« Je dis bonjour à l’anarchie/j’crois plus en la démocratie. » Depuis près de 25 ans, Vulgaires Machins demeure fidèle à l’implacable déclaration d’intention que renferment les phrases inaugurales de Vingt-quatre quarante (1998), son premier album. À l’approche du lancement d’un coffret rassemblant tous ses disques, Guillaume Beauregard et Marie-Eve Roy se remémorent la naissance tâtonnante de l’un des plus importants groupes punk québécois.
Source et suite: Lapresse
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