Dans Les jours heureux, Julien Clerc reprend des titres phares de ses mentors : Barbara, Trénet, Bécaud, Montand, Brel, Aznavour… En résulte un beau collier de chansons couleurs sépia, totems de notre mémoire collective et témoins du music-hall à la française. Julien Clerc a eu l’idée de ce disque dans un taxi londonien, et c’est d’un taxi parisien qu’il répond à nos questions… De quoi faire ressurgir toute une époque, et une poignée de souvenirs.
Source et suite: rfi
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