N'importe qui peut aujourd'hui apparaître "virtuellement" dans une photo ou une vidéo pornographique sans jamais y avoir participé. Face à cette menace, la justice manque cruellement de moyens...La menace n'est pas nouvelle. "Ces deepfakes ne sont que l'évolution d'un phénomène qui existait déjà", rappelle Rachel-Flore Pardo, avocate et cofondatrice de l'association Stop Fisha.
Source et suite: Franceinfo / Publié le 13 03 2024
Aucun commentaire:
Publier un commentaire