Par: Guy Fournier
Ma chronique sur l’apologie des sacres de Louise Latraverse et les gros mots qu’on entend sur nos ondes a fait beaucoup réagir. Tous les courriels que j’ai reçus, sans aucune exception, s’indignent que ni les diffuseurs ni les artistes ni les auteurs ne semblent conscients d’exercer une influence déterminante sur la langue que nous parlons tous les jours.
Source: Journaldemontreal