RadioSouvenirsFM

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lundi 30 juin 2008

Affichage Numérique_Etats-Unis : ABN choisit les solutions d´Hugues pour distribuer ses contenus




ABN (Automotive Broadcasting Network) a choisi la solution satellite HughesNet Managed Digital Media pour assurer la distribution de ses contenus vidéo.

Pour rappel, ABN propose un programme in-store payant destiné aux concessionnaires automobiles (il en existe 22 000 aux Etats-Unis).

La boucle de programmes intègre des contenus généralistes apportés par CBS ainsi que des modules dédiés à la thématique automobile et des messages adaptés à chaque concession.

Lancée au premier trimestre 2008, l´offre est actuellement commercialisée dans 29 états.

Source : OOH.TV

Affichage Numérique_Etats-Unis : PumpTop TV dans 6 des plus grands marchés du pays




Le réseau PumpTop TV,
d´AdtekMedia, est à présent déployé sur 6 des 10 plus grands marchés des Etats-Unis. L´annonce provient de Westinghouse Digital Electronics, qui fournit le réseau de ses systèmes d´affichage LCD dédiés aux pompes.

L´offre devrait continuer à s´étendre rapidement :

- Pump Top TV devrait être présent, à la fin de l´été, sur l´ensemble des 10 plus grands marchés et toucher 20 millions d´individus par mois.

- Westinghouse devrait installer, d´ici à la fin de l´année, 12 000 écrans supplémentaires. Le réseau couvrira alors près de 25 millions de personnes chaque mois.

Source : OOH.TV

Web_Les noms de domaine vont se diversifier



Les .com, .org et .net seront bientôt accompagnés de plusieurs autres noms de domaine, puisque le gestionnaire des noms de domaine sur Internet ouvre la porte aux .quebec, .google ou .amour.

C'est à l'unanimité que les membres de l'Internet Corporation for Assigned Names and Numbers (Icann) ont décidé de permettre l'introduction de nouveaux noms de domaine et ce à compter du printemps prochain.

Cette décision a été prise dans le cadre de la 32e réunion internationale de l'Icann, qui se déroule depuis lundi à Paris en présence de 1500 participants de plus de 70 pays.

Les nouvelles dispositions adoptées vont simplifier les choses pour les entreprises, les groupes ou les individus qui veulent proposer de nouveaux noms de domaine. Des centaines, voire des milliers de ces noms pourraient voir le jour au cours des prochaines années.

L'Icann
va profiter de cette nouvelle libéralisation, puisqu'elle perçoit des droits pour chaque nouveau nom de domaine créé. Mais l'organisme doit encore régler de nombreux détails, notamment le montant des droits à payer pour l'octroi d'un nom avec une nouvelle extension, qui devraient dépasser les 100 000 dollars pour chaque nom. De quoi aider l'organisme à couvrir des frais estimés à jusqu'à 20 millions de dollars.

Une deuxième proposition soumise au vote de l'Icann a également été adoptée. Elle ouvre la porte aux noms de domaine écrits en arabe ou en chinois, par exemple.

L'Icann a fait savoir qu'il allait solliciter l'avis du public sur cette proposition avant sa prochaine grande réunion en novembre.

«Nous nous ouvrons à un tout nouveau monde et je pense qu'il ne faut pas le sous-estimer», a déclaré Roberto Gaetano, un membre de l'Icann.

Le gestionnaire des noms de domaine planche sur cette nouvelle ouverture depuis près de six ans.

Jusqu'ici, les noms de domaine étaient réservés aux pays, aux organisations et au commerce.

Source : La Presse Affaires
Avec Associated Press Par : Marie-Eve Morasse

Technologie_Un logiciel québécois testé pour traquer les pédophiles



Le logiciel de la compagnie BlueBear LES qui aide à traquer les pédophiles, est mis à l'essai par des corps policiers du Canada, des États-Unis, d'Australie et de Bosnie.

Le président et directeur général de BlueBear LES, Antoine Normand, est de retour d'un voyage éclair en Australie et d'un séjour en Europe où il est allé vanter les mérites du logiciel développé par son entreprise.Ce logiciel, appelé «LACE» est conçu pour faciliter le travail des policiers qui enquêtent sur des personnes qui sont arrêtées alors qu'elles sont en possession de matériel de pornographie juvénile.

Lorsqu'un policier saisit un ordinateur, l'appareil peut contenir des centaines de milliers d'images. L'enquêteur doit visionner ces images une à une pour déterminer s'il s'agit de pornographie juvénile ou non. Le logiciel «LACE» compare les images à des images déjà connues et l'enquêteur n'a qu'à visionner de 15 % à 20 % du contenu, au lieu de 100 %. Il en résulte donc, selon M. Normand, une économie de temps et d'argent.

La décision de déterminer si les images sont considérées comme de la pornographie infantile ou non, demeure la responsabilité du policier.

«Les policiers de plusieurs villes sont en train de l'essayer et nous l'avons fourni gratuitement, (pour une période de cinq ans) à la police de Gatineau qui va aussi le mettre à l'essai. Nous allons assurer la formation des policiers qui l'utiliseront. De plus, trois villes de l'Australie ainsi que la police nationale de la Bosnie l'essaient également», a révélé M. Normand.

Ancien dirigeant de la firme Cactus, Antoine Normand est à la tête d'une entreprise qui emploie six personnes en ce moment. Il compte faire passer ce nombre à 12 ou 14 d'ici l'année 2009. BlueBear LES est installé sur le boulevard Gamelin, dans le secteur Hull de Gatineau.

Source : La Presse Affaires Par : Charles Thériault

Web_Facebook et ConnectU : un juge met fin à la dispute



Les fondateurs du site ConnectU, qui accusent Facebook d'avoir plagié leur idée, se sont fait rabrouer par un juge hier.

Les responsables de ConnectU affirment depuis longtemps que le fondateur de Facebook, Mark Zuckerberg, a volé leur idée alors que tous étudiaient à l'université Harvard.

L'affaire s'est retrouvée devant les tribunaux, jusqu'à ce qu'une entente à l'amiable survienne entre les deux parties en avril. Les détails de cette entente n'ont pas été dévoilés.

Mais voilà que Tyler Winklevoss, Cameron Winklevoss et Divya Narenda sont revenus à la charge en affirmant que dans l'entente conclue, Facebook avait fait de fausses représentations quant à sa valeur financière.

ConnectU était apparemment déçu que l'évaluation de Facebook ne soit pas, comme les médias le rapportaient l'an dernier, de 15 milliards de dollars. Dans sa décision, le juge note que le conseil d'administration de Facebook a déterminé «une valeur qui était différente de celle dévoilée à la presse».

La décision du juge de San Jose ne dit rien sur la valeur attribuée au site par son conseil d'administration.

Mais le juge James Ware a réaffirmé dans sa décision que l'entente à l'amiable conclue entre Facebook et ConnectU était valide.

Facebook s'est réjoui de cette décision.

«Les fondateurs de ConnectU étaient représentés par six avocats et un professeur de la Wharton Business School quand ils ont signé l'entente. [Ils] comprenaient l'entente qu'ils faisaient (...)», écrit Facebook dans un communiqué.

«Nous considérons ce chapitre clos et souhaitons aux frères Winklevoss la meilleure des chances dans leurs futurs projets», conclut Facebook.

Source : la Presse Affaires
Avec le New York Times Par : Marie-Eve Morasse

dimanche 29 juin 2008

Web_Yahoo : la réorganisation stratégique se confirme



A l'heure où plusieurs de ses collaborateurs s'éloignent, Yahoo dévoile ses plans de réorganisation. Comme l'avait suggéré le Wall Street Journal, pour tenter de relancer la dynamique, la direction exécutive de Yahoo a annoncé jeudi centraliser certains de ces départements.

Cette réorganisation passe par : le regroupement des développements produits 'grand public' au sein d'une même entité chargée du marché mondial ; la création d'une unité dédiée au marché US (produits utilisateurs, annonceurs, éditeurs) ; le formation d'une équipe dédiée en charge de la stratégie ; la révision de son infrastructure technologique.

Selon les termes de Yahoo, « afin d'améliorer l'expérience utilisateur, devenir un passage obligé pour une majorité d'annonceurs et être considéré comme la plate-forme de choix des développeurs », trois équipes produits seront créées (l'équipe produits d'audience dirigée par Ash Patel, l'équipe marché US dirigée par Hilary Schneider et l'équipe stratégie) et rendront des comptes à Susan Decker, présidente de Yahoo (Jerry Yang est CEO). Rien ne change pour la division marketing.

Après avoir rejeté l'offre de rachat présentée par Microsoft et conclu un accord publicitaire avec Google, Yahoo multiplie les initiatives pour convaincre ses actionnaires du bien-fondé de sa stratégie... Sans grand succès. A la suite du milliardaire américain Carl Icahn, un autre actionnaire minoritaire de Yahoo, Mark Nelson (Mithras Capital) a demandé à Microsoft de présenter directement aux actionnaires du portail sa dernière offre, non plus un rachat, mais une prise de participation.

La réaction boursière n'est pas plus enjouée : à la bourse de New York, le 26 juin 2008, l'action Yahoo a perdu 2,18% à 21,51 dollars.

Source : NetEco.com
Publié par Ariane Beky

samedi 28 juin 2008

Affichage Numérique_Chine : AirMedia revoit ses guidances à la hausse




AirMedia, l´opérateur de réseaux publicitaires d´affichage dynamique dans les aéroports et lignes aériennes chinois, révise à la hausse ses objectifs de revenus pour le second trimestre 2008. Le chiffre d´affaires trimestriel est désormais attendu entre 29 et 30 millions $ (vs 26-28 millions $ anticipés précédemment).

La performance serait portée par l´ensemble des offres du groupe, notamment l´activité de posters numériques (digital frames). Lancée en décembre 2007, celle-ci comptait mi-avril plus de 1 200 posters sur 16 aéroports et s´est étendue le mois dernier à deux nouveaux aéroports. Près de 20 aéroports devraient, au total, être couverts ces prochains mois.

Source : OOH.TV

Affichage Numérique_Royaume-Uni : L´étau se resserre sur Avanti




Les négociations engagées par Avanti Screenmedia sur la vente d´une partie de ses actifs pourraient ne pas aboutir.

C´est ce qu´annonce le groupe dans un communiqué, dans lequel il réitère ses besoins urgents de nouveaux financements.

… there can be no certainty that a sale of assets will be completed and as such there may still be an urgent need for further short term funding.

Une nouvelle émission de 100 millions d´actions est notamment étudiée en vue d´accueillir d´éventuels investisseurs.

Source : OOH.TV

Affichage Numérique_France : Novax poursuit son activité




D´après un message posté sur le site de la Fédération des Syndicats Pharmaceutiques de France, Novax a obtenu, au début du mois, du Tribunal de Commerce de Bordeaux, “qu’il autorise sa poursuite d’activité dans la perspective d’asseoir sa restructuration financière”.

Le groupe précise par ailleurs détenir un parc de plus de 3000 officines (vs ~2500 en 2006), et avoir affiché en 2007 un chiffre d’affaires net en progression de + 17% pour une marge brute en hausse de + 21 %. (vs un CA 2006 de l´ordre de 11 millions €)

Le groupe serait “confrontée à une difficulté ponctuelle”, ie (vraisemblablement) un problème de trésorerie.

Nous relayions fin mai les difficultés rencontrées par certains acteurs du DS en pharmacies.

Source : OOH.TV

WebRadios_Enregistrer les web radios avec Screamer Radio.




Vous écoutez les web radios tout comme moi ?. Vous aimez une ou plusieurs chansons qui passent ? Pourquoi ne pas la ou les enregistrer ?

Screamer Radio vous permet d'enregistrer un chanson qui passe en streaming sur votre web radio préférée, et ce très facilement. Pas besoin d'être un as de l'informatique pour le faire fonctionner. Screamer Radio possède également un base de données impressionnante de radios diffusées sur le Net.

Caractéristiques:

* Il est facile à utiliser
* Gratuit
* Il n'a pas de logiciels espions
* Il dispose d'une vaste base de données de stations de radio
* Vous pouvez facilement enregistrer ce que vous êtes à l'écoute
* Vous pouvez la cacher dans la barre d'état système


Caractéristiques d'enregistrement

* Enregistrement tampon: commencer l'enregistrement au milieu et continuer à enregistrer l'ensemble de la chanson!
* Direct de MP3 Audio Stream épargne, aucune perte de qualité!
* Directe OGG Vorbis flux d'épargne, aucune perte de qualité!
* Ou OGG Vorbis encoder au format MP3 en utilisant Lame
* Encodage WMA ou AAC en MP3 en utilisant Lame

Source : Infosjeunes.com

Pub_La pub, l'internaute et son cyberciblage,



Phorm est un logiciel particulièrement intrusif, l'un de ces "trucs" dont raffolent les publicitaires. Rien ne lui échappe de notre navigation sur Internet. Vous préparez des vacances en Grèce. Vous tapez "vols Paris-Athènes" et "Cyclades" sur Google... Vous abandonnez provisoirement vos recherches et, surprise !, alors que vous vous connectez sur Facebook, des pubs surgissent sur votre écran, d'Olympic Airways et de Mykonos.

Phorm, à moins que ce ne soit NebuAd ou Frontproch vous a repéré et ne vous lâchera pas. C'est la mésaventure qui est arrivée à des dizaines de milliers de clients du fournisseur d'accès à Internet British Telecom. Ils n'avaient pas été prévenus de l'accord passé par BT, "à titre expérimental", avec Phorm. Et ne se doutaient pas qu'ils étaient espionnés. Phorm a passé des accords, depuis, avec d'autres fournisseurs d'accès du Royaume-Uni, TalkTalk et Virgin Media. Comme l'a rapporté The Economist, ces accords suscitent un certain émoi outre-Manche où Sir Tim Berners-Lee, le co-inventeur du Web, a annoncé qu'il changerait de fournisseur d'accès si celui-ci s'acoquinait avec Phorm ou l'un de ses semblables.

Les utilisateurs de Google et des autres moteurs de recherche sont habitués à voir surgir sur leur écran de telles annonces ciblées, en rapport avec la requête qu'ils formulent. La différence avec Phorm, c'est que ces liens "sponsorisés" disparaissent quand l'internaute quitte le site de Google ou de Yahoo!. Phorm, NebuAd ou Frontporch, eux, sont tapis dans les ordinateurs des fournisseurs d'accès et pistent en continu les internautes, quels que soient les sites qu'ils visitent.

Où s'arrêtera ce traçage des individus ? C'est à eux de le décider. Adeptes du "tout gratuit", refusant de débourser un centime pour consulter un moteur de recherche, s'informer ou même écouter de la musique, les internautes sont ambivalents. D'un côté, ils s'offusquent d'être victimes de ces publicités virales. Ils craignent pour leur intimité. De l'autre, ils s'en accommodent - jusqu'à un certain point. Ils savent que sans un tiers payant - les annonceurs -, les services qu'ils utilisent n'existeraient pas.

Google est passé maître dans l'art de cibler les internautes sans les heurter. Il bombarde les utilisateurs de son service de courrier, Gmail, de liens publicitaires en rapport avec les messages qu'ils échangent. Par exemple, un internaute parisien dont un e-mail évoque un prochain voyage à New York voit s'afficher sur le côté droit de l'écran les offres d'Air France ou d'American Airlines. Si personne ne se rebelle contre cette violation de son intimité, c'est que les utilisateurs de Gmail préfèrent ce service de courriel à celui de ses concurrents (ils n'ont pas tort).

C'est la force de Google, qui capte 40 % du marché publicitaire on line, d'aimanter ainsi les internautes, même les publiphobes. Pour 60 %, ce chiffre d'affaires publicitaire provient de petits annonceurs, c'est le B.A. BA de la pub on line. S'il est trop coûteux, pour un commerçant de quartier, de faire de la pub dans un quotidien national, cibler, via Internet, les habitants de ce quartier est davantage à sa portée.

LE "TOUT GRATUIT"

Au début de l'année prochaine, un quart de la population mondiale aura accès à la Toile. Le partage de cette manne publicitaire attise évidemment les convoitises. Le braconnage de British Telecom et de Phorm sur le terrain de chasse de Google est une escarmouche à côté de la guerre qui s'annonce. Davantage d'internautes à l'horizon, une exigence identique : le "tout gratuit". Ceci expliquant cela, le ciblage des internautes à des fins publicitaires a toutes les chances de s'intensifier. Ce "tout gratuit" est devenu le modèle dominant. Certains y viennent par pragmatisme : après avoir été tout ou en partie payants, El Pais et le New York Times ont fait machine arrière, espérant compenser leur manque à gagner par un surcroît de trafic, donc de recettes publicitaires.

D'autres s'enthousiasment pour le "tout gratuit" par convictions libérales-libertaires. Dans un article retentissant paru en mars dans le journal en ligne Wired, Chris Anderson, le rédacteur en chef, affirme que tout ce que touche le numérique évolue irrémédiablement vers la gratuité. Son "papier", en forme de manifeste, a pour titre : " Free ! Pourquoi 0,00 $ est le futur du business".

Chris Anderson
n'est pas un plaisantin. On lui doit une théorie fameuse, dite de la "longue traîne", selon laquelle, même les oeuvres difficiles ont leur chance de trouver un public grâce à l'immensité du réseau, donc d'être rentables. Tout le contraire du postulat habituel selon lequel ce sont les best-sellers qui financent les oeuvres les moins abordables.

Si Chris Anderson voit juste, la publicité virale a de beaux jours devant elle. En attendant, elle suscite de fortes résistances. Au Royaume-Uni, l'Information Commissioner's Office (ICO, l'équivalent de la Commission nationale de l'informatique et des libertés, la CNIL) a déclaré que Phorm était légal à condition que l'internaute souscrive explicitement à ce "service".

C'est toute la différence qui existe entre la possibilité de désactiver un tel logiciel (opt out) et celle de l'activer volontairement (opt in). Dans le premier cas, les étourdis tombent dans les filets des annonceurs ; dans le second, ils savent à quoi s'en tenir, sachant que ce n'est pas un individu précis que les logiciels espions suivent à la trace, mais l'utilisateur de l'ordinateur, quel que soit cet utilisateur.

La vigilance de l'ICO ou de la CNIL a ses limites. Trois pays sur quatre n'ont aucune législation encadrant l'exploitation et la conservation des données personnelles qui circulent sur le réseau mondial. C'est ce Far West qui encourage la publicité virale. Ne sachant pas ce qui est légal et ce qui ne l'est pas, chacun y va de sa trouvaille, de plus en plus indiscrète.

Contrairement à une idée reçue, Google ou Yahoo! s'inquiètent de cette anarchie. Ils plaident pour un cadre légal universel, fixe, propice à l'expansion de leur business. Peter Fleischer, le conseiller de Google pour la protection des données personnelles, un ancien d'Harvard basé à Paris, préconise ainsi un accord de type convention de Berne qui, à la fin du XIXe siècle, avait jeté les bases de la protection internationale des oeuvres littéraires et artistiques.

Source : Le Monde.fr par Bertrand Le Gendre

Technologie_Utilisez votre PC comme magnétoscope



Il n'est plus nécessaire de recourir à un magnétoscope pour enregistrer ses séries préférés. Un ordinateur et le bon logiciel font très bien l'affaire.
Des enregisitrements de meilleure qualité avec ADSL TV

Un ordinateur est capable d’afficher la télé sans recourir à un tuner TV. Une prouesse en effet possible, moyennant une connexion haut débit et en passant par des logiciels tels que PeerTV par exemple. Saviez-vous que votre ordinateur peut également se transformer en magnétoscope numérique ? Là encore, cela passe par un logiciel adapté. La solution la plus simple est d’utiliser Wizzgo, un utilitaire qui permet d’enregistrer les programmes de la TNT. Pour une meilleure qualité d’enregistrement et l’accès à davantage de chaînes télé, le mieux est de se tourner vers le logiciel ADSL TV.

Récupérer les programmes de la TNT sur un serveur avec Wizzgo

Wizzgo, c’est en quelque sorte votre magnétoscope numérique TNT. Une fois ce logiciel installé et lancé, vous allez tout d’abord créer votre compte utilisateur. C'est une étape obligée...

Ensuite, c’est très simple. Wizzgo inclut un guide TV détaillant les programmes sur deux semaines des chaînes de la TNT. Pour repérer l’émission ou le film qui vous intéresse dans ce guide TV, utilisez le bouton Explorer ou saisissez un mot-clé dans son moteur de recherche. Cliquez enfin sur le bouton rouge placé à côté à gauche du nom de du programme à enregistrer et le tour est joué.

Une croix blanche sur fond noir apparaît : il n’est pas nécessaire de laisser son PC allumé jusqu’à diffusion. Le logiciel récupèrera l’enregistrement lors de sa prochaine exécution. Vous trouverez vos enregistrements dans le dossier iWizz/Wizzgo.

Ces vidéos, au format MPeg-4, pourront donc être lus avec Quicktime ou VLC. Leur résolution atteint seulement 320 par 240 pixels. De faible poid - comptez 500 Mo pour un long métrage - ces vidéos apparaitront pixellisées en mode plein écran. Autre limitation : vous ne pourrez enregistrer pas plus de 15 heures de programmes par mois. Et il n’est plus vous d'enregistrer une émission moins de cinq minutes avant sa diffusion. Il n'y a rien de tout cela avec ADSL TV.

Lire la suite » Des enregisitrements de meilleure qualité avec ADSL TV

Source : CNET France
Par Mohamed Afiri

vendredi 27 juin 2008

Media_France, Europe 1: le grand retour radio de Michel Drucker




Après plus de vingt ans d'absence sur les ondes, Michel Drucker a choisi Europe 1 pour son grand retour à la radio dès la rentrée prochaine. Le journaliste animateur retrouve Europe 1 pour animer de 9h30 à 11h un nouveau magazine de découvertes. Pour Alexandre Bompard, Président Directeur Général d'Europe 1 : « C'est une fierté et un honneur pour moi et pour Europe 1 de retrouver Michel Drucker, talentueux journaliste, animateur chaleureux et estimé de tous. Grâce à son expertise incontestable des médias, il sera à mes côtés un conseiller avisé. »

Source: communiqué Europe 1

Publié dans TVMag

Affichage Numérique_Royaume-Uni : i-design accentue ses pertes au premier semestre





i-design,
qui opère l´offre ATM:ad, a publié ses résultats à titre du premier semestre fiscal (clos au 31 mars). Si son chiffre d´affaires a progressé de 84% à 947 000 £, sa perte s´affiche à 291 000 £, en détérioration par rapport à la perte de 172 000 £ enregistrée l´année passée.

Cette évolution s´explique par la hausse des frais opérationnels qui ont atteint 697 000 £ (vs 257 000 £ à la même époque l´année dernière).

Le groupe annonce par ailleurs que le retard pris dans le déploiement d´ATM:ad au sein des distributeurs de RBS (The Royal Bank of Scotland) et la non-conclusion d´un accord avec HSBC affecteront ses performances à court terme :

The roll-out of our advertising solution had been expected to be completed by the end of the first half of the financial year but has now been rescheduled for completion in the second half of the year. While this will not impact on income generated from our software licence agreement, it will affect anticipated income from third party advertising in the short term.

This, taken together with the mutual agreement with HSBC plc not to proceed with the implementation of ATM:ad, means that results for the full year will fall short of market expectations.

Rappelons que le groupe a signé RBS, le plus grand opérateur de DABs (distributeur automatique de billets) du Royaume-Uni, en janvier de cette année. Il compte également, depuis septembre 2007, Alliance & Leicester dans son portfolio.

Sur le long terme, le groupe se fait plus optimiste. Il devrait en effet profiter :

- de la montée en puissance de son offre : suite aux accords passés, 11 600 distributeurs au Royaume-Uni, soit 34% du parc de DABs opérés par les banques, vont utiliser ATM:ad.

- de sa première vente à l´international : ATM:ad va être déployée au sein d´un réseau DAB d´une banque grecque.

Source : OOH.TV

Affichage Numérique_Inde : ENN investit Hyperabad et les transports




Après Mumbai et Calcutta, le réseau Elevator News Network (ENN) arrive dans la ville d´Hyderabad.

Fondée en novembre 2007, ENN déploie ses écrans au sein des ascenseurs d´immeubles commerciaux et résidentiels. Parmi les bâtiment couverts, citons le Bombay Stock Exchange (BSE), le Panchratna ou encore la Jain Tower.

Le groupe annonce par ailleurs le lancement de deux nouvelles offres d´affichage dynamique :

- ENN Metros : un réseau d´écrans 26″ (vs 15″ pour l´offre dans les ascenseurs) installé au sein des immeubles commerciaux et de bureaux

- ENN on the Run, qui vise les bus des grandes villes du pays.

ENN vise une base de plus de 1000 écrans installés d´ici 2009.

Source : OOH.TV

Affichage Numérique_Pays-Bas : Briljant Breda déploie un réseau d´affichage dynamique sur Breda



(Via BN DeStem) Brilliant Breda déploie actuellement un réseau d´écrans dans la ville de Breda. Les principaux bâtiments, lieux de vie et lieux de passage de la cité (tels le stade de football du NAC - le club de la ville, le Chassé Theater, le centre commercial Heksenwiel ou les bus gérés par Veolia) visent à être couverts.

Le groupe ambitionne une base de 200 à 250 écrans en opération d´ici septembre et 500 d´ici l´année prochaine.

La boucle de programmes se partagera entre informations locales, informations et services pratiques et publicité.

Source : OOH.TV

Pub_Publicité en ligne: un marché mondial de 65 milliars$ en 2008?



« La publicité en ligne croît à un rythme phénoménal », d'après l'Institut d'étude IDC. À l'échelle mondiale, les dépenses des annonceurs pourraient ainsi atteindre 65 milliards de dollars cette année, si la croissance actuelle se poursuit. À plus long terme, elles pourraient même représenter plus de 100 milliards de dollars avant 2011, affirme l'Institut.

Si ces résultats se confirment, l'Internet représenterait alors près de 10% du total des dépenses tous médias confondus. Malgré la conjoncture et le tassement, au premier trimestre, des dépenses publicitaires en ligne aux États-Unis, ce marché resterait donc très dynamique « comparé à d'autres types de publicités plus matures, explique John Gantz, directeur de recherche chez IDC. La publicité sur Internet est tout de même relativement nouvelle, (...) et restera, sur la période étudiée, à peu près deux fois moins importante que la publicité imprimée ou télévisée. Le total des recettes publicitaires correspond à plus de 105 dollars par habitant sur Terre, tandis que celles sur Internet sont plus proche de 50 dollars par internautes actifs ( soit plus d'un milliard) » , précise-t-il.

Dans le peloton de tête des modes publicitaires en ligne les plus importants, on trouvera sur cette même période à l'échelle mondiale, d'abord les liens sponsorisés ( 30% ), puis les bannières ( 20% ), suivies de près par les petites annonces ( 19% ). « Les publicitaires admettent volontiers que la publicité en ligne doit être intégrée à une stratégie globale. Ce qui continuera à stimuler la croissance dans les dépenses publicitaires en ligne bien au-delà de la période de prévision », déclare Karsten Weide, directeur de programme, Digital Media and Entertainment chez IDC. « Toutefois, il reste beaucoup d'expérimentations à effectuer au sein des subdivisions de ces catégories pour trouver un mix adapté à chaque cible », relativise-t-il.

IDC ajoute que l'Europe bénéficiera de la plus forte croissance des dépenses publicitaires en ligne sur la période, avec un taux moyen annuel de progression s'établissant à plus de 42%

Source : Neteco.com Publié par Matthieu Dailly

Téléphonie_L'iPhone 3G coûte 173$ à fabriquer



La firme iSuppli croit avoir trouvé la recette qui fait qu'Apple peut vendre son iPhone 3G moins cher que la précédente génération d'iPhone : il n'est pas trop coûteux à produire.

Selon la firme de recherche, l'iPhone 3G de 8Go, le modèle le moins dispendieux, coûte 173$ à Apple. À compter du 11 juillet, il sera vendu 199$.Apple ne se contentera pas du maigre 26$ de différence entre le prix de fabrication et le prix de vente. Les fournisseurs de services sans fil qui offriront l'iPhone, dont Rogers au Canada, vont subventionner le téléphone en le payant 300$ de plus l'unité, selon iSuppli.

Les fournisseurs de services sans fil récupèrent cette somme avec les contrats de service vendus aux clients.

Les profits d'Apple par iPhone vendu seraient donc d'environ 281$, ce qui représente un pourcentage de 56%, semblable à celui qu'Apple engrange sur ses autres produits.

Selon iSuppli, les composants les plus chers de l'iPhone sont la mémoire Flash de 8Go, à 22,80$ et l'écran tactile, à 20$. La puce GPS, quant à elle, ne coûte que 3,60$.

L'estimation des coûts ne comprend pas le développement logiciel, l'emballage, les frais d'envoi et les accessoires, comme les écouteurs.

La firme de recherche avertit toutefois que ces chiffres sont préliminaires et s'appuient sur une estimation virtuelle, obtenue à partir des informations disponibles sur l'appareil.

iSuppli promet toutefois d'ouvrir un iPhone quand il sera disponible sur le marché pour déterminer plus précisément le coût du téléphone.

Source : La Presse Affaires

Musique_Les ventes des disquaires en déclin



Il ne reste plus que 1000 jours avant que le disque compact ne cède sa place de principal médium de musique au Canada.

Selon une étude de la firme PricewaterhouseCoopers (PWC), la valeur des ventes de musique en ligne dépassera celle des ventes de CD en 2011.

Dans son rapport annuel sur l'avenir des industries des médias et du divertissement, PWC prévoit que la «distribution physique» de musique passera de 572 millionsUS en 2007 à 236 millions US en 2012. Cela représente un déclin annuel de 16,2%.

À l'inverse, la distribution numérique passera de 122 millions à 424 millions durant la même période, une hausse annuelle de 28,3%.

«L'économie de la musique change, commente Georges Tremblay, vice-président, produits, chez DEP Distribution. Mais personne ne sait exactement quelle forme elle prendra.»

«C'est clair que le format physique est en train de péricliter», ajoute M. Tremblay. De fait, les prévisions de PWC sont annoncées quelques semaines après qu'Apple eut dépassé Wal-Mart comme principal vendeur de musique aux États-Unis, selon des données du bureau d'audit américain NDP Group.

Ce même groupe avait aussi dévoilé que 48% des adolescents américains n'avaient acheté aucun disque compact en 2007, une hausse de 10 points en un an.

«La nouvelle génération n'apprend pas à acheter des disques, indique le propriétaire du disquaire indépendant L'Oblique, Luc Bérard. Je remarque que ma clientèle est plus vieillissante.»

Le gérant de la boutique Cheap Thrills, Guy Lavoie, souligne que les prix de ses CD, neufs et usagés, ont baissé. «On achète et on vend moins cher, les disques ont perdu de la valeur», dit-il.

L'engouement pour le téléchargement

Chef disquaire au magasin d'usagé L'Échange, Denis Turp remarque que des gens viennent vendre toute leur collection de disques qu'ils ont numérisée. Il est peu probable que ces gens achètent de nouveau.

«On voit que l'engouement pour le téléchargement est plus généralisé qu'il y a quelques années, dit M. Turp. Ce n'est plus seulement l'apanage de quelques initiés.»

Luc Bérard fait d'ailleurs remarquer que, dans les grands magasins, le DVD gruge de plus en plus d'espace au détriment du CD. C'est également le cas dans des chaînes comme HMV, où le CD était autrefois roi et maître.

Les disquaires plus spécialisés croient malgré tout pouvoir se tirer d'affaire. «Les ventes baissent peut-être moins vite que dans les grands magasins, parce que nous avons un marché plus ciblé», soutient Luc Bérard, qui se concentre davantage sur la musique indépendante.

«Dans ce créneau, c'est une autre mentalité. La clientèle est plus susceptible d'acheter.»

L'avenir du CD

Même s'il est en perte de vitesse, le CD ne disparaîtra pas de sitôt. Le Québec est d'ailleurs la province où il se vend le plus de disques par habitant.

Ce qui fait dire à Georges Tremblay que la prévision de PWC est peut-être un peu trop précoce dans le cas de la Belle Province.

«Au Canada anglais, le numérique représente presque 10% des revenus, mais c'est cinq fois moins au Québec.»

Il reste encore de bonnes raisons d'acheter un CD, font valoir les acteurs de l'industrie.

«Les pochettes sont de plus en plus intéressantes et les prix descendent», dit Simon Fauteux.

Raymond Trudel, propriétaire du disquaire Atom Heart, est du même avis. «Le prix des CD baisse tout le temps, alors que les téléchargements ne sont pas nécessairement bon marché.»

«Peut-être que le médium physique n'aura plus sa raison d'être pour la jeune génération, mais la génération des 40-50 ans va toujours rechercher l'objet physique, résume Denis Turp. On peut le voir dans le retour du vinyle.»

Le retour en force du vétéran 33 tours est un phénomène relevé par tous les disquaires joints par La Presse Affaires. De plus en plus de mélomanes recherchent ce support, ce qui laisse croire que le CD pourrait avoir un avenir semblable.

«Le CD va descendre pendant encore cinq à 10 ans, prévoit Guy Lavoie, de Cheap Thrills. Je pense que ça va remonter un peu après. Mais ce ne sera plus jamais la même chose.»

Source : La Presse Affaires Par : Hugo Fontaine

jeudi 26 juin 2008

Affichage Numérique_Etats-Unis : Etat du développement des panneaux LED par les grands réseaux



Mediaweek fait le point sur le déploiement des panneaux numériques installés par Lamar Advertising Co., Clear Channel Outdoor et CBS Outdoor.

D´ici à la fin de l´année, les trois compagnies disposeront de 1600 panneaux LED contre 275 000 panneaux traditionnels.

Un développement encouragé par la profitabilité du support, par rapport à l´offre statique. On retient, en effet, que :

- les 800 écrans LED de Lamar , qui représentent 0,5% de l´offre en panneaux du groupe, génèrent environ 84 millions $ par an, soit 7% des revenus de la compagnie.

- le CPM moyen peut atteindre les 4$, contre 2$ pour un panneau statique (Bob Martin Media Consulting)

Source : OOH.TV

Affichage Numérique_Inde : Warburg prend 15% de Laqshya Media




(Via VC Circle) Laqshya Media a levé 45 millions € auprès des fonds Warburg Pincus (~41 millions €/276 crore RS) et UTI Ventures (~4 millions €/25 crore RS). Ce dernier avait déjà investi 6,5 millions € (10 millions $) dans le groupe en 2006.

Suite à cette opération, Warburg Pincus détiendrait 15% du capital du groupe de communication extérieure, valorisé ainsi à plus de 260 millions €.

Laqshya Media opère en Inde, au Sri Lanka et aux Emirats Arabes Unis et vise à se développer en Asie du Sud-Est ainsi qu´au Moyen-Orient et en Afrique. Sur ces deux derniers marchés, le groupe peut compter sur Right Angle Media, sa filiale à Dubai, qui avait levé, en 2007, 22,5 millions € (35 millions $) auprès du fonds Amwal Al Khaleez.

Source : OOH.TV

Affichage Numérique_ANTEEO CONCEPT La solution d'affichage dynamique nouvelle génération




La solution d’affichage dynamique nouvelle génération pour une communication en temps réel interactive.

Créée le 1er avril dernier ANTEEO CONCEPT s’implante à Toulouse pour proposer aux entreprises, commerçants et institutions un nouveau moyen de communication interactif et percutant : l’affichage dynamique. Véritable outil de promotion, l’écran plat ultra moderne mis en place en vitrine, en hall d’entrée ou à l’intérieur de l’établissement permet de mettre en avant les services, produits et activités de la structure utilisatrice aux yeux de tous visiteurs.

Se trouver dans une file d’attente, être stoppé par la circulation, attendre dans un restaurant, un café ou un hôtel devient le moment idéal pour découvrir en images dynamiques toutes les nouveautés du lieu où l’on se trouve ainsi que toute l’actualité des structures qui mettent en ligne leurs promotions et informations du moment.

Grâce à la diffusion de films, spots et toutes conceptions graphiques numériques créées par ANTEEO CONCEPT, l’établissement bénéficie d’une communication visuelle à ses couleurs pertinente car informative et toujours actualisée.

L’originalité du concept réside tout d’abord dans l’idée simple de proposer à l’établissement une solution aux conditions extrêmement avantageuses. Pour seulement 250 euro par mois, pour une formule minimale, la structure bénéficie de la conception du spot, la mise à disposition et l’installation des écrans, la maintenance et la mise à jour des nouveaux clips tous les mois !

Ce qui en fait sa plus grande force ? L’actualisation via le web de toutes les mises à jour. D’un simple clic les développeurs d’ANTEEO CONCEPT, véritable outil des Nouvelles Technologies, effectuent les mises à jour du programme souhaité en temps réel et à distance via le réseau IP! Tout est automatisé, jusqu'a l'allumage de l'écran et la mise en veille.
ANTEEO CONCEPT permet également à l’utilisateur, suivant ses différentes formules, de gérer entièrement ses diffusions de façon autonome toujours simple et sécurisée.

En créant des séquences composées de différents médias, ANTEEO CONCEPT propose une programmation qui peut être planifiée plusieurs semaines à l'avance ou quelques secondes avant la diffusion. Les informations planifiées sont stockées localement sur chaque lecteur ce qui permet une efficacité à 100%. Même en cas, extrême mais toujours possible, de dysfonctionnement technique du réseau, les diffusions restent en ligne.

A l’initiative de Timothée TOUCHET, ancien paysagiste amoureux de la Nature et passionné des Nouvelles Technologies, ANTEEO CONCEPT se positionne comme une entreprise à la pointe de la modernité, dans l’air du temps et s’associe d’ores et déjà à la protection de la planète. C’est pourquoi chaque utilisateur est sensibilisé pour choisir une option qui lui permet de reverser 3 euro par mois à une association de défense de l’environnement. En plus de son propre clip, l’utilisateur offre ainsi 20 secondes complémentaires d’un film qui sensibilise les esprits à la défense de notre environnement.

Souhaitons à la nouvelle entreprise toulousaine, forte de cinq collaborateurs tous experts dans leur domaine d’intervention, de réussir son implantation et son développement – durable !

ANTEEO CONCEPT – 24 rue André Vasseur
www.anteeoconcept.fr

Contact Presse / Sophie MORDELET
Com N Act

Source : Category.Net.com

Technologie_Rapport digital de cette dernière semaine de juin 2008

Le rapport digital de cette semaine



Source : CNETTV

Technologie_Panasonic dévoile son ultraportable robuste



Le fabricant japonais ajoute un nouveau venu à sa gamme Toughbook. Il s'agit en fait d'un «Tablet PC» conçu pour résister à des conditions extrêmes.

Le Toughbook CF-U1
de Panasonic est le dernier né de la gamme Toughbook. Avec ses 1,06 Kg et sa petite taille (184mm x 151mm x 57mm), le «Tablet PC» va au-delà de la norme militaire MIL-STD-810F utilisé pour certifier des produits en les soumettant à une série de conditions exceptionnelles telles que des températures extrêmes, de l'humidité, des vibrations, de la moisissures ainsi que des chutes.

Selon Panasonic, le CF-U1 peut survivre à une chute de 4 pieds et à cause de son disque SSD intégré, il peut résister à des températures plus élevé que les autres Toughbook.

Le CF-U1 sera livré avec un disque SSD de 16 Go ou 32 Go. Aussi, l'appareil est muni d'un clavier QWERTY, d'un processeur Atom Z520 de 1.33 GHz, 1 Go de mémoire et d'un écran tactile de 5,6 pouces. De plus, l'appareil peut contenir une paire de batterie à deux cellules qui donne un total de 6 à 9 heures d'autonomie.

L'appareil attendu d'ici l'automne prochain serait vendu à près de 2 500 $ sous Windows XP et Vista.

Source : Branchez Vous
par Marc-André Brouillard

Webradios_Webradios : un nouvel espace d’expression



Communautaires ou commerciales, publiques ou privées… Les webradios se multiplient. Ce moyen simple et peu onéreux d’exprimer ses idées séduit les internautes qui en créent de plus en plus sur leurs blogs ou leurs sites personnels.

En 1995, la première webradio voyait le jour. Grâce aux progrès technologiques et à l’arrivée de l’ADSL, le recours aux radios diffusées par le biais d’Internet se généralise depuis 2000. Accessibles et peu réglementées, ces radios faciles à créer rencontrent un succès exponentiel auprès des internautes. Certaines rassemblent plusieurs dizaines de milliers d’auditeurs. D’autres à peine une poignée. Mais toutes séduisent les auditeurs et concurrencent sérieusement les radios FM.

Qu’est-ce qu’une webradio ?

Une webradio, ou netradio, est une bande passante en format MP3pro ou AAC, diffusée par le biais d’Internet au moyen de technologies variables. Généralistes, thématiques, exclusivement musicales ou polémiques…. Depuis les années 2000, les structures privées, publiques et associatives se multiplient et on trouve toutes sortes de radios sur la toile. Il est en effet beaucoup moins onéreux et compliqué de créer une webradio qu’une radio FM.

Tout le monde peut créer sa webradio

Techniquement, tout d’abord : il suffit parfois de créer un site Internet, voire un simple blog, et de laisser tourner un CD aléatoirement. Pas besoin de compétences pointues, de studios ni de matériel perfectionné.

Sur le web, créer sa radio est alors devenu un rêve accessible à tous. Les particuliers l’ont compris et multiplient les initiatives. Beaucoup d’artistes amateurs, par exemple, diffusent aujourd’hui leur musique par le biais d’un blog, très souvent abrité par Myspace, qu’ils ont transformé en radio.

Des radios plus libres, mais pour combien de temps ?

D’un point de vue administratif aussi, le système des webradios est plus simple que celui des radios FM. Jusque là, les webradios n’étaient pas soumises à la réglementation stricte du CSA (Conseil Supérieur de l’Audiovisuel), qui impose des quotas aux émissions des radios FM. Les netradios dépendaient également d’un régime spécial auprès de la SACEM (Société des Auteurs, Compositeurs et Editeurs de Musique), à qui elle reversait des droits moindres que ceux versés par les radios FM pour la diffusion de la musique.

Du fait de ces frais de fonctionnement minimes, beaucoup de structures minuscules ont pu survivre jusqu’ici sur le net, alors qu’elles étaient vouées à périr sur la bande FM. Beaucoup de radios ont pu se faire également financer par des donations, sans avoir besoin de recourir à la publicité. Malheureusement, les autorités administratives, éveillées par l’audience parfois spectaculaire de ces médias jusqu’alors alternatifs, pensent à les réglementer davantage sur ce point très prochainement. Il est probable que les toutes petites structures connaissent des difficultés dans le futur.

Un son de bonne qualité

Les réformes à venir ne menacent pas leur succès néanmoins. Techniquement, les webradios présentent beaucoup d’avantages, comparées à leurs homologues FM. Longtemps limitées par le faible débit des connexions Internet, les webradios sont aujourd’hui au point. L’augmentation du débit de connexion, avec la généralisation de l’ADSL, leur a permis d’émettre des fichiers plus lourds, et donc d’améliorer significativement la qualité du son. Aujourd’hui, la qualité de leur son est au moins équivalente, sinon meilleure, que celle du son capté par le biais des radios FM.

Un mode d’emploi simplissime

Pour écouter une webradio, seul l’équipement de base est nécessaire. Un ordinateur avec une carte son et un accès Internet, bien sûr. Egalement des haut-parleurs ou un casque et parfois un lecteur multimédia (comme celui de Windows, fourni gratuitement avec le pack office). Et c’est tout. Ensuite, il ne reste plus qu’à se connecter au site web de la radio grâce au navigateur et à cliquer sur l’émission de son choix. Tout cela n’est pas plus compliqué qu’allumer un poste de radio et trouver la fréquence d’une station FM.

En direct ou à la demande : des émissions à la carte

Mais avant tout, le grand avantage des webradios, c’est qu’on peut non seulement écouter les émissions en direct, comme sur les radios FM, mais aussi accéder aux émissions déjà diffusées. Celles-ci restent en effet stockées sur les archives du site la plupart du temps. C’est donc un programme à la carte : varié et séduisant.

Comment trouver la radio qui me convient ?

Ces avantages expliquent l’attractivité des webradios. Parallèlement aux radios exclusivement diffusées sur le net, la plupart des radios FM se sont mises à la page web et ont transposé leurs ondes sur Internet. Avec parfois quelques bonus qu’on ne peut pas transmettre par le biais de la FM, comme l’image des studios d’enregistrement.

En somme, il y a des netradios pour tous les goûts. Pour trouver celle qui vous convient, il existe des annuaires qui répertorient les webradios : le site http://tuner.fm est par exemple un site incontournable pour trouver la radio, commerciale ou communautaire, qu’il vous faut.

Source : Restons en Forme.com
Elise Grandjean

Pub_Publicis Groupe crée le premier réseau d’audience à la demande, en accès libre, avec les quatre plus grandes entreprises du numérique



Publicis Groupe crée le premier réseau d’audience à la demande, en accès libre, avec les quatre plus grandes entreprises du numérique

Publicis Groupe
(Paris:PUB) annonce aujourd’hui la création d’une nouvelle plateforme technologique, le plus grand réseau « d’audience à la demande » du secteur publicitaire, dans le cadre du Vivaki Nerve Center qu’il lance aujourd’hui. Ce réseau « Audience on Demand » adossé aux technologies de Microsoft, Google, Yahoo!, Platform-A offrira aux annonceurs la possibilité de toucher, en une seule campagne et sur des réseaux multiples, des audiences définies avec précision partout dans le monde. Jusqu’à présent, les agences et les clients devaient essayer de s’y retrouver dans un environnement média extrêmement fragmenté avec des réseaux publicitaires, des plateformes d’échange et des relations directes avec les éditeurs.

« Notre Vivaki Nerve Centre a développé une solution « open source » avec les plus grands acteurs mondiaux du numérique, pour intégrer les audiences globales tout en garantissant la diversité, la fluidité et la transparence du contenu. Nous ne pensons pas que les grands acteurs du numérique visent la désintermédiation, nous croyons plutôt qu’ils cherchent à fournir à notre secteur, les technologies pour nous aider dans la préparation et la réalisation de nos campagnes afin de les rendre plus efficaces », déclare David Kenny, managing partner de VivaKi (Publicis Groupe). « Notre intention est de fournir l’accès à une audience à grande échelle, avec un seul point d’entrée et des prix optimisés. »

C’est une première étape qui donne une toute autre envergure à l’ensemble de l’écosystème numérique et pourrait être élargie à d’autres plateformes.

Utilisant la plateforme publicitaire Doubleclick, Publicis Groupe va désormais appliquer une technologie sur mesure à tous ses clients, ce qui facilitera l’accès aux éditeurs, aux réseaux et aux échanges grâce à une interface unique. Cela leur permettra également d’utiliser leurs données pour détecter d’autres audiences chez les partenaires de cette initiative. Ainsi, en s’intégrant dans le VivaKi Nerve Center, ce partenariat va apporter une audience complémentaire à travers la plateforme Doubleclick.

Doubleclick va aussi élargir son produit Studio pour rendre plus aisée la réalisation de versions différentes d’un même message publicitaire, afin de mieux les adapter aux audiences ciblées à travers les plateformes multiples.

Le VivaKi Nerve Centre va également travailler à l’intégration de Right Media Exchange de Yahoo!, la première et plus grande plateforme d’échange utilisée par plus de 50 000 acheteurs et vendeurs, parmi lesquels des annonceurs, des agences, des éditeurs et des réseaux publicitaires sur Internet. Cette plateforme effectue plus de 6 milliards de transactions par jour. Ainsi, Publicis Groupe pourra appliquer ses connaissances approfondies des consommateurs à la plateforme Right Media Exchange, afin de permettre à ses clients de mieux cibler leurs investissements publicitaires.

Publicis Groupe souhaite aussi utiliser les capacités d’AMP!, la future plateforme de gestion publicitaire de Yahoo!, conçue pour simplifier considérablement le processus d’achat et de vente publicitaire en ligne.

« Au sein du VivaKi Nerve Centre, nous sommes persuadés que le lancement sur le marché de solutions technologiques ouvertes, permettra aux clients de mieux développer leur marketing numérique, et d’atteindre des audiences plus vastes, et beaucoup plus finement ciblées, grâce à un processus d’achat simple avec un guichet unique », déclare Curt Hecht, Président du VivaKi Nerve Center. « Le développement de ces nouvelles possibilités mettra nos clients en position de toucher des audiences spécifiques à travers une seule plateforme publicitaire clé, Doubleclick, couvrant les quatre plus grands réseaux d’audience du monde. In fine, ceci augmentera le retour sur investissement de nos clients, améliorera l’ensemble des procédures opérationnelles et permettra davantage d’innovations en publicité. »

“Yahoo! pense que la prochaine phase de croissance du secteur sera déterminée par la collaboration entre les acteurs et par des plateformes d’achat et de vente de la publicité en ligne plus ouvertes», affirme Hilary Schneider, vice-présidente exécutive de Global Partners Solutions, de Yahoo!. « Le réseau d’audience à la demande de Publicis est une extension logique de ce que nous rendrons possible avec AMP! de Yahoo! De sorte que les annonceurs pourront trouver les audiences qu’ils recherchent de la manière la plus efficace, la plus efficiente et la plus créative possible. »

Le VivaKi Nerve Centre travaillera également avec Platform-A, qui reliera les audiences ciblées à l’immense galaxie des sites d’AOL ainsi qu’aux milliers de sites Internet membres du réseau Advertising.com. « Nous sommes ravis que Plateform-A soit incluse dans la solution de Publicis Groupe, car elle donnera aux clients la possibilité d’acheter facilement des audiences à la demande dans une architecture ouverte », déclare la présidente de Plateform-A, Lynda Clarizio. « Platform-A est la plus grande plateforme publicitaire du secteur, avec un ensemble complet de solutions marketing globales, fonctionnant avec les meilleures technologies publicitaires du Web. La couverture et les audiences que nous pouvons offrir sur cette plateforme seront précieuses pour les annonceurs et, en fin de compte, pour les consommateurs qui recevront de la publicité au moment où elle correspond le mieux à leurs besoins et à leurs centres d’intérêt. »

Microsoft va également travailler avec le Vivaki Nerve Centre afin de permettre aux clients du Groupe Publicis de toucher les cibles consommateurs les plus nombreuses et les plus actives, à travers son réseau de sites qui comprend MSN, Windows Live, Microsoft Office Live, Xbox LIVE et plus de 500 éditeurs de sites à travers DRIVEpm, son premier réseau publicitaire. DRIVEpm est leader pour optimiser la valeur des espaces publicitaires des sites et réduire la perte d’impact de certains messages, grâce à un ciblage précis des annonces, qui s’appuie sur des données géographiques, démographiques et contextuelles.

Ce partenariat apparaît naturel dans la mesure où le Groupe Publicis travaille avec les plus célèbres marques du monde et où MSN et DRIVEpm opèrent sur les segments d’audience les plus recherchés sur Internet. Ce réseau conjoint bénéficiera in fine aux consommateurs qui recherchent des annonces plus adaptées et au contenu plus riche de sens.

Publicis Groupe (Euronext Paris : FR0000130577) est le 4ème groupe mondial de communication, le deuxième groupe mondial en conseil et achat media, ainsi que le leader mondial en communication digitale et dans la santé. Le Groupe est présent dans 104 pays sur les 5 continents et compte environ 44 000 collaborateurs.

L’offre de services en communication du Groupe, auprès de clients locaux aussi bien qu’internationaux, comprend la publicité, à travers trois réseaux publicitaires mondiaux fonctionnant de manière autonome, Leo Burnett, Publicis et Saatchi & Saatchi, ainsi que deux réseaux multi-hubs : Fallon et Bartle Bogle Hegarty (filiale à 49 %) ; le conseil et l’achat d’espace media, à travers deux réseaux mondiaux : Starcom MediaVest Group et ZenithOptimedia; une expertise dans la communication numérique et interactive grâce notamment au réseau Digitas ; les marketing services et la communication spécialisée, comme la communication santé, la communication corporate et financière, les relations publiques, le marketing relationnel et direct, la communication événementielle et sportive, ainsi que la communication ethnique.

Source : Business Wire

mercredi 25 juin 2008

Affichage Numérique_Etats-Unis : SeeSaw Networks lève 3,5M$




(Via Private Equity Hub) SeeSaw Networks a levé 3,5 millions $ dans un second tour de table. Sutter Hill Ventures ferait partie des investisseurs.

En novembre 2006, le groupe avait déjà levé 10 millions $ auprès du fonds.

SeeSaw Networks propose aux annonceurs et agences médias une offre agrégée de réseaux publicitaires de digital signage. 36 réseaux couvrant 22000 sites garnissent actuellement son portfolio.

Source : OOH.TV

Affichage Numérique_Brésil : Elemidia équipe le second plus grand bâtiment du pays





L´opérateur de réseaux publicitaires de digital signage Elemidia va équiper l´Edificio Italia à Sao Paulo, le second plus grand immeuble du Brésil.

Les 12 ascenseurs principaux, desservant les 46 étages de la tour, seront concernés.

Présent dans 14 villes du Brésil et Argentine (Buenos Aires), Elemidia opère actuellement plus de 2270 écrans installés dans les ascenseurs, centres commerciaux, supermarchés, hôtels, universités ou encore les centres de sports.

Source : OOH.TV

Affichage Numérique_Nouveau Livre Blanc comparatif de Minicom



‘Le positionnement des lecteurs dans un réseau d'affichage dynamique. Quelle implication financière?’

Minicom Advanced Systems, l’un des leaders mondiaux d’affichage dynamique, vient de publier un nouveau Livre Blanc comparatif sur la répercussion financière de l’emplacement des lecteurs multimédias dans les applications d’affichage dynamique.

Entre la technologie d’extension « lecteur multimédia dans une salle privée » et celle du « lecteur sur l'écran », la différence de coût et de retour sur investissement est très nette.

Ce livre blanc montre que la technologie d’extension pour un réseau d‘affichage dynamique de 10 écrans, sur une période de 10 ans, peut permettre d’économiser plus de 10,000 $ de maintenance.

Quelques points importants
Ce nouveau livre blanc montre comment la technologie d’extension permet de protéger l’investissement informatique des sociétés.

• Durée de vie des lecteurs: la durée de vie d’un système d’extension est deux fois plus importante que celui d’un système de type lecteur sur l’écran.

• Facilite d’accès et maintenance: les lecteurs placés dans une salle à part sont accessibles à n'importe quelle heure de la journée et n’ont pas besoin d’être déplacés en cas de maintenance; contrairement aux lecteurs positionnés sur les écrans qui sont souvent difficiles d’accès (prés du plafond ou en sandwich entre un écran et le mur) et doivent être démontés et remontés quel que soit l’opération à effectuer.

• Sécurité : les lecteurs sur écran sont placés dans des environnements non contrôlés qui sont souvent nocifs pour les appareils électroniques comme les lecteurs multimédias, alors que les lecteurs placés dans une salle sont dans un environnement sécurisé avec une température contrôlée.

Télécharger gratuitement le livre blanc sur le site Internet de Minicom

Contact
Minicom Advanced Systems Ltd
9 allée Mabille
94300 Vincennes
Carole Bijaoui
Responsable Commercial & Marketing

Source : Décideur.com

Web_LinkedIn, entreprise milliardaire



Le site de résesautage social LinkedIn a recueilli 53 millions $ US dans sa quatrième ronde de financement, plaçant sa valeur estimée à un milliards $ US.

Lancé en 2003, LinkedIn permet aux gens de faire des contacts professionnels et de chercher des emplois, notamment.

Plus de 23 millions de personnes y sont inscrites et le site s'attend à avoir 30 millions de membres d'ici la fin de 2008. Les membres du site ont en moyenne 41 ans.

C'est Bain Capital Ventures qui a mené la quatrième ronde de financement. Des partenaires de LinkedIn comme Sequoia Capital, Bessemer Venture Partners et Greylocks Partners ont aussi réinvesti dans le site.

Avec une valeur estimée qui se chiffre dans les milliards, LinkedIn vient rejoindre Facebook, dont la valeur est estimée à 15 milliards $ US depuis que Microsoft y a pris une part de 1,6% pour 240 millions de dollars.

LinkedIn est de loin le premier site de réseautage social en croissance: ses visiteurs ont quadruplé (+360%) entre avril 2007 et avril 2008, contre une hausse de 56% pour Facebook et de seulement 3% pour MySpace.

L'entreprise située à Mountain View, en Californie, va utiliser les fonds recueillis pour bâtir de nouvelles fonctionnalités. Elle pourrait également faire des acquisitions avec cet argent.

Le PDG de LinkedIn, Dan Nye, affirme que LinkedIn ne cherche pas un acquéreur.

Des rumeurs avaient circulé l'an dernier sur une vente de LinkedIn, mais les dirigeants du site veulent «construire un groupe fort et indépendant».

LinkedIn est rentable, grâce à la publicité, aux offres d'emplois ainsi que certains services payants.

Source : La Presse Affaires via AFP Par : Marie-Eve Morasse

Web_Firefox 3.0 est sorti!!



L'heure est à la fête pour les développeurs de Mozilla et les amateurs du fureteur code source libre, puisque la version officielle de Firefox 3.0 vient d'être livrée.

Celle-ci arrive après 34 mois de développements, cinq versions bêta et trois versions d'évaluations. La sortie de Firefox 2.0 remonte quant à elle au mois d'octobre 2006.

Firefox 3 offre notamment la possibilité de créer un signet en un seul clic, de faire un zoom sur une page complète, et d'effectuer des recherches plus précises basées sur l'historique de navigation et les signets de l'utilisateur. L'interface graphique de Firefox a également été adaptée aux différents systèmes d'exploitation.

Le fureteur peut être téléchargé ici. Le site a connu des difficultés quelques heures après la publication du logiciel, probablement surchargé par la forte demande. Les problèmes sont depuis résorbés.

La fondation Mozilla demande aux internautes de ne pas le télécharger à partir de liens qu'ils auraient trouvé avant la sortie officielle sur des sites comme Digg ou Reddit, puisque ces téléchargements pourraient ne pas être comptabilisés dans le cadre du record qu'elle tente d'établir.

En effet, Mozilla veut établir le record du logiciel téléchargé le plus grand nombre de fois le jour de sa sortie. Un tel record ne figure pas au Livre Guinness des records, si bien que Mozilla est presque assuré d'y parvenir.

La Fondation Mozilla n'a pas d'objectif précis quant au nombre de téléchargements qu'elle souhaite obtenir, mais affirme que cinq millions serait «génial». Près de 1,7 million de personnes ont promis de télécharger le logiciel aujourd'hui.

Mozilla a également demandé à ses fans d'organiser des fêtes pour célébrer le lancement du fureteur, un appel qui a été entendu par 675 organisateurs répartis un peu partout dans le monde, mais principalement en Amérique du Nord et en Europe.

Aucune de ces fêtes n'a lieu au Québec, et les fêtards de la province devront se rendre à Toronto ou encore au Vermont s'ils veulent célébrer avec d'autres la sortie du fureteur!

Firefox, en montée depuis 2004

Depuis 2004, date du lancement de ce logiciel libre qui fonctionne avec tous les systèmes d'exploitation (Windows, Mac et Linux), Firefox dit avoir conquis 175 millions d'utilisateurs dans le monde.

Selon le cabinet Net Applications, Firefox, qui a progressé notamment en Europe et au Canada, détenait 18,4% du marché mondial en mai contre 73,8% pour Internet Explorer et 6,3% pour le navigateur Safari d'Apple, qui a vu sa part de marché grimper ces derniers mois grâce à la hausse des ventes d'ordinateurs Macintosh.

Une autre étude du cabinet XiTi estimait fin 2007 que Firefox avait conquis 28% de part de marché en Europe et 15% aux Etats-Unis, avec 24% en France, 38% en Allemagne et plus de 45% dans des pays comme la Slovénie et la Finlande.

Mozilla a été créé par des anciens de Netscape, le logiciel de navigation qui dominait le marché dans les années 90 avant d'être éclipsé par Internet Explorer.

Initialement fondation à but non lucratif, Mozilla a connu un tel succès commercial que le groupe s'est séparé en deux, d'une part la Fondation et d'autre part Mozilla Corp., l'entreprise.

Source : La Presse Affaires
Marie-Eve Morasse et AFP