512Mo de mémoire interne extensible grâce au slot pour carte mémoire Micro SDHC.

Le Toshiba Portege TG01 sera disponible à la fin du premier semestre 2009 au prix annoncé de 500 euros HT (Hors subventions opérateurs).

Source : WorldGSM.com

Média_IAB Canada publie son étude annuelle portant sur l'évolution de l'utilisation des médias au Canada et lance son nouvel outil sur les dominantes





Le Bureau de la publicité interactive du Canada
(IAB) a présenté la semaine dernière son étude annuelle portant sur l'évolution de l'utilisation des médias au Canada, faisant salles combles auprès des spécialistes du marketing réunis à Montréal et à Toronto.

Cette étude, qui s'appuie sur des données recueillies dans les principales études de recherche du Canada (PMB, NADbank, BBM RTS et comScore Media Metrix), compare les changements survenus d'une année à l'autre dans l'usage des médias par les hommes et les femmes, selon les différents groupes d'âge, et selon qu'ils sont des consommateurs canadiens anglais ou français. D'abord commandée en 2001, cette étude compte maintenant un total de huit années de données, qui aideront les annonceurs à mieux comprendre à quel point les habitudes médiatiques des consommateurs ont changé depuis l'an 2000. « Cette présentation résume des milliers de faits et de chiffres en matière de médias en une illustration simple de l'étonnante migration continue des Canadiens vers les médias en ligne », a déclaré l'éminent chercheur Rob Young, premier vice-président, services de planification, PHD Canada, qui a préparé cette étude pour IAB Canada.

Cette étude démontre notamment les faits suivants :

Temps :
L'Internet occupe maintenant la troisième place, tout juste derrière la télévision et la radio, en termes de temps hebdomadaire total d'utilisation des médias par les adultes.
Dans le Canada anglais, l'Internet a connu une croissance remarquable en ce qui concerne sa part du temps d'utilisation des médias entre 2001 et 2007, passant de 14 % à 23 %. Au cours de cette même période, dans le Canada français, cette donnée est passée de 11 % à 18 %.
L'Internet est le média numéro un relativement au pourcentage de temps qui lui est consacré par semaine chez les 18-24 ans (40 %) et les 25-34 ans (33 %) au Canada anglais. Au Canada français, l'Internet se classe également au premier rang relativement au pourcentage de temps qui lui est alloué par les 18-24 ans et il s'approche rapidement des niveaux de la radio et de la télévision chez les 25-34 ans.
Portée :
L'Internet rejoint maintenant plus d'adultes chaque semaine que les magazines ou les journaux.
Auprès des 18-24 ans et des 25-34 ans, l'Internet a une plus grande portée que la radio.
L'Internet est à égalité avec la télévision quant à la portée hebdomadaire auprès des 18-24 ans.

Pour accroître l'efficacité d'un même budget médias :
L'Internet procure aux spécialistes du marketing une « image-miroir » des autres principaux médias en fonction du groupe d'âge.

Cela s'avère particulièrement vrai lorsque l'on compare l'Internet à la télévision. Ainsi, en déplaçant une part du budget publicitaire alloué à la télévision vers l'Internet, on favorise l'équilibre du poids médias à travers l'ensemble des groupes d'âge.

Bien que le groupe des 18-24 ans ne représente peut-être pas le marché cible pour certains annonceurs aujourd'hui, l'étude d'IAB Canada démontre qu'en vieillissant les Canadiens conservent leurs habitudes médiatiques. Puisque les hauts niveaux d'utilisation d'Internet des jeunes actuellement âgés de 18 à 24 ans et de 25-34 deviendront dans huit ans les hauts niveaux d'utilisation pour le groupe des 35-54, les annonceurs visant ce segment disposent d'une courte période de temps pour apprendre comment utiliser les canaux de médias en ligne tels que les vidéos et les médias sociaux afin d'atteindre leurs objectifs pour ces marques.

À titre de complément à l'Étude, IAB Canada lance également son nouvel outil sur les dominantes médiatiques qui permet aux responsables des plans et des achats médias, qui sont abonnés à PMB, de consulter une description explicite impressionnante de la façon dont les différentes combinaisons d'utilisation d'Internet et de la télévision sont liées à l'utilisation des produits et au pouvoir d'achat réels des consommateurs.

Les annonceurs et les agences pourront être surpris d'apprendre que les impératifs Internet (des consommateurs qui utilisent abondamment Internet, mais qui regardent peu la télévision) affichent les meilleurs résultats relativement aux éléments suivants :

- Consommateurs qui dépensent chaque mois 1 500 $ et plus sur leurs cartes de crédit;
- Consommateurs qui possèdent un système informatique personnel de 5 000 $ et plus;
- Consommateurs qui cotisent 10 000 $ et plus en REER chaque année;
- Consommateurs qui possèdent ou ont récemment acheté une voiture de 50 000 $ et plus;
- Consommateurs qui ont dépensé 50 000 $ et plus pour l'amélioration de leur résidence au cours de la dernière année;
- Consommateurs qui ont souscrit une assurance-vie de 500 000 $ et plus;
- Consommateurs qui possèdent une résidence évaluée à 500 000 $ et plus;
- Consommateurs qui détiennent 500 000 $ et plus en titres et économies.

« Le lien entre un grand usage d'Internet et un pouvoir d'achat accru devient encore plus évident qu'une simple liste de faits, lorsqu'il est présenté sous une forme graphique comme celle que procure le nouvel outil sur les dominantes médiatiques d'IAB Canada », a déclaré Steve Rosenblum, directeur de recherche d'IAB Canada. « Finalement, l'outil sur les dominantes médiatiques démontre clairement et à maintes reprises que parmi les consommateurs de produits et services des catégories moyen et haut de gamme, la publicité Internet doit impérativement faire partie du plan ».

Un sommaire des résultats de l'Étude portant sur l'évolution de l'utilisation des médias au Canada d'IAB Canada (Total Canada, Focus On French Canada) est disponible en ligne au www.iabcanada.com. Les rapports détaillés de cette étude (qui portent sur l'ensemble du Canada et mettent également l'accent sur le Canada français) sont accessibles seulement aux membres d'IAB Canada.

Renseignements :

Paula Gignac, présidente
IAB Canada
Tél. : 416 598-3400, poste 26

Source : AMPQ

Média_Corus Entertainment établit un partenariat avec Streamtheworld pour offrir ses stations de radio sur une application pour iPhone




Corus Entertainment est fière d’annoncer qu’elle a conclu un partenariat avec StreamTheWorld pour offrir ses 52 stations de radio sur une application de Corus pour iPhone. Premier radiodiffuseur canadien à proposer une application maison de lecture en continu pour iPhone, Corus offre la possibilité aux auditeurs d’écouter ses émissions de radio n’importe où et n’importe quand.

Cette application facile d’emploi est entièrement compatible avec l’iPhone et l’iPod touch. Les auditeurs peuvent rechercher les stations de Corus par indicatif de station ou par ville. Grâce à la fonctionnalité « Shake the Shuffle », ils n’ont qu’à secouer l’appareil pour obtenir une sélection aléatoire des stations de radio de Corus. L’application fait également appel au codec Advanced Audio Coding (AAC) Dolby, ce qui lui permet d’améliorer sa qualité d’écoute tout en minimisant les données à traiter.

« Nos stations doivent être accessibles à nos auditeurs, peu importe où ils se trouvent et le type d’appareil qu’ils choisissent d’utiliser », a déclaré David Huszar, vice-président et directeur général de la division interactive de Corus Radio. « Compte tenu de la popularité croissante de l’iPhone et de l’iPod, nous sommes heureux d’offrir à nos auditeurs un accès pratique à leurs stations de radio préférées de Corus par l’entremise de leur appareil portable de premier choix. »

« StreamTheWorld s’engage à doter continuellement Corus de nouvelles expériences utilisateur destinées à son public », a affirmé Samuel Sousa, ingénieur en solutions pour StreamTheWorld. « L’application de Corus que nous avons conçue pour l’iPhone offre une expérience plus riche que jamais. En effet, elle comporte des fonctionnalités tactiles et interactives améliorées, procure la qualité sonore exceptionnelle propre au codec AAC Dolby, et permet une faible consommation de données, ce qui facilite son utilisation sur le réseau de troisième génération. »

Au moment de son lancement, l’application de Corus Radio occupait la sixième position dans le palmarès des meilleures applications musicales gratuites de iPhone. Pour se la procurer, les auditeurs peuvent visiter le App Store à la boutique iTunes, sélectionner la catégorie musicale de leur choix et cliquer à droite sur Corus Radio.

Renseignements :

Lucie Brodeur
Directrice générale, marketing et promotions
Corus Québec
Tél. : 514 787-7918

Vincent Grenier, vice-président du marketing
StreamTheWorld
Tél. : 514 448-4037, poste 650

Source ; AMPQ

samedi 21 février 2009

Affichage Numérique_Immobilier Barbé




Barbé Immobilier, une agence d'envergure internationale
Agence immobilière du Gers, Barbé Immobilier propose de nombreux biens à la vente et à la location, à une clientèle locale et étrangère. Pour optimiser leur visibilité, outre un affichage en vitrine, l'agence a fait appel à la solution logicielle Seilia : elle bénéficie ainsi d'une multi-diffusion sur de nombreux supports papier, Web et médias. Un excellent moyen pour accélérer les transactions !

Source : BatiPole.com

Technologie_Un disque dur multimédia original qui supporte la HD et intègre la TNT




Emtec lance un magnétoscope numérique avec tuner TV hybride et prise HDMI, muni d’un disque dur amovible de 2,5 pouces.

Déjà riche de plusieurs modèles de disques durs multimédias à son catalogue, Emtec vient d'étoffer son catalogue d'un nouvel appareil nommé Movie Cube P800. Un appareil au design aussi original que son concept, à savoir qu'il se dissocie en deux éléments distincts et utilisables séparément. Le premier est l'élément principal qui regroupe toute l'électronique de contrôle, de décodage et d'affichage tandis que le second bloc (appelé P100) contient le disque dur au format 2,5 pouces d'une capacité allant de 160 à 500 Go.

Hormis ce concept et un design original et pratique, le Movie Cube P800 dispose -à quelques détails près- des mêmes fonctions que les autres Movie Cube. A savoir qu'il permet de lire les films, les musiques et les photos à partir d'un disque dur externe USB ou d'un ordinateur connecté à son port réseau. Il peut aussi recevoir les émissions de télévision, grâce à un tuner hybride (analogique et numérique) intégré. Ainsi, comme avec un véritable magnétoscope numérique, il est possible de programmer et d'enregistrer des émissions de TV ou des sources vidéo externes. Et ce, avec toutes les commodités inhérentes à ce type de matériel, comme le Timeshifting, le contrôle parental, la programmation des enregistrements, le guide électronique des programmes, le choix de la qualité des enregistrements (HQ, SP, LP, EP ou SLP), etc.

Afin d'offrir la meilleure compatibilité avec les fichiers actuels, le Movie Cube P800 supporte les formats vidéo AVI, MPG, IFO, VOB, DAT et Mpeg2-TS encodés en Mpeg-1/2/4 et XviD (fichiers en haute définition inclus), ainsi que les formats audio MP3, WMA et OGG codés en MP2, MP3, OGG Vorbis, WMA non protégé, PCM, DTS et AC3. Il devrait également reconnaître les sous-titres aux formats SRT, SMI et SSA, sans oublier les photos de type JPG, BMP et HD Jpeg. Regrettons seulement qu'il ne prenne pas en charge les fichiers de type Matroska MKV en haute définition qui sont de plus en plus couramment proposés.
D'autre part, le Movie Cube P800 d'Emtec est équipé d'une sortie numérique HDMI, en plus de la connectique vidéo composite et composante YUV. Bref, des caractéristiques techniques tout à fait dans l'air du temps.

Cela dit, la caractéristique technique qui distingue le mieux ce Movie Cube P800 de ses rivaux est due à son concept qui permet d'utiliser n'importe quel disque dur externe USB comme source. Tout comme il permet d'utiliser le disque dur du P800 comme un disque dur 2,5 pouces de poche parfaitement autonome.

Déjà disponibles, les versions 160, 250 et 320 Go du Movie Cube P800 affichent un prix respectif de 279, 299 et 319 euros. La version 500 Go vous coûtera un peu plus cher mais il faudra attendre le mois de mars 2009 pour savoir combien. De plus, il faudra ajouter 20 euros à chacun de ces quatre appareils pour bénéficier du module Wi-Fi Wi200 optionnel.
Les disques durs P100 sont -eux aussi- disponibles séparément, au prix de 80, 100, 110 et 140 euros pour les capacités de 160, 250, 320 et 500 Go.
Pour :
- Concept en deux parties avec disque dur externe 2,5 pouces enfichable
- Disque dur utilisable séparément
- Tuner TV hybride intégré
- Possibilités d'enregistrement TV et externe
- Connectivité (USB, Ethernet, HDMI)
Contre :
- Ne supporte pas le format MKV
- Module Wi-Fi en option
- Prix élevés
Caractéristiques techniques > voir toutes les caractéristiques
Capacité du disque dur (en Go) 320
Sortie vidéo composante (YUV) Oui
Sortie HDMI

Source : 01Net.com
Par :Slobodan Dragovic

Technologie_Le nuage informatique: un concept nouveau?



Un concept en continuité avec les services Web et les architectures orientées vers les services, le « nuage informatique » promet beaucoup, mais devra surmonter certains défis avant de livrer toutes ses promesses.

Le concept du « nuage informatique » (cloud computing, en anglais) fait beaucoup de vagues en ce moment. On parle d'un concept technologique d'avenir, qui va contribuer à rendre les technologies de l'information (TI) plus accessibles que jamais, tout en diminuant le fardeau financier assumé par les organisations utilisatrices. Cela rappelle le discours qu'il y avait autour des services Web et des architectures orientées vers les services (AOS ou SOA en anglais) il n'y a pas si longtemps. Mais qu'en est-il exactement?

En vertu du concept du « nuage informatique » les ressources logicielles et matérielles sont fournies sous forme de services utilisables à distance. Le traitement des applications est réparti parmi un grand nombre d'équipements reliés en réseau. Ce réseau peut-être public, dans quel cas il s'agit d'Internet, ou privé, dans quel cas on parle d'un réseau interne, fermé. Les données sont subdivisées en sous-groupes d'informations qui sont traités par plusieurs ordinateurs différents.

Les firmes d'analyse de marché s'entendent pour dire que 2009 sera une année importante pour l'adoption du concept par les organisations. C'est dans cette perspective qu'IDC s'attend à ce que les revenus générés par la prestation des services de nuage informatique triplent entre 2008 et 2012, alors qu'ils atteindront 42 milliards $ US mondialement. IBM, qui mise gros sur le concept, ayant mis en marché toute une gamme de produits et de services le supportant, incluant des services de consultation et d'homologation des fournisseurs, croit que les technologies de nuage informatique atteindront leur plein potentiel en 2009. Le fournisseur dispose, en outre, de centres de compétences aux États-Unis, en Irlande, en Chine, au Japon et en Afrique du Sud.

Industrialisation accrue

IBM, qui qualifie le concept d'« industrialisation de l'infrastructure TI », croit que l'utilisation des services de « nuage informatique » permet de réduire de 80 % la surface utilisée et de 60 % les coûts en électricité, tout en triplant l'utilisation des ressources TI. Le « nuage », qui est déployé sur une AOS, d'où son lien avec ce concept antérieur, tire profit de plusieurs techniques et technologies, dont la virtualisation, l'automatisation, incluant l'allocation dynamique des ressources, les normes ouvertes, le stockage évolutif et l'informatique fondée sur le Web.

« Le concept de « nuage informatique » focalise sur l'optimisation des ressources, c'est ce qui le distingue des services Web qui se limitent à donner accès à des capacités, sans se préoccuper de quelle façon les ressources sont utilisées, résume Gordon Kerr, ingénieur émérite chez IBM Canada. Et dans un environnement de « nuage », les ressources sont allouées seulement durant la période que le service est utilisé. Il y a plus d'intelligence au niveau de l'utilisation des ressources. La manière de facturer l'utilisation des services est aussi plus flexible. [...] C'est un processus de maturation qui a commencé il y a dix ou vingt ans. »

« Avec le nuage, on déporte encore plus sur Internet les services offerts par les applications Web, qui sont hébergées chez des fournisseurs de solutions d'applications standard, ajoute Michel Fossé, directeur de pratique, Services-conseils, pour le Québec chez IBM Canada. Ça amène une flexibilité à l'emploi. [...] Ça permet aussi de se libérer des préoccupations de compatibilité entre les applications. D'une manière générale, la complexité est déplacée chez le fournisseur. Ça s'inscrit dans la tendance observée chez les entreprises de vouloir se focaliser sur la valeur ajoutée et la personnalisation du besoin d'affaires. Il n'y a donc pas une grande nouveauté technologique [avec le concept du nuage], c'est la façon dont les ressources sont utilisées qui est différente. »


Page 1 - Concept et marché
Page 2 - Limitations et défis

Source : Direction Informatique