… du moins au Japon. Les annonceurs Nippon ne communiquent plus leurs URLS sur leurs publicités offline, mais remplacent ces dernières par des boites de recherches renvoyant vers les moteurs, en indiquant bien évidemment leur nom à l’intérieur. Etonnant non ?
Et oui au final, les moteurs de recherche représentent la première porte d’entrée du web. 66% des surfs commencent par une recherche. Même quand un Internaute connaît l’url de son site de destination, il l’entre en premier dans Google pour éviter une perte de temps lié à une faute de frappe ou le méfait d’une mauvaise mémoire. Ce n’est d’ailleurs pas par hasard que tous les navigateurs web (Internet Exploreur, Firefox et Safari) tout comme les grands portails mettent bien en avant les moteurs de recherche.
En y réfléchissant, c’est plutôt malin. Cela évite également d’avoir à mettre des URLs à la mort moi le nœud qui sont très difficiles à retenir (dernier exemple en date revisitonslavieavecoptimisme.com de Banque Populaire. In fine, on pourrait même imaginer des campagnes de publicité cobrandées/ en partenariat avec Google, Yahoo! ou MSN où leur barre de recherche serait intégrée à la publicité.
Et si on se prenait à réver …
L’impératif serait alors d’avoir une référencement naturel et payant irréprochable pour ne pas risquer de perdre ses prospects. Mais bon désormais, rare sont les annonceurs à ne pas maîtriser le Search engine marketing.
Tendance marginale du Far East ou prédiction qui s’avéra vrai d’ici quelques années?
Source : Marketing Digital.fr
Auteur: Thibault de Saint Martin
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