Publié le 26 08 2025
Quand un drone israélien chargé d’explosifs a frappé le principal hôpital du sud de la bande de Gaza, les journalistes se sont précipités pour documenter la scène : la panique, les pleurs, l’opération de sauvetage, les corps ensanglantés que l’on tire des gravats.
Ils ont sorti leurs caméras, cherché le meilleur angle pour capter l’atrocité du jour, sans se douter qu’ils seraient eux-mêmes broyés dans le macabre cycle des nouvelles en provenance de l’enclave palestinienne. L’horreur a frappé huit minutes plus tard, sous la forme d’un deuxième bombardement israélien. Parmi les corps tirés des décombres, cette fois, il y avait ceux de cinq journalistes palestiniens.
Source et suite: Lapresse / Publié le 26 08 2025
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