
Dans la douleur, SpiralFrog (Amérique du Nord uniquement) a fini par accoucher de son service de téléchargement gratuit de musique. Promise depuis un an, présentée comme un tueur d'iTunes, cette plate-forme propose depuis dimanche quelque 770.000 chansons tirées du catalogue d'Universal Music et de labels indépendants. Le téléchargement, financé par la publicité, passe par un logiciel dédié, tandis que les morceaux ne sont lisibles que sur les appareils compatibles avec les DRM de Microsoft. Ce modèle publicitaire fonctionnera-t-il ? SpiralFrog, qui a déjà brûlé 12 millions de dollars en deux ans et demi et perdu en cours de route plusieurs de ses dirigeants, indiquait récemment avoir besoin de 18 millions de dollars pour boucler une année supplémentaire d'activité.
Source : La Newsletter HighTech
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