Si l’arrivée au pouvoir d’Aung San Suu Kyi n’a pas changé la donne, peut-être que les réseaux sociaux, à commencer par Facebook, pouvaient aider les Rohingyas à se sortir de cette situation inextricable, de la même manière qu’ils ont joué un rôle central dans les révolutions du «Printemps arabe» en 2010 ? Cela n’a pas été le cas et c’est même tout l’inverse qui s’est passé...
Source: Frenchweb
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