Dansante et sensuelle, la synthpop du Britannique verse dans le trafic d’influences multigénérationnelles sur l’album “Jim, I’m Still Here”...En 2020, James Righton disait être définitivement revenu de l’ère Klaxons, de cette fluorescente adolescence où les réveils matinaux succédaient aux soirées tardives...
Source et suite: Lesinrocks
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