Publié le 25 avril
Salvatore Adamo porte des espadrilles blanches « de jeune », mais accueille chaque concert avec gratitude – « parce que je sais que le prochain fait davantage partie de mes derniers que de mes premiers ». Entretien avec une légende qui ne tient rien pour acquis, de passage au Québec pour une dizaine de dates.
Source et suite: Lapresse
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