Au milieu du vacarme ambiant, installé entre deux rangées de cabanes de tôle, au bord d’une allée poussiéreuse, un joueur de saxophone peine à se faire entendre, concurrencé par les coups de klaxon et les cris des vendeurs de rue. Une cacophonie qui ne semble pourtant pas déconcentrer le musicien. Et pour cause, Elvis Otieno ne connaît pas d’autre environnement. Le morceau qu’il joue est une de ses compositions; une ode au quartier déshérité qui l’a vu naître : Korogocho...
Source et suite: Radiocanada
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